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Vous devriez vous calmer tous les deux... Que vous soyez croyants, c’est votre souci, pas le mien. Et non, ce n’est pas parce que l’on me dit que le culte à une chose dont il n’est donné preuve nulle part est un culte à satan que moi je me dois d’user des mêmes référents. La morale peut très bien se passer de ça.
 
Mais je préfère vous laisser entre vous, grands connaisseurs des mondes (d’ici et d’ailleurs, apparemment).

Je ne sais pas si l’auteur de ces paroles est talentueux... Mais, si c’est vraiment le cas, il a probablement laissé son talent aux toilettes le jour où il a écrit ces quelques mots. Entre clichés provocateurs, jeux de mots et rimes foireux au possible, on se demande en quoi ce texte peut être considéré comme bon.
 
Le chant est maniéré et trouve ses références dans le style RnB amerlocke, voilà tout. on découvre par là, donc, que chanter "à la française" n’est pas vendeur quand on veut passer à l’EURO-vision.
 
N’étant pas croyant, faire référence au satanisme m’est totalement impossible (je ne suis pas Soral le si peu contradictoire...). Par contre, on peut aisément dire que ce type de texte est un appel à la violence et au désordre plutôt qu’à la paix. Car, il ne faut pas se leurrer : derrière ce prétexte d’une femme qui se vengerait d’un homme "pas gentil", c’est surtout une volonté de frapper, de détruire le cadre moral et naturel dans lequel nous autres persistons à vivre et que d’autres cherchent, par tous les moyens, à réduire en poussière. Et cela va évidemment jusqu’à diffuser ce type d’idée de des chansons dont on sait l’influence qu’elles peuvent avoir sur l’esprit des jeunes surtout (les adultes de demain...).
 
Je préfère ceci comme texte et interprétation (c’est un peu ancien, certes) :
 
http://www.youtube.com/watch?v=x8l43czQAy4

La dernière partie du reportage est bien triste : passer par google earth (ou map, je ne sais plus) pour pouvoir voir la petite ville où l’on a vécu et qui est vide, en partie détruite, c’est probablement plus pénible qu’autre chose pour ceux des Japonais qui le feraient.
 
Quand à ces radiations, il semble évident qu’elles sont en train de modifier très fortement la vie des Japonais actuels et les futurs en leur donnant des corps malades, difformes, en les poussant à la mort plus vite que la nature le leur aurait peut-être imposé.
 
Fukushima qui porte si mal son nom est un berceau de malheur pour le peuple japonais qui, comme le nôtre et celui de tout autre pays au monde, est soumis à des choix gouvernementaux, des choix économiques (et/ou financiers) qui ne sont pas du tout faits pour leur bonheur.
 
Pourquoi cette centrale en déréliction n’est-elle toujours pas confinée ? Les explications et les prétextes sont nombreux, certes. Mais la véritable raison... quelle est-elle ?

Argent, argent, argent... que voulez-vous ? Erwanet et ses acolytes n’ont qu’une seule grille de lecture et celle-ci est quadrillée des barreaux du dollar et des chaînes de l’Euro.
 
Il n’empêche que, sur le fond de cette violence parisienne, il est loin d’avoir tort d’en parler. J’habite une toute petite ville alsacienne et, il y a quelques mois, les quelques petites heures que j’ai passées à Paris (pour le travail) m’ont laissé tout sauf des souvenirs de ville paisible et sûre. Et ma crainte d’y emmener mon amie japonaise est réelle : la secourir face à une personne seule, passe probablement encore... Mais contre deux, trois ou plus... c’est foutu...
 
Il est évident que Paris n’est pas une ville déchirée par la guérilla non plus... Mais il est tout autant évident que la violence envers les touristes -et, c’est bien connu, envers les gentils petits touristes asiatiques tout faiblichons (l’image qu’ils semblent véhiculer, en tout cas)- est réelle et elle ne donne aucunement envie d’y traîner.
 
De manière plus légère (encore que...), j’avais été surpris et outré par les tags qu’on trouve littéralement partout ! Que de dégradation ! Cette façon de salir la ville est terrible et ajouter à la saleté du comportement de certains, on peut se demander en quoi cette ville est encore "la plus belle ville du monde"...

Il semble qu’il soit plus simple d’apprendre à bien écrire et apprenant déjà à bien lire... Donc, si tu me relisais correctement, tu comprendrais peut-être. Je n’écris effectivement que sous un seul pseudonyme. Je n’utilise plus du tout le précédent. Tout qui adores fouiller dans les textes des autres participants ; je t’en prie.. fouille.
 
Bah, j’attends tes prochains développements intenses pour m’amuser à nouveau. Surtout, n’oublie pas de citer et citer encore les mille et mille auteurs que tu connais ! C’est important. Ca fait "genre". Et ça t’évite, le temps d’un ou d’un message tout du moins, d’être grossier... du moins par le verbe ; car par la pensée, c’est à peu près constant.