@Qaspard Delanuit et @ bubu12 , Bonjour à tous les deux. Honnêtement j’ignore si quoi que ce soit a pu changer au CHU de Marseille. Par contre, ce que, sauf erreur, nous croyons savoir, c’est que l’usage de la chloroquine a été officiellement interdit. Or, et par la plus grand des hasards, c’est à quelques semaines près, à partir de cette interdiction que la pandémie a commencé à se développer chez les phocéens... Cette interdiction, entre autres choses, a d’ailleurs fait l’objet du mouvement de contestation "Laissez les médecins prescrire !" Mais je peux me tromper, et bonne journée à vous deux.
Bravo monsieur Philippot et bonne chance à vous, car :
Le sénateur Jomier nous a démontré :
que tant que le professeur Raoult et le CHU de Marseille ont pu soigner leurs patients vite et bien, le niveau de la pandémie à Marseille est resté au plus bas.
que lorsque l’on a interdit au professeur Raoult et au CHU de Marseille de soigner leurs patients vite et bien, le niveau de la pandémie a augmenté à Marseille.
que si le niveau de la pandémie a augmenté à Marseille, c’est la faute au professeur Raoult !!!
Finalement, si tous les médecins qui s’épanouissent au Parlement, ou dans des partis politiques totalement déconsidérés, ou encore devant les micros et cameras, allaient retrousser leurs manches dans les cabinets médicaux opérationnels, la nécessité de supprimer le Numerus Clausus se ferait sans doute moins pressante !!!
>>>Accepter la dangerosité de l’existence<<< est évidemment une sage approche existentielle dans une société évoluée, donc équilibrée !
A condition, toutefois que cette société évoluée, donc équilibrée, n’omette pas de fesser vigoureusement les joues (Dixit Cyrano de Bergerac) d’une certaine catégorie de dirigeants acceptant avec beaucoup de désinvolture les dangers de l’existence pour les classes défavorisées et moyennes à seule fin de capitaliser au delà de limites humanistes acceptables et dans un but géopolitique capitaliste-financiarisé inavouable !!!
Par exemple une classe dirigeante réputée française qui supprime des lits d’hôpitaux à qui mieux-mieux, avant de faire fabriquer ses médicaments les plus utilisés à dix mille kilomètres de Paris pour finir par sacrifier visiblement son troisième âge (et quelques autres de ses membres également) sur l’autel de la rentabilité !!!
Au fait ???
Y a-t-il encore des élections démocratiques dans ce pays ???