La raison me pousse à penser que l’on agresse pas un homme comme cela, qui plus est un Président de la république. Pourtant, j’ai envie de rire, à voir ces images !
Il ne faudrait pas se tromper : une victime même si elle n’ose pas parler et se plaindre reste une victime. Il y a deux choses dans la démarche de ce plaindre d’un abus : -un effort su soi-même pour se mettre en scène et s’obliger à revivre et répéter son traumatisme alors qu’on veut bien souvent l’oublier au plus vite. Les interrogations obligatoires sur soi-même qu’il faut affronter et bien souvent exposé à autrui en prenant le risque que l’autre ne comprenne pas (et ne parlons pas de la presse) avec bien souvent ses propres incompréhension. -et la peur de pas être cru(e) et d’en subir les conséquences soit un nouveau trauma supplémentaire qui amplifie le premier.
Alors aulieu de juger cette femme journaliste, écoutons ce qu’il dit révélateur d’une certaine ambiance sociétal à certain niveau.
C’est vraiment pas marrant, à la limite de l’écoereument de voir toute cette salle rire grassement, avec ce que l’on sait aujourd’hui et bon nombre de personnes de la médiacratie connaissaient. t il ne s’agit d’un homme porté sur le sexe, séducteur impénitent comme on peut le lire par ailleurs et tel que c’est présenté ici, mais d’une accusation de viol, qui si elle se révèle avérée révèle un prédateur sexuel usant et abusant de son pouvoir.............