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Le contre argument de Baroin au sujet du Japon est hors propos. C’est encore une façon habile et "séduisante" de politicien professionnel de renvoyer d’un revers de main l’enjeu sur la création monétaire.
Il faut savoir que la
dette japonaise a précisément joué son rôle d’actif sans risque à
un moment où l’économie mondiale subissait une forte remontée des
taux d’épargne et une plus forte aversion au risque. L’assouplissement monétaire ayant donné les rendements japonais plus attrayants aux yeux des
épargnants. Les banques centrales étrangères ont joué un rôle en achetant
des titres publics japonais à court terme. Ce qui a poussé les agents étrangers à détenir une part importante de la
dette publique. L’État japonais s’est vue depuis pressé d’ajuster ses finances
publiques pour réduire son endettement.
Je ne parle même pas de la contraction économique des marchés occidentaux et de la concurrence directe avec la Chine qui rendent veines toutes les politiques de dévaluation du Yen en vue d’une relance. Si tous les états du monde possédaient l’assouplissement adéquat de leur monnaies, on ne se retrouverait pas dans ce bordel !
Cela aurait aussi pour conséquence de pousser tous les rentiers ou autres parasites financiers à se sortir les doigts du cul !!!
Baroin est bien ce petit Marquis correctement coiffé au service de la Ploutocratie, n’en déplaise à tous ces pourfendeurs guignolesques de la théorie du complot..
Il faut pas délirer et sombrer dans le n’importe quoi avec les USA ! Que tu le veuilles ou non, la France est une nation historique qui tient en respect un bon nombre d’autres pays. Une attaque préventive pour une simple modification politique n’est pas sérieux...
Et puis tu oublies le TCE de 2005 et ce malgré la propagande des Ouistes en son temps. On imagine alors ce que serait d’imposer dans les médias un véritable débat équilibré sur la question de l’Euro par exemple. Or, c’est exactement ce que propose le FN...
Voilà une phrase dépourvue de logique et qui ne veut absolument rien dire, si ce n’est jeter le discrédit faute d’argumentation ! Si la critique n’existait pas, il n’y aurait pas de débat et s’il n’y a pas de débat, il n’y aurait plus de politique ! Donc, il faut savoir ce que l’on veut ?
À moins que vous préfériez reconduire les effets de rhétoriques d’un Montebourde et vous asseoir dans le conformisme de la pensée unique, c’est à dire précisément à l’endroit où le mensonge et l’enfumage sont instrumentalisés et institutionnalisés...
Ce n’est pas une posture très défendable ?
Il semble évident que la cacophonie soit aujourd’hui l’apanage de notre défenseur de grand-mère. Entre le divorce consommé d’un Sapir et l’accusation extrême droitière d’un Moscovici, l’exercice de grand écart de notre grand Démondialisateur le pare d’une préciosité béatement ridicule. Il faut bien que jeunesse passe, l’idéaliste anti-TCE à dû faire un paquet d’allégeances depuis pour arracher son job de ministre à la corbeille. Une idée peut parfois en cacher une autre...
Montebourde nous prend pour des cons depuis bien trop longtemps ! Il n’est pas possible que cet ancien du NPS et de la synthèse de 2006 continue à croire que l’Union Bruxelloise soit modifiable par l’Entrisme ministériel ? L’évidence du jargon technocratique et du Surnumérsaire ne sont là que pour impressionner, ou paralyser toutes initiatives de bon sens.
L’avantage de cette démonstration ne servira pas les intérêts personnels de cette homme politique, car il s’agit bien de cela à mon sens. Au contraire, nous avons la preuve ici que cette Europe n’est pas réformable et que le seul moyen d’y remédier est d’en sortir une bonne fois pour toutes !
Afin d’édulcorer la critique face au Sionisme et les réactions naturelles qui devraient en découler, l’outil de propagande cinématographique opère un semblant d’impartialité en objectant quelques intrusions sociétales dans le réel.
Pour ne s’intéresser qu’au box office et autres « Vérité si je mens », les protagonistes de la dite communauté sont immergés dans des récits où le ciment moral et culturel sont toujours maintenus en toile de fond. Ainsi, le Anconina Libéral vaincra la traîtrise qui lui a été faite par la duperie du négoce. Le Juif New Yorkais, Orthodoxe, vendeur d’ecstasys, sera rattrapé par le divorce avec sa communauté...ect
Dans les deux cas, ces fables se situent par delà le Bien et le Mal tout en effaçant l’archaïsme théologique. Une incroyable pirouette apologétique de la vérité révélée, seule et moderne devant le chaos du monde.
C’est aussi le meilleur simulacre pour
l’auto-critique. Les Robins de Robe s’emparent de l’apparat et la
confusion est à son comble. Ni victimes, ni bourreaux et encore
moins initiateurs, il n’y a jamais de tragédies. Les héros passent
dans le temps présent comme ils passeraient dans un roman
philosophique. Nous seuls, pauvres Goys, nous rêverions d’une vie
aussi belle et spirituelle...
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