@QAmonBra
haaa le fameux suprémacisme blanc/européen.
Oui, c’est un privilège de naître blanc, de faire partie d’un peuple qui a apporté tant à l’humanité.

Je suis suprémaciste en ma maison, et c’est bien normal que les européens soient suprémacistes sur leurs terres ancestrales.
Tu imagines que les Guatemaltèques aillent expliquer aux Japonais qu’ils sont suprémacistes au Japon parce qu’ils ne veulent pas se plier aux exigences Guatelmaltèques ? Ben c’est pareil quand les africains viennent imposer leurs modes de vie en Europe.

Bien sûr que le suprémacisme est génétique : à peu près tous les peuples de la planète ont une forme de suprémacisme s’ils en ont l’opportunité. Va demander au Hutu s’ils ne sentent pas supérieurs aux Tutsi, ou les Japonais au Chinois (et inversement), etc... Dans certaines tribus l’étranger n’est même pas considéré comme humain, et peut être comestible.

Ce sont les européens qui ont inventé l’humanisme, mis fin à l’esclavage, pratiqué encore de nos jours dans certains pays musulmans, et ultra-commun en Afrique avant que les européens n’y fourrent leur nez.
C’est grâce au suprémacisme blanc que vous pouvez profiter des technologies européennes.

Un peuple qui n’est pas suprémaciste, c’est juste un peuple qui se fait bouffer par les autres, trop content de combler le vide.

Le colonialisme a certes provoqué des souffrances. So what ? qu’est-ce qui n’a pas provoqué de souffrance au juste dans les relations entre les peuples au cours des 10 dernier millénaires. Il a aussi apporté beaucoup de bienfaits technologiques à de nombreux peuples. Ce n’est pas pour rien que tous ceux qui le peuvent s’approprient et copient les technologies occidentales qui évident que 1 enfant sur 2 ne meure avant 10 ans, comme c’était le cas avant le méchant suprémacisme européen.

C’est à chaque peuple que revient de se sortir les doigts et de construire son propre avenir au lieu d’accuser les autres peuples de leurs échecs. (ce qui est valable aussi pour les européens d’ailleurs, ou beaucoup de natios se lamentent de l’influence du lobby qu’on ne peut pas nommer au lieu de se regarder dans le miroir)