Quelle mouche a piqué le néo-naturalisé français B. Sansal, pour remettre les pieds en cette Algérie qu’il honni, comme son compère tricheur K. Daoud ?
Après ses déclarations affirmant, entre autres provocations sur l’islam confondu volontairement avec l’i$lamisme, qu’une partie de sa terre natale, le pays aux millions de martyrs du colonialisme, appartiendrait à une monarchie dégénérée n’ayant jamais versé une goutte de sang pour la libérer et, fait en soi déjà rédhibitoire pour les algériens, être allé chercher auparavant, comme un toutou à sa mémère, un "nonosse" et quelques caresses chez les racialistes génocidaires de l’apartheid en Palestine ?
Imagine t on après la Libération, le sort d’un prétendu écrivaillon français remettant les pieds en France, ayant précédemment critiqué le "terrorisme" de la Résistance, affirmé que l’Alsace et la Lorraine appartiennent à l’Allemagne et, cerise sur le Forêt-noire, être allé chercher une récompense chez la Kommandantur à Berlin durant l’occupation ?
Même si elle choque les habituels pisse-vinaigres, la comparaison est valable pour comprendre la réaction des autorités algériennes soutenue, n’en déplaise toujours aux mêmes, par l’écrasante majorité du Peuple algérien.
Urgence familiale ?
Ou/et
Mal sous-estimé du pays !?
Ou/et
Jouer le rôle du dissident "injustement" persécuté, dans le cadre d’une "psyops" $ionnarde montée de toutes pièces contre l’incontrôlable Algérie ?
Accélération de l’Histoire oblige, nous le saurons bien assez tôt. . .