ffi, en parlant d’amusement je parlais de décontraction ou de disposition plus propice pour le cerveau à un apprentissage durable et efficace dans un milieu d’étude agréable plutôt que dans un milieu où la concentration est quasi impossible pour cause de stress intensif, sonore, hostile, tendu pour causes de diverses raisons qui rendent le bien être et la relaxation, les prédisposition à recevoir une connaissance et l’imprimer durablement dans nos cortex cérébraux, la confiance au professeur, j’allais dire hypnotiseur, nécessaire à un bon enseignement et une bonne réception de cet enseignement, hors conflit entre l’élève et l’autorité ou vice versa, un environnement qui pourrait s’adapter à un cadre invitant à l’étude plutôt qu’à l’appréhension pour cause de trop de divergences multiples au sein de classes désunies. Car en m’amusant, je me détends, c’est à dire en m’abandonnant complètement et prenant plaisir à apprendre ce que l’on m’enseigne, cette méthode est également valable en terme d’efficacité dans son inverse, le sérieux, le douloureux, la souffrance, qui est le pendant inverse de l’amusement, l’apprentissage par joyeuseté, par plaisir, par décontraction.

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J’ai appris des choses qui me sont restées gravées, souvent sans m’en rendre compte car leur étude a été agréable. --- Amusement, plaisir, enthousiasme

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Mais je n’ai pas qu’une existence virtuelle et il existe une autre école, celle du sérieux, des contraintes, de la pratique d’apprendre sur le tas, de la souffrance même, jusqu’à une question de survie parfois, qui m’a appris tout aussi efficacement mais de façon beaucoup moins agréable que celle de l’amusement.

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C’est pourquoi, n’étant pas plus masochiste que cela, je préfère apprendre en m’amusant qu’en souffrant pour un quasi même résultat, quoique les choses apprises en souffrant laissent des marques au fer rouge dans les méandres de nos neurones, si profonde qu’il est difficile d’oublier la leçon, peut être un avantage sur la méthode de l’amusement, mais à quel prix de notre capital innocence en contre partie ?

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A chacun son instrument de mesure et son inventaire des stocks disponibles en matière d’optimisme ou de pessimisme, de résiliance ou de fragilité face à l’adversité... Un bilan comptable propre à chacun d’entre nous.