Intrigues des Financiers internationaux sur la scène mondiale
L’ éducation nationale reste étrangement silencieuse quant au rôle majeur des financiers internationaux sur la scène mondiale (guerres, crises économiques, luttes d’influences...)
Les secrets de la Réserve Fédérale de Eustace Mullins, Michel Drac et Jean-françois Goulon (Broché - 30 septembre 2010). La lecture de ce livre est indispensable pour tous ceux qui veulent comprendre le monde dans lequel nous vivons.
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Le cartel des banquiers internationaux est impliqué dans les 1ère et 2ème guerre mondiale et la guerre du Kosovo. Pour financer les efforts de guerre, les Etats de tous les partis belligérants se sont lourdement endettés auprès des banquiers internationaux. L’argent n’a pas d’odeur pour les dynasties de banquiers qui prêtèrent indifféremment aux anglais, français, américains, allemands....
Le pouvoir financier mondial serait l’ instigateur de la grande dépression de 1929. En manipulant les cours, la réserve fédérale américaine (créée peu avant pour assurer la "stabilité monétaire"), aurait provoqué un manque d’argent à court terme sur les marchés de New York, ruinant au passage des établissement bancaires concurrents. Grâce à cet effet d’aubaine, de grandes familles de banquiers auraient racheté de grandes compagnies à moindre coût..
A deux reprises en 1832 et 1836, le Président populiste Andrew Jackson mit son véto à la création d’une banque centrale. Il réchappa à une tentative d’assassinat le 30 janvier 1835. Par un coup de bol inouï, les deux pistolets de l’assassin s’enrayèrent. Bien d’autres politiciens populistes[*] opposés à l’omnipotence de la FED n’auront pas la même chance. La réserve fédérale des Etats-Unis détiendra le contrôle de l’émission monétaire à partir de 1913.
Assassinats politico-financiers ?
( Aller à 0,50 s)
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[*] Le populisme désigne les mouvements politiques qui se réfèrent au peuple pour l’opposer à l’élite, au grand capital, aux privilégiés ou à une petite minorité ayant "accaparé" le pouvoir... accusés de trahir égoïstement les intérêts du plus grand nombre. Le terme populisme est en général utilisé dans un sens péjoratif par ses opposants, c’est-à-dire les hommes de pouvoir, pour amalgamer et critiquer tous les "archaïsmes" et freins au développement de leur politique qu’ils pensent détecter parmi le peuple. Source "Toupictionnaire"
Tags : Economie Information et Médias Education Histoire Entreprises Démocratie Finances Désinformation Lobby Guerre
12 réactions à cet article
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je n’ai pas le temps de les voir toutes, et n’ai vu que la première vidéo.
ce qui m’étonne, c’est qu’ils ne parlent pas de l’abandon de l’étalon-or en 1914, qui a justement causé la possibilité de création monétaire, et donc explosion de la dette..-
Je crois qu’ils en parlent dans la seconde vidéo.
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ils parlent en effet du deuxième abandon de l’étalon-or, ou plutôt de l’étalon-devise-or de manière succincte
en 1914, le véritable étalon-or est abandonné (faisant du même coup durer la ww1). Un avatar et donc inefficace étalon-devise-or fut réintroduit à la conférence de gênes en 1922. ça a donné la création monétaire énorme des années 20, la crise des années 30, le deuxième abandon de tout étalon-or, puis la seconde guerre mondiale..
dommage qu’ils n’insistent pas sur la nécessité de l’étalon-or, gage de stabilité, et de dettes maitrisées..
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Pour les libertarien, Morgan&Co n’ont pas existé et Roosevelt (2 tentative d’assassinats) est même responsable de la crise selon eux.
Pour la gauche banquière, Roosevelt et ses 100 jours pour juger (mythique depuis) sont tabou.
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Arrête la chopine, tu racontes n’importe quoi.....
Va finir ton château, Pluto..... -
Moi je suis fier d’être honteux d’avoir oublié l’historique des régulations financières.
C’est pas à la porté du premier faux indigné (ceux qui sont pas des pigs).
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On peut être impétueux et ignard mais on ne peut pas nier les faits historiques :
Le lobby financier, une fiction ?
Les assassinats politique ou mercantile, une fiction ?
Les importants moyens financiers pour soutenir un effort de guerre, une fiction ? etc.... -
Il faut ajouté à ce constat qu’à la libération des lois anti-29 (steagall + crédit publique pour l’INVESTISSEMENT) responsabilisait les peuples qui devait produire leur moyen de subsistance. Ils étaient indépendants.
Maintenant tout le monde joue aux indignés comme si les pays des 30 glorieuses n’avait pas eux le choix entre garder cette indépendance et vivre dans le cocon de la dette publique promit par le système financier si nous abandonnions la nation.
Jouer aux naïfs est une régression pour nous. A la libération tout le monde connaissait la nuisance de la finance folle chez nous. Nous devrions être honteux. Tout ça parce que le seul pays a ne pas être sombré dans l’autoritarisme était les USA grâce à Roosevelt qui a banni les to big to fail avant que l’UE force les USA à y revenir et que c’est interdit de le dire. Honteux je vous dit.
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@rastapopulo
"Pour les libertarien, Morgan&Co n’ont pas existé et Roosevelt (2 tentative d’assassinats) est même responsable de la crise selon eux.
Pour la gauche banquière, Roosevelt et ses 100 jours pour juger (mythique depuis) sont tabou."
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salut rasta,
pourriez-vous être plus explicite ? j’ai du mal savoir où vous voulez en venir par rapport à la dette..
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Je réagis surtout dans le document à ce qui a provoqué 29 : Milton qui explique que c’était la diminution dans l’offre de monnaie (qui ? pourquoi ? le mystère plane dans son intervention)
Et je repense aux arguments des libertariens contre toute régulation bancaire qui rejoignent au final les même tabous que la gauche bancaire, "ne surtout pas parler des mesures anti-29 de Roosevelt " (qui échappa aussi à des tentatives d’assassinats ce qui est autre sujet du documentaire ).
Époque passionnante qui nous donnera les principes des 30 glorieuses : rôle dynamique des nations ne devant pas amortir les choques pour la finance. Et il y avait dévaluation ! Et il y avait inflation ! Mais comme les dépenses était productive, le travail était mieux rémunérer. C’est donc uniquement pour transférer les risque des financiers (tous le monde est un peu rentier ceci-dit) au publique que l’état s’endette avec monnaie forte.
Les financiers veulent que les taux d’intérêts découragent les dépenses inutiles pour sauvegarder de toute inflation. Moi je verrais bien des catégorie de dépenses pour du crédit publique sans intérêts : la recherche, l’équipement,...
Vu que le combat contre l’inflation n’est pas mauvais en soit mais qu’il doit venir après le développement industriel (donc démocratisation de la science productive).
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