Un marché libre a besoin de règles
Cette nouvelle vidéo explique pourquoi un marché libre a besoin de règles, comme un jeu a besoin de règles du jeu, de la même façon et pour les mêmes raisons. Cependant, l’activité réglementaire excessive réalisée par l’Etat a l’effet inverse. Comment pourrait-on jouer au baseball, par exemple, si les règles du jeu changeaient constamment ?
Tags : Economie Politique
11 réactions à cet article
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Les anti-libéraux sont les idiots utiles des corporations et lobbys.
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Concrètement je te sens contre le GlasSteagall. Donc tu ne protèges pas les dépôts, donc tu crées des bank run lors des faillites. D’après toi le bénéfice à long terme surpasse la petite contrariété à court terme...
Ou alors c’est tout simplement du dogmatisme qui ne veut pas reconnaître que les to big to fail n’éxistait pas avec le GlassSteagaal et que de toute façon une fois créés, le plus simple est de séparer les activités d’investissement (à risque) et de dépôts (sans risque) pour empêcher les bank run.
Et les exemples comme ça, il y a en a plein. Parce que les mauvaises régulations n’excluent pas les bonnes historiquement prouvés. Tout comme les bonnes gestion du privé n’exclue pas les mauvaises. C’est triste c’est tout ce que tu veux mais c’est comme ça.
Dans le cas de la finance folle, c’est vraiment pathétique de vouloir tout mettre sur le dos des politiques nationales alors que la City sert de modèle à la financiarisation actuelle. Ne parlons pas des 30 glorieuses industrieuses, patriotes et anti-finance folle avec crédit publique sans dette publiques. L’économie mixte est un tabou idéologique pour beaucoup. -
Frenchdissent est un esclave utile.
Dans l’argument con et court tout le monde sais faire.
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Historiquement, c’est plutôt les libéraux qui ont été les idiots utiles de certaines corporations et autres lobbys... Mais ils ont été cocu...
N’oubliez pas que libéraux, après 1789, parmi lequel un certain Dupont-de-Nemour soit dit en passant, ont activement participé à détruire toutes les réglementations économiques d’alors, comme à détruire toutes les structures économiques historiques (corporations), au nom de la liberté du commerce...
Ils promettaient alors la fin de ces intolérables corps intermédiaires qui bénéficiaient de la protection légale pour assurer la subsistance de ses membres, généralement des artisans indépendants, pour aller vers un monde composé uniquement d’individus libres.
Mais dans les faits, les biens des corporations, qui étaient ceux des ouvriers français, ont été revendus à de très riches bourgeois, qui ont sitôt recréés des corps intermédiaires, mais cette fois non plus composés d’artisans libres, mais de prolétaires soumis aux actionnaires...
Donc les libéraux, ne vous plaignez pas des corporations actuelles : elles sont votre pure création...
Quand on a une idéologie abstraite, si l’application tourne au fiasco, alors l’intelligence est de la laisser de coté, sinon, c’est cela qu’être idiot.
Le libéralisme est une propagande de l’empire Britannique, pour agrandir son pouvoir politique sur l’Europe. Il n’a jamais eu pour but la liberté, mais l’asservissement des autres peuples. Et le Marxisme, c’est pareil : Marx est enterré à Londres, il a opéré sa propagande depuis Londres.
Ainsi, l’Empire Britannique a tenu les deux cotés de l’idéologie politique, depuis 2 siècles, présentant alternativement l’un comme solution quand l’autre échouait.
Mais ces deux cotés, libéral et marxiste, ont été cocus : leur but n’a jamais été une libération, mais le renversement des pouvoirs pour soumettre à terme les peuples à la banque universelle.
Voyez aujourd’hui comme les libéraux et les cocos prêchent dans le désert : la mode est aujourd’hui à la dictature écologique.-
Le concept de banque centrale pseudo-indépendante qui laisse toute manœuvre à la création monétaire privé (la fameuse banque de risque universelle) vient d’ailleurs d’Angleterre. Une bonne manière de rabaisser l’industrie vecteur de souveraineté nationale.
Et l’écologie malthusienne de Lord Goldsmith, financier aristo et "parrain" de l’écologie moderne, ne peut être qu’anti-industrie (délocalisons, "loin des yeux loin du cœur") !
A la limite passer outre ces faits mais les nier ? -
J’ai ouï dire, par un gars nommé Denissto, que les clés de la Banque d’Angleterre avaient été données par Guillaume d’Orange, en récompense du soutien de certains financiers à l’armement de ses troupes, lorsqu’il prit le pouvoir à Londres.
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La lecture de ce fil de commentaires est un vrai plaisir !C’est pas à la télé qu’ il y’ a des débats comme ça !
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Les corporations d’ancien régime étaient des organisations mafieuses tenues par quelques familles et qui ,n’hésitaient pas à briser les jambes des entrepreneurs extra-légaux avec l’aide de l’état. Littéralement. Ce qu’il nous faut c’est une nouvelle loi le Chapelier pour mettre fin aux monopoles publiques et aux oligopoles légaux des corporations.
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dura latex sed latex !
La loi n’est extensible que jusqu’à un certain point, au delà c’est le / garanti pour les doigts du législateur dominant !
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Un marché libre à besoin de règles...Juste le titre est un problème.
le mot "libre" et "règle" ne peuvent être dans la même phrase.Ce genre de phrase est issue d’un langage technocratique manipulatoire, juste le titre nous laisse deviner le reste...
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