Et moi je suis boycotté partout, parce que je ne voudrais être, librement, d’aucun autre parti que celui de la raison – mais je ne m’en plains pas, bien au contraire.
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Il en est des nations comme des hommes, chacun est le riche ou le pauvre de plus riche ou de plus pauvre que lui (ou elle)-même.
Le problème revient donc à une affaire d’échange et consiste à savoir à quelle riche chacun accepterait d’être inféodé, de tout échange résultant un profit plus ou moins satisfaisant.
À
celles et ceux (nations comme individus) dont le nombre croissant sans cesse, ainsi que l’insatisfaction aveugle, aggravent les maux dont ils se plaignent
La réalité de la condition humaine étant d’ordre structurel et accessible au premier venu, les croyances et idéologies refusent de la voir pour ce qu’elle est. Les pouvoirs fondés sur ces croyances et idéologies préfèrent en appeler aux sentiments, à la crédulité, à la superstition et aux frustrations de leurs adeptes et électeurs, flattant ainsi ces derniers dans le sens du poil, au détriment de la vérité.
@Zip_N « Richesse et pauvreté tout comme pour le réchauffement planétaire, c’est systémique, les mesures "esthétiques" sont prises tardivement pour éviter une pseudo lame de fond climatique tranchante et catastrophique. »
Pour ce qui est de la relation richesse/pauvreté au moins, ne serait-il pas plus convenable de qualifier ces mesures d’humanistes, même si ce terme est en voie de disparition, après avoir été trahi par des pouvoirs – à commencer par le religieux par son dogme surnataliste – plus soucieux du nombre que du bien-être (et pas seulement temporel) de ceux sur lesquels il se sont fondés, ont propséré et prospèrent encore –, avec de plus en plus de difficultés il est vrai.
La vertu est ce qu’elle est, mais hélas sans effets sur les réalités structurelles de notre société, et encore moins sur les
pires égoïsme, indifférence et hypocrisie à l’égard des
pauvres, émanant de l’humanité et de ses pouvoirs, à commencer
par le religieux et le politique.