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Éric Guéguen

Éric Guéguen

Le monde actuel en 20 penseurs :
 
Platon - Aristote - Lucrèce - Farabi - La Boétie - Montaigne - Spinoza - Rousseau - Hegel - Tocqueville - Nietzsche - Ortega y Gasset - Polanyi - Strauss - Arendt - Vœgelin - Villey - Dumont - MacIntyre - Lasch
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« Le citoyen typique, dès qu’il se mêle de politique, régresse à un niveau inférieur de rendement mental. Il discute et analyse les faits avec une naïveté qu’il qualifierait sans hésiter de puérile si une dialectique analogue lui était opposée dans la sphère de ses intérêts réels. Il redevient un primitif. Sa pensée devient associative et affective. »
(Joseph Schumpeter, Capitalisme, socialisme et démocratie, Quatrième partie, XXI, 3 (p.346)).
 
Contact : [email protected]
Le Miroir des Peuples, éditions Perspectives Libres, 2015

Tableau de bord

  • Premier article le 05/12/2012
  • Modérateur depuis le 28/02/2013
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Derniers commentaires




  • 2 votes
    Éric Guéguen Éric Guéguen 28 novembre 2012 18:03

    @ exemple REQUETE = 0 :
    --------
    Il existe aussi une liste de mots qui le mettent en pâmoison :
    "Ayn Rand"
    "Jean Robin"
    "égoïsme"
    "individualisme"
    "Jean Robin"
    "Steve Jobs"
    "liberté d’expression"
    "Jean Robin"
    "De Gaulle"
    "égoïsme"
    "fascisme islamique"
    "Jean Robin"
    "Merci de me démontrer que..."
    Tiens, j’ai dit deux fois "égoïsme" !
    --------
    Quant au fait de parvenir à concilier libéralisme économique et patriotisme, là, c’est carrément la quadrature du cercle de ce début de siècle. Au-dessus de ses forces, donc.



  • 2 votes
    Éric Guéguen Éric Guéguen 28 novembre 2012 17:28

    @ Arsene Icke :

    Le comble, voyez-vous, c’est que Robin demande à ses abonnés, en guise d’"actions citoyennes", d’envoyer des courriers aux différents médias pour se plaindre que ceux-ci ne parlent pas assez de son bouquin sur la gauche !!! Et les mecs marchent à fond...

    Déjà il y a quelques mois il leur avait demandé de compter les fois où chaque "intellectuel" passait dans les médias (qui ne veulent pas de lui), tout ceci sous couvert de transparence démocratique, mais pour mieux se hisser en haut d’une liste de prétendus "intellectuels" injustement boudés, malgré un indéniable talent...
    Et déjà ils avaient marché...



  • 2 votes
    Éric Guéguen Éric Guéguen 28 novembre 2012 15:12

    @ Machiavel :

    Je pense surtout que Robin est dans l’incapacité cognitive d’envisager un libéralisme autrement qu’économique. Il emprunte d’ailleurs ce contresens aux auteurs de son panthéon, Ayn Rand en tête.



  • 2 votes
    Éric Guéguen Éric Guéguen 28 novembre 2012 14:43

    Machiavel :

    Quelques liens qui n’ont rien à voir avec Chavez, mais qui vous intéresseront...
    D’abord la toute dernière traduction du Prince en français :
    http://www.amazon.fr/Le-prince-Nicolas-Machiavel/dp/2365833292/ref=sr_1_4?ie=UTF8&qid=1354109952&sr=8-4
    Ensuite ce qu’en disait l’auteur sur France Culture, ce matin même :
    http://www.franceculture.fr/emission-le-journal-de-la-philosophie-le-prince-de-machiavel-2012-11-28

    Cordialement,
    EG



  • 2 votes
    Éric Guéguen Éric Guéguen 28 novembre 2012 10:08

    @ gerfaut :
    -----

    Bonjour à vous et merci pour cet échange.
    Je vous soumets mon point de vue :
    -----
    "Libéralisme" découle de "libéral". Or, étymologiquement, être "libéral", c’est avoir la liberté de donner sans rien attendre en retour, autrement dit faire preuve de "libéralité", ce qui est plus aisé à tenir, il est vrai, eu égard aux connaissances qu’aux objets physiques.
    Une éducation "libérale", par exemple, consiste à faire de l’élève un être autogouverné en lui dispensant des savoirs sans contrepartie. Bien sûr, le maître doit aussi gagner sa vie, mais il ne s’agit pas d’un échange commercial, la finalité est de rendre libre, voire vertueux un individu, pas d’en tirer profit. En étudiant le terme "libéral" originaire, nous sommes donc au rebours de toute idée de marché.
    -----
    Ceci est un fait, pas une opinion, et un fait qui dépasse et les "libéraux" (qui assument au moins leur inculture par le fait que celle-ci ne leur coûte pas un rond) et les "socialistes", formés au même moule utilitariste et condamnés, quant à eux, à n’être que les idiots utiles des premiers.

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