La vie, une course de relais réussie, le fondement même du mouvement et de la disponibilité attentive du samaritain de l’évangile de Matthieu... à condition que la psychanalyse s’en mêle pour donner tout le relief et le sens à cette métaphore essentielle de jésus. La réflexion d’un sage.
Merci de votre intervention. Il existe donc une équipe de surdoués sur Agoravox qui oscille allègrement entre instinctivité et intelligence dans l’illusion la plus sophistiquée. Le Prince de ce monde ne chôme pas. Je suis admiratif devant ce déploiement de facultés humaines...au risque de m’y perdre !
Le
sujet traité par Francis Cousin à travers Debord, dépasse le
personnage analysé : « L’intellectuel et le penseur. »
L’intellectuel
pour F. Cousin est dans une imposture narcissique personnelle, il
congèle la pensée, développe sa bibliothèque, réunit quelques
livres pour en écrire un « nouveau » d’où
l’imposture. Le penseur, selon F.C. est
créatif, il épouse la naturalité cosmique. Il est l’humble
réceptacle d’infini, conscient, il n’en tire aucune gloire. Sa
réceptivité s’ouvre au vivant, à l’inconnu, à l’originalité.
C’est
pour lui un privilège fugace, pour
un temps variable, il est inspiré.
Les artistes les plus doués connaissent sans doute assez fréquemment
ce merveilleux état de conscience. F.C. focalise ce privilège sur
Debord. En ce qui vous concerne vous montrez du doigt le faussaire,
soulignant la zone d’ombre au paroxysme du néant. Il me semble que
la vérité se situe entre les deux états de conscience pour
l’humaine condition avec des
nuances variables
pour chacun de nous.
Elle est simplement ce que l’on doit attendre d’un journaliste. En plus, elle ne manque pas de courage, comme vous le dites.
Jusqu’où les français accepteront d’être lâches et stupides pour permettre aux médias, aux politiques et financiers de poursuivre leur besogne frauduleuse et meurtrière.
Il fallait s’abstenir de voter. Entre un acteur creux de série B et une femme maladroite et incompétente, il était indispensable de s’abstenir.
Les rédacteurs du rapport Freedom of Thought, publié en 2013 par la International Humanist and Ethical Union (IHEU)[1]
indiquent que dans 1/5 des Etats du monde (39 sur près de 200),
incluant six pays dits « occidentaux » où est punie « l’offense aux
religions », les athées, agnostiques et sceptiques à l’égard des
croyances religieuses sont la cible de lois punitives allant de l’amende
à la mort en passant par la prison[2].
La situation des pays majoritairement musulmans est qualifiée de
désastreuse en la matière. L’athéisme y est condamné au moyen des
catégories du « blasphème », de l’ « atteinte à la morale » ou du
« trouble à l’ordre public ».