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lloyd henreid

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misanthrope

Tableau de bord

  • Premier article le 05/10/2013
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    lloyd henreid lloyd henreid 14 mars 2013 21:21

    @ DIVA : je suis bien d’accord avec vous. Pour ça que cette histoire me chagrine et me trouble, c’est pas "normal" qu’un pape renonce de la sorte (heureusement que le suivant, lui, est parfaitement "normal" ! C’est une mode, décidément). Le septième roi, pour Jean, devait rester peu de temps et je constate que c’est le cas ; qu’il a "dû" partir avant de rester trop longtemps ; qu’on l’y a poussé à l’aide de scandales et que le coup de grâce est venu de la bête-argent. Benoît XVI était bien le septième roi depuis les accords du Latran qui reconnaissent le Vatican comme un État indépendant, faisant du pape un chef d’État càd un roi. Mais résumons les événements pour faire ça bien :
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    1) Toute fin 2011, ou début 2012, menaces d’élimination du pape "dans l’année" : on y parle d’assassinat mais de mon point de vue, le "renoncement" produit un peu le même effet.
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    2) Pile douze mois plus tard, le Vatican déjà accablé par les scandales (pédophiles, lobby gay, etc. — la bête-sexe) subit une asphyxie bancaire via le blocage de ses terminaux de paiement. La cause : des soupçons de blanchiment d’argent et autres choses condamnables tant par la loi qu’au plan moral. Outre le très beau coup de pub, une fois encore, le plus petit État du monde perd la bagatelle de 30,000€ par jour d’après la Croix : une véritable hémorragie qui bloque toute l’activité commerciale (les pèlerins étant par exemple obligés de payer en liquide pour visiter ses musées).
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    3) Un mois plus tard, soit trente jours, soit déjà 30*30,000 = près d’un million d’euros de pertes, la pape ou chef d’État (= roi) annonce son renoncement. C’était le 11 février dernier et le jour-même, la foudre frappe par trois fois le toit de la Basilique — comme elle avait frappé l’avion de monsieur "changement", l’ennemi de la finance, pour son premier déplacement (je n’insinue rien, je constate juste les merveilleuses "coïncidences").
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    4) Le lendemain de l’annonce de "démission" (comme ça, parce que "je suis vieux"), tout s’arrange : les terminaux de paiement sont rouverts, les affaires reprennent et c’est comme s’il n’y avait jamais eu le moindre problème. Oubliés les affreux soupçons de blanchiment, le saint patron de la banque du Saint-Siège est viré, et (accessoirement) c’est un marchand de canons qui le remplace. Dis papa, tu me racontes comment le complexe militaro-industriel a pris le contrôle du Vatican ?
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    5) Le septième roi sera donc resté peu de temps, et pour nous faire marrer, choisit la Saint Romain comme date à laquelle sa démission prend effet. Frère Tuck a dû bouger dans sa tombe, m’est avis (je parle du prophète irlandais qu’il faudra inscrire au... Guiness Book des prédictions ha ha !).
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    6) Malgré la stupéfaction que tous affichent, genre "mon Dieu c’est horrible, on s’y attendait vraiment pas !", on nous annonce un conclave de courte durée. Et c’est le cas puisqu’en même pas deux jours de débats, le choix se porte sur un gentil Jésuite "normal" comme Hollande qui, d’ailleurs, lui donne son prénom. Perso quand j’ai tapé "ordre des jésuites" dans Google (sans majuscules parce que j’avais la flemme), la suggestion de recherche m’a donné ceci — vous devriez essayer, ce sera pareil pour vous ! Et donc c’est comme ça que j’ai appris que les Jésuites sont pour beaucoup synonymes de complot ultime, duplicité, trahison... et que le bon François aurait eu une attitude très ambiguë face aux dictatures les plus trash.
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    7) J’apprends aujourd’hui ce dernier jeu de mots (mais je pense que d’autres se révéleront ensuite) : outre le nom à consonance "romaine" du bonhomme, sa première syllabe "berg" signifierait donc "pierre" ou "petrus" en Allemand, la langue de Benoît XVI, celle dans laquelle furent aussi formulées les menaces d’élimination douze mois plus tôt. Comme un message perso de la bête à son encontre.
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    La boucle est donc bouclée, n’en déplaise aux athées sarcastiques dont (pourtant) je suis habituellement. Mais je crois que là, vraiment, faut se rendre à l’évidence : quelque chose se passe qui est parfaitement orchestrée, ou alors c’est une série de coïncidences "divines", j’en sais rien mais je pense que fuir la religion parce que oui, elle rend aveugle — ça sert à rien si c’est pour se réfugier dans un athéisme obtus qui rend tout aussi aveugle. Les faits sont là et que ça nous plaise ou non, nous y sommes !
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    Exciting, innit ?



  • 5 votes
    lloyd henreid lloyd henreid 14 mars 2013 01:04

    N’allez pas croire que je sois spécialement bigot, en fait pas du tout mais à propos des "prophéties" : la démission de Benoît XVI prenait effet le 28 février dernier.
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    C’était la Saint quoi, le 28 février ?
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    Reste à trouver le Pierre mais cette coïncidence m’a déjà semblé "troublante", c’était juste trop parfait... 1 chance sur 365 de le choisir et bingo, ça tombe sur le Romain !
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    Pis bigot ou pas, je crois pas à cette histoire de démission. Lobby pédophile et sauna gay, nous dit-on... mais je pense que l’asphyxie bancaire y est pour beaucoup. Les premiers sont gênants, la seconde insupportable. Heureusement sitôt démissionné, tout s’arrange ! Les affaires reprennent lol :)
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    Le "diable" est dans la place, ça ne fait aucun doute. Pas besoin de "croire" pour "voir" l’évidence, vraiment.



  • 5 votes
    lloyd henreid lloyd henreid 7 mars 2013 13:57

    Curieux message venant de quelqu’un qui en est à son 5550ème commentaire.

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