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jjwaDal

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  • 2 votes
    jjwaDal 20 mars 20:01

    @sylvain66
    Abus de langage, mais nous (les peuples européens) l’avons perdue avec certitude. Pour les USA le jury en débat encore, cela dépendra de la vitesse à laquelle le monde va se sevrer du dollar.



  • vote
    jjwaDal 20 mars 19:56

    @Eric_F
    Comme on dit par ici "ça ne mange pas de pain"...
    Sérieusement, notre pays a-t’il une seconde envisagé de rompre les relations diplomatiques, de trainer le premier ministre sioniste devant le TPI, dénoncé les "crimes de guerre" avérés, songé au boycott, songé à la saisie des avoirs sionistes chez nous ou en U.E., envoyé des armes aux palestiniens, envisagé une force d’interposition militaire (2000 hommes pour commencer...) pour empêcher le carnage ?...
    Pas que je sache. Notre pays est copain comme cochon avec un pays, les USA, qui livre des armes au boucher sioniste en action et interdit toute assistance à peuple en danger de la part des pays riverains.
    Les sionistes se sont toujours torchés avec les résolutions de l’ONU, alors imaginer une seconde que celle-ci aura un impact équivaut à croire aux lutins et à la petite souris verte.



  • 1 vote
    jjwaDal 20 mars 18:35

    M. Baud est bien gentil, mais contrairement aux russes, "nous" on a des valeurs. La preuve, le journal "Le monde" de ce matin mentionnait que M. Macron allait demander à Hitler (bon Poutine) de faire une pause en Ukraine pendant les J.O. de Paris. Par contre les sionistes peuvent continuer à transformer femmes et enfants en viande hâchée, "nos valeurs" (les siennes disons) n’y voient aucun inconvénient.
    Plus "hors sol" on fait pas...



  • 2 votes
    jjwaDal 18 mars 20:22

    Ce n’est pas de Poutine dont on doit avoir peu, mais bien de nos dirigeants et des USA en particulier.
    On sait ce que veulent les russes, qu’on arrête de les prendre pour des truffes et qu’on discute des intérêts mutuels.
    En particulier la direction russe récuse qu’il puisse exister des règles du jeu asymétriques et au bénéfice exclusif des USA, par ex doctrine "Monroe" pour ces derniers et aucun droit à aucune "ligne rouge" pour eux, par ex droit d’envahir qui bon leur semble pour les USA et de maintenir une présence non désirée pendant des décennies dans ces pays (Afghanistan, Irak, Syrie par ex) mais pas pour eux de protéger des populations russes qui ont eu la mauvaise idée de se retrouver à l’étranger à la dissociation de l’URSS et qui se faisaient tirer dessus depuis 8 ans, soutenir un pays agressé ici l’Ukraine tout en fournissant des armements à l’agresseur ailleurs (aux sionistes dans la bande de Gaza par ex).
    Aussi longtemps qu’on ne voudra pas discuter d’égal à égal, aussi longtemps qu’on refusera toute négociation, on sera incapable de se mettre d’accord en bonne intelligence tout en courant le risque imbécile de tous mourir comme des cons.
    Jusqu’au dernier moment en février 2022 ils ont appelé à la négociation, mais il n’y avait rien de négociable, pas même une autonomie relative des régions de l’est de l’Ukraine au sein des frontières de 2014 de l’Ukraine.
    Ceux qui ont vécu la crise des missiles de Cuba en 1962 serait atterré de voir leurs descendants, non seulement ne pas même considérer une issue diplomatique, mais s’acharner à vouloir la défaite de la principale puissance nucléaire de la planète et après s’être précipité vers la guerre sans même le voir , se rassurer en se disant que la réincarnation d’Hitler avec ses milliers de têtes nucléaires ne peut que perdre et nous gagner.
    C’est moi ou le Q.I. de nos dirigeants a sérieusement baissé en 60 ans ?



  • vote
    jjwaDal 1er mars 03:56

    La Russie se préparait au conflit depuis 20 ans, sans doute la raison pour laquelle il déclenche son intervention en sous effectif catastrophique contre l’Ukraine. Disposer de moins de 180k de troupes pour envahir un pays de la taille de l’Ukraine relève de la haute fantaisie militaire. Explication la plus probable : il ne s’était nullement préparé à une intervention militaire mais comptait sur les accords de Minsk pour résoudre les problèmes du Donbass. Il a tout de même refusé la demande d’intégration du Donbass pendant 8 ans, cela supporte cette hypothèse.
    Bien sûr qu’il a rééquipé son armée après la dégringolade des années 1990, suivant la désintégration de l’URSS, mais si les européens ont restreint leurs dépenses militaires, c’est que la Russie leur donnait les raisons de le faire. Elle n’était nullement perçue comme une menace avant février 2022...
    Le New York Times avoue que 14 bases de la CIA étaient installées en Ukraine pour former les troupes ukrainiennes, venant après le témoignage en 2022 d’une Nuland paniquée à l’idée que les russes puissent entrer en possession des recherches effectuées dans des laboratoires ukrainiens, sans doute pas contre la myxomatose des lapins.
    Mearsheimer indique avec gourmandise que la taille de l’armée anglaise équivaut à celle dont ils disposaient en 1714. Difficile alors de soutenir que les anglais, comme les autres européens, savaient que Poutine était la réincarnation d’Hitler, bien avant le début 2022.
    Il ne connaît pas bien son histoire. Quand Castro en 1962 autorise les russes à installer des missiles sur son territoire comme assurance-vie face aux USA, perçus à raison comme une menace, il exerce un droit qu’on estime sacré pour l’Ukraine. Les USA étaient prêts à affronter l’URSS pour qu’il n’en soit rien. Les USA ont installé une grande base de l’OTAN au Kosovo et une base de missiles en Pologne (prétendument antimissiles contre les missiles iraniens qui menaceraient l’Europe centrale ?....), l’avenir de l’Ukraine était tout traçé pour la direction russe.
    Si l’Ukraine avait été une "démocratie", elle aurait soit trouvé un moyen de fonder une unité nationale avec des composantes diverses. C’est un peu la trajectoire qu’elle avait avant le coup d’Etat de 2014. A défaut elle pouvait partitionner comme l’ex Tchécoslovaquie ou l’URSS d’ailleurs. A défaut elle pouvait trouver dans les accords de Minsk un moyen acceptable d’éviter le conflit avec la Russie.
    La sagesse voudrait qu’on accepte, comme pour le Kosovo, que cette partition demeure pour résoudre le conflit, sinon insoluble.
    Il l’est d’ailleurs, puisque la Russie estime être le dos au mur et l’occident ne se remettrait pas d’avoir comme le prédisait Mearsheimer en 2015, envoyé l’Ukraine au massacre pour rien.
    Un bras de fer entre deux puissances nucléaires, où aucun des deux ne peut lâcher au risque de perdre la face ? Cela ne vous rappelle pas 1962 ?
    Le moment est très dangereux et nous n’avons en U.E. aucun chef d’Etat digne de ce nom et pas plus aux USA. On se demande bien comment ça pourrait ne pas partir en vrille sévère...

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