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Nycolas

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  • 6 votes
    Nycolas 7 mars 2014 16:10

    Toute la panoplie du discours réactionnaire. Ridicule tentative de trolling.

    Et si vous êtes sérieux alors là, ahaha... ! Il y a vraiment de quoi rire à gorge déployée tant c’est impressionnant.

    Qu’on puisse critiquer cet idéalisme tendance hippie, Ok. Mais que ce soit en des termes d’individu frileux et coincé dans une routine qui l’aigrit jusqu’à l’os, alors là, bravo... Vous êtes vous aussi assisté, à votre manière, vu le manque total d’indépendance que vous démontrez par ce discours. En admettant que ce ne soit pas du trolling ce qui, je le répète, m’impressionnerait tant la démonstration de ridicule et de pathos en impose.



  • 11 votes
    Nycolas 30 octobre 2013 14:38

    Ce qui est dramatique c’est plutôt que ce type réponde si bien aux exigences intenables du monde actuel qu’il se sente obligé de bosser pour ses maitres, et obligé de se mettre à genoux devant eux. On voit bien là toute la dissonance qu’il y a entre sa volonté d’être, sa quête de dignité, et la nécessité, et l’impossibilité à conjuguer les deux.

    Le problème de ce type est le problème du prolétariat en général, sauf que certains le vivent mieux, et d’autres plus mal, comme il dit, en allant jusqu’à se suicider.

    Certes l’oppression et l’exploitation des travailleurs est une chose intolérable, mais faut-il y donner raison en y perdant sa vie et sa raison ? Je suis clairement moi-même un prolétaire/chômeur en situation précaire, mais je refuse de vendre mon âme à ce système, et à lui accorder légitimité et importance. Le problème est là. Les gens votent, les gens croient en ce système qui les trahit 365/365 24/24, et tout ce qu’ils savent faire contre c’est hurler et continuer encore et encore de voter pour une fausse gauche et une fausse droite, d’un état républicain qui se moque de tout citoyen par essence.



  • 2 votes
    Nycolas 12 octobre 2013 23:03

    "Peut être, mais on ne peut pas balancer de telles affirmations, ce n’est plus possible aujourd’hui ! "

    .

    Typique argument d’autorité de celui qui se fie à ce qu’il a toujours entendu, sans tenir compte des arguments raisonnables.

    .

    Si on ne peut pas, de nos jours, "balancer de telles affirmations", il faudra vous demander pourquoi le rapporteur critique du GIEC lui-même en "balance" (mais avec des arguments) :

    http://www.agoravox.tv/actualites/environnement/article/rechauffement-climatique-l-40862

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=38_SqzDNjsU

    .

    Donc non seulement on peut le faire, mais les premiers à le faire travaillent parfois au GIEC lui-même. Les théories du GIEC sont remises en cause, non seulement de l’extérieur par des indépendants, mais désormais même par des personnalités faisant autorité en son sein.

    .

    Mais même sans avoir recours aux arguments spécifiques de François Gervais, on peut simplement écouter tous ceux des autres, les "pour", les "contre", et les peser honnêtement, au lieu d’avoir un parti pris catastrophiste consensuel, manipulé par des intérêts et politisés.

    .

    A noter également ces objections :

    http://www.contrepoints.org/2013/10/01/141021-rapport-du-giec-communique-du-collectif-15-verites-derangent?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+Contrepoints+%28Contrepoints%29

    .

    Le déni ne me semble pas être spécialement du côté des "sceptiques" qu’on a tendance à montrer du doigt comme de honteux personnages sans conscience écologique. La vraie conscience écologique n’est pas un principe de précaution aveuglément appliqué à tout. L’écologie est une science, même si elle a été travestie en politique (avec une composante quasi religieuse) depuis des décennies, comme ce reportage l’explique en partie, du reste. Le scandale auquel on assiste n’est pas le réchauffement climatique, mais toute la perversion et le terrorisme intellectuel qui règne autour, et qui rend ce sujet extrêmement malsain. Ceci, en soi, est une victoire des politico-économistes libéraux à tendance thatchérienne (mais pas uniquement, le sujet étant pourri jusqu’à la moëlle).



  • 4 votes
    Nycolas 6 mai 2013 15:01

    C’est un vrai sujet, mais le propos - comme le ton - est si mièvre que c’est désolant.
    .
    Il est ici question de remplacer l’aliénation par la dépravation, et la responsabilité par l’insouciance. C’est puéril.
    .
    Le "jeu" ne peut pas être le centre de tout, une société du loisirs ne serait qu’aussi pervertie qu’une société du travail telle qu’on la connait, avec des individus dépendants à leur prétendue liberté. La jouissance ne prend sens que par contraste avec le reste.
    .
    Pourtant, à notre époque où les richesses sont si mal réparties, et où l’exploitation est le centre du fonctionnement du monde, il est vraiment urgent de se demander comment en limiter les méfaits, et comment permettre à chacun de réellement bénéficier des avancées, au lieu d’en être les otages et esclaves plus ou moins inconscients et plus ou moins consentants.
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    Une chose est sûre, ce n’est pas avec une réflexion d’un tel niveau qu’on va avancer.
    .
    La jouissance béate et constante, est déjà l’idéal fallacieux promis par la société du "droit du travail". Espérer en cela, c’est prouver que l’on a été totalement manipulé et conditionné par la société en cours et qu’on n’est pas capable de voir plus loin, d’avoir une vue plus spirituelle, plus nuancée, moins naïve.
    .
    En outre, c’est un pur rêve d’occidental dont le tiers-monde aimerait se payer le luxe...
    .
    Le partage du temps de travail et la répartition des richesses sont un vrai sujet, par pitié, traitons-le sérieusement, et non en enfants gâtés.



  • 8 votes
    Nycolas 2 juin 2012 14:17

    Bon je ne suis pas grand fan d’apple, qui a tout à fait sa place dans la société marchande débilitante, mais il faut quand même arrêter de diaboliser. Steve Jobs n’est pas responsable de ce qu’un parent mette entre les pattes d’une petite fille un matériel qui n’est pas adressé à un public aussi jeune...
    .
    De plus, ce sont avant tout les consommateurs qui sont responsables de ce qu’ils achètent, et de ce qu’ils utilisent. Et oui, si on n’achetait pas ces conneries, ça ne se vendrait pas, c’est aussi simple que ça. Et même en admettant qu’on achète ces choses, car après tout elles n’incarnent pas le diable, il suffit d’en avoir un usage raisonné, et d’éduquer ses enfants à la façon d’intégrer ou de ne pas intégrer ces choses dans leur vie... encore faut-il pour cela attendre qu’ils aient l’âge de comprendre...
    .
    J’ajouterai une dernière chose. La société marchande s’adresse à l’enfant envieux qui est en nous. Rien d’étonnant à ce que ces trucs brillants et clinquants fassent de l’effet à des nourrissons... Nous sommes tous abreuvés de produits du genre, on s’en plaint souvent à juste titre, mais on les achète quand même...

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