@ Eric , « Le Progrès moral est personnel, pas civilisationnel, ni les morts ni les non encore nés ne capitalisent l’expérience des vivants »
Vous exprimez bien dans cette réflexion toute l’impasse de notre époque, qui compte sur ses propres forces terrestres pour se sortir de se mauvais pas !
Le véritable progrès d’une civilisation est toujours accueillie comme étant un ennemie de son époque, et il va sens dire que notre époque se caractérise par son aveuglement et sa surdité ce qu’est réellement le Progrès que l’humanité doit accueillir.
Le jour où l’on aura le courage de dépasser les superstitions (La superstition, c’est la croyance en des esprits là où il n’y en a pas ; mais on peut aussi nier leur existence alors qu’ils sont bel et bien actfs : c’est la superstition négative . - Rudolf Steiner ) les humains seront sur le chemin de sa guérison.
@ Gaspard , c’est une difficulté que je n’arrive pas à maîtrisé. et au fil du temps, j’ai compris que de me battre était épuisant. j’ai tendance, il est vrai à laisser courir, qui à me faire passer pour un imbécile.
J’espère qu’un jour il aura un article sur la tripartition social, car la où est arrivé on s’en lise dans l’olympisme est’ elle vertus que l’on pourrait espère que nos hommes politique adopte ?
Vue comment Courbin la réactualisé, il est l’antithèse de ce qui était pratiqué, qui était avant tous pas une discipline sportive, mais un culte, Ils étaient dédiés aux dieux grecs .
Les jeux et la religion
Les Jeux Olympiques étaient étroitement liés aux fêtes religieuses et
au culte de Zeus, sans pour autant être partie intégrante d’un rite.
Ils avaient en effet un caractère séculier et visaient à démontrer les
qualités physiques et l’évolution des performances accomplies par les
jeunes gens, ainsi qu’à faire prévaloir de bonnes relations entre les
cités grecques. Selon les spécialistes, les Jeux Olympiques devaient
leur pureté et leur importance à la religion..
@ Éric , ce qui est pratiqué dans une école Waldof fait partie d’un tout, l’utilisation du sport comme vous semblez dire dans un esprit qui est proche de l’idéal grecque n’est qu’un des aspects de la pluraliste de cette scolarité, elle n’est jamais utilisé d’une manière exclusive elle fait partie d’un ensemble. cette disciple est en réalité pas celle qui est la plus déterminante dans cet enseignement.