• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Soi même

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 1929 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0


Derniers commentaires




  • vote
    Soi même 3 novembre 2013 22:57

    @ Gaspard, l’esprit humain est étrange , il faut toujours qu’il exhume des formes du passés, comme si elle pourrait toujours valable aujourd’hui, à lors que l’on tiens absolument pas compte entre temps l’humanité n’a plus le même état d’esprit. Ce qui fait que l’esprit du sport entre la Grèce antique et celui qui est pratiquer aujourd’hui non plus de point commun et du même ordre ceux qui espère à retour fondamentalisme de la Démocratie Athénienne comme seul remède alternative crédible d’exercé la démocratie aujourd’hui.

     



  • vote
    Soi même 3 novembre 2013 21:47

    @ Éric, votre réponse m’est qu’une question de point de vue,
    l’extrait de texte sur Les Exigences sociales Fondamentales de Notre Temps devrait vous aidez à le relativiser.



  • vote
    Soi même 3 novembre 2013 21:13

    @ Gaspard, il y a une raison à cela, c’est que ses livres sont toujours maintenues en édition depuis que ses conférence ont été édites, et par ailleurs elle ne sont pas encore totalement traduite en Français.
    .

    Un extrait d’une conférence de Rudofl Steiner qui colle très bien à notre échange actuel :

     ( -Les Exigences sociales Fondamentales de Notre Temps

    QUATRIÈME CONFÉRENCE
    DORNACH, 6 DÉCEMBRE 1918

    Récemment (1), j’ai particulièrement insisté sur l’impossibilité d’établir
    sur le plan physique un état paradisiaque, si nous prenons toujours le
    terme dans le sens évoqué la dernière fois, qu’en conséquence toutes les
    prétendues solutions à la question sociale, dont le but plus ou moins
    conscient est d’instaurer le paradis sur terre, qui de surcroît est censé
    durer, que toutes ces prétendues solutions reposent nécessairement sur des
    illusions. C’est à la lumière de cette donnée que je vous prie de bien vouloir
    accueillir tout ce que j’explique à propos des événements actuels. Car
    la réalité de notre époque présente indubitablement une exigence précise
    que l’on peut définir comme l’exigence de donner une forme sociale aux
    conditions humaines. Il ne faut surtout pas faire de cette question une
    question abstraite, ni la prendre au sens absolu, mais il s’agit, comme je le
    disais la dernière fois, de se rendre compte à partir des connaissances issues
    de la science spirituelle de ce qui précisément est nécessaire à notre
    époque. Nous allons étudier à présent quelques aspects de ce que la science
    spirituelle juge nécessaire pour notre temps.
    Il y a aujourd’hui une chose qu’habituellement on néglige vraiment
    beaucoup. Lorsqu’on parle de social et des revendications qui s’y rattachent,
    on oublie trop souvent que, conformément aux exigences de notre
    temps, la question sociale ne peut en aucun cas être abordée sans une
    connaissance intime de l’être humain. On peut bien imaginer tous les programmes
    sociaux que l’on veut, vouloir réaliser les idéaux sociaux les plus
    beaux, tout cela demeure stérile si le but recherché n’est pas de comprendre
    l’être humain en tant que tel, si on n’aboutit pas à une connaissance plus
    intime de l’individu. J’ai fait remarquer que l’articulation de la vie sociale
    dont j’ai parlé, cette articulation sociale ternaire qu’il me fallait présenter
    comme une exigence de notre temps au sens le plus fort du terme, vaut justement
    pour l’époque actuelle, parce qu’elle prend en considération dans le
    moindre détail la connaissance de l’être humain, tel qu’il est maintenant, à
    ce moment donné de la cinquième époque postatlantéenne. Et c’est aussi à
    partir de ce point de vue que je vous prie de considérer toutes les explications
    que je donnerai.
    Comprenez bien qu’on ne peut pas établir un ordre social tel que
    l’exige la situation actuelle sans prendre conscience de la chose suivante :
    cet ordre social est lié au fait que l’homme lui-même se reconnaisse dans sa
    relation à l’élément social. On peut dire que, de toutes les connaissances,
    celle de l’être humain est la plus difficile, c’est pourquoi dans les anciens
    mystères le « connais-toi toi-même » fut fixé comme le but le plus élevé de
    la quête de la sagesse. La grande difficulté pour l’homme d’aujourd’hui est
    de comprendre tout ce que le cosmos anime en lui, tout ce qui agit en lui.
    Il préférerait s’imaginer lui-même de la manière la plus simple possible,
    parce que, aujourd’hui précisément, il est devenu très paresseux dans son
    penser, dans ses représentations. Mais l’être humain n’est justement pas un
    être simple, et surtout pas sur le plan social. Et ce n’est certes pas l’arbitraire
    dans les représentations qui peut faire quoi que ce soit contre cette
    réalité. Car dans ce domaine, l’homme est un être qu’il voudrait infiniment
    ne pas être, il préférerait de beaucoup être différent. On peut dire qu’en
    réalité l’être humain s’aime terriblement lui-même. Il s’aime vraiment
    beaucoup, c’est incontestable. Et c’est cet amour de lui-même qui fait que
    la connaissance de soi devient source d’illusions. Ainsi l’homme ne veut
    pas s’avouer qu’il n’est un être social que pour moitié, et que pour l’autre,
    il est un être antisocial.
    Reconnaître froidement, énergiquement, que l’homme est un être à la
    fois social et antisocial, voilà une exigence fondamentale de la connaissance
    sociale de l’être humain. On a beau dire : Je m’efforce de devenir un
    être social (naturellement, il faut aussi le dire, car si on n’est pas un être
    social, on ne peut absolument pas vivre convenablement avec les
    hommes), le fait de lutter constamment contre le social, d’être continuellement
    un être antisocial est inhérent à la nature humaine. )
    .

    Ce texte nous montre le pourquoi, il est si difficile d’avoir en réalité les idées claires sur ce sujet.



  • vote
    Soi même 3 novembre 2013 20:39

    @ Éric Guéguen , bien sur que tous non pas une conception éthique de la vie, cela ne doit pas nous décourager pour tendre vers cela !



  • vote
    Soi même 3 novembre 2013 20:26

    @ Gaspard Delanuit, je vous donne les grande ligne de Wikipédia sur Rudolf Steiner , le sujet est loin d’être complet sur toute ses réalisations sociales. 

    Rudolf Steiner (25 février 1861 à Donji Kraljevec, Croatie/Empire austro-hongrois - 30 mars 1925 à Dornach, Suisse) est un philosophe, occultiste et penseur social. Il est le fondateur de l’anthroposophie, qu’il qualifie de « chemin de connaissance », visant à « restaurer le lien entre l’Homme et les mondes spirituels ». Ses adeptes le considèrent généralement à la fois comme un homme de connaissance et un guide spirituel.

    Son enseignement est à l’origine de projets aussi divers que les écoles Waldorf, l’agriculture biodynamique, les médicaments et produits cosmétiques Weleda, le mouvement Camphill et la Communauté des Chrétiens.

    Œuvres écrites de Rudolf Steiner
    • GA 001 : Introduction aux œuvres scientifiques de Goethe. (1884-1887)
      • in Le Traité des Couleurs de Goethe, ET
      • in La métamorphose des plantes, Goethe, ET
      • in Goethe, le Galilée de la science du vivant, EN
    • GA 002 : Une théorie de la connaissance chez Goethe. (1886), EAR
    • GA 003 : Science et Vérité (1892), EAR
    • GA 004 : Philosophie de la liberté (1894), EAR, EN, édition Paul de Tarse (1986), PUF (1923). Trad. Germaine Claretie, édi. Alice Sauerwein Lire en ligne sur le site Gallica
      • Première édition originale 1894 (Berlin, Verlag von Emil Felber), réédité en 2009 en facsimilé, éd. Kessinger Puc Co
      • Deuxième édition 1918 : modifications et appendices.(Le 1er chapitre Les objectifs de tout savoir est supprimé)
      • Troisième et dernière édition (1921) publié du vivant de Rudolf Steiner, identique à celle de 1918
        • Réédition de la version 1918 mais avec les variantes de l’édition original (1894) Philosophisch-Anthroposophisher Verlag am Goetheanum (1983), Édition, Paul de Tarse (1986) pour la France. Par contre, le chapitre Les objectifs de tout savoir n’est pas réintégré.
    • GA 005 : Friedrich Nietzsche, un homme en lutte contre son temps (1895), EAR
    • GA 006 : Goethe et sa conception du monde (1897), EAR
    • GA 007 : Mystique et Esprit moderne (1901), EAR
    • GA 008 : Le Christianisme et les Mystères antiques (1902), EAR (Das Christenthum als mystische Thatsache ; trad. d’Édouard Schuré : Le Mystère chrétien et les mystères antiques, Perrin, 1908). Lire en ligne sur le site Gallica
    • GA 009 : Théosophie. Étude sur la connaissance suprasensible et la destinée humaine (1904), ET, EAR. Trad. Elsa Prozor, éd. Alice Sauerwein Lire en ligne sur le site Gallica
    • GA 010 : L’Initiation, Comment acquérir des connaissances sur les mondes supérieurs (1904/05), ET
    • GA 011 : La Chronique de l’Akasha (1904-1908), EAR
    • GA 012 : Les degrés de la connaissance supérieure (1905-1908), EAR
    • GA 013 : La science de l’Occulte [en esquisse] (1910), EAR, ET
    • GA 014 : Quatre Drames-Mystères (1910-1913), ET
    • GA 015 : Les Guides spirituels de l’homme et de l’humanité (1911)
    • GA 016 : Un chemin vers la connaissance de soi. Huit méditations (1912), EAR Lire en ligne sur le site Gallica
    • GA 017 : Le seuil du monde spirituel (1913), EAR
    • GA 018 : Les énigmes de la Philosophie (1914), EAR
    • GA 019 : Pensées durant le temps de Guerre (1915) - publication privée.
    • GA 020 : Les Enigmes de l’homme (1916), EAR (Aux sources de la pensée imaginative)
    • GA 021 : Des Enigmes de l’âme (1917), EAR
    • GA 022 : L’esprit de Goethe, sa manifestation dans Faust et dans le Conte du Serpent Vert (1918), EAR
    • GA 023 et 024 : Fondements de l’organisme social (1919 et 1915-1921), EAR
    • GA 025 : idem GA 215, Philosophie, Cosmologie et Religion (1922)
    • GA 026 : Les lignes directrices de l’anthroposophie (1924-1925), EN
    • GA 027 : Données de base pour un élargissement de l’art de guérir, en collaboration avec Ita Wegman (1925), ET
    • GA 028 : Autobiographie (1923-1925), EAR
    • GA 029 à GA 036 ce sont des recueils d’articles publiés dans des revues et journaux.
    • GA 038 et 039 des recueils de lettres
    • GA 040 Recueil d’aphorismes : Paroles de Vérité (traduit partiellement)
    • GA 051 à GA 354 : Conférences publiques, privées et cours qui représentent la majorité des ouvrages de Steiner. Les conférences sont des retranscriptions de sténogrammes non revus par l’auteur.

    Parmi la trentaine de livres et plus de 6 000 conférences publiées, ses œuvres-clés sont :

    • La Philosophie de la liberté (1894), un nouveau chemin de la connaissance de soi par la pensée
    • Théosophie (1904), une "géographie" des mondes supérieurs
    • L’Initiation (1904/05), un chemin de développement spirituel
    • La Science de l’Occulte (1913), une histoire spirituelle de la Terre et de l’humanité

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Rudolf_Steiner

Voir tous ses commentaires (20 par page)

Les thèmes de l'auteur


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité