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therasse

Quelques années de fac de droit. Stop aux études en troisième année, et "real orientation" de ma carrière professionnelle vers la banque et les assurances où j’ai dirigé une petite succursale pendant 13 ans. Fin de carrière dans un service crédit. Actuellement pré-retraité. 
"Hobbies passions" : le tennis, lire, écrire.
Activités actuelles :
-problèmes de hanche : le tennis, c’est quasi-définitivement compromis
- restent la lecture et l’écriture, exclusivement sur le net.

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  • 1 vote
    therasse 12 mars 2013 09:25

    A propos de l’annonce de la participation du "Commissaire Lescaut" à l’émission de Ruquier, j’avais d’abord écrit ça :
    "ON ANNONCE LA LAPIDATION D’UNE SARKOPHILE CE SOIR CHEZ RUQUIER !
    La politique, c’est comme acteur, c’est un boulot. Et si on ne supporte pas la contradiction, on s’abstient.
    Quant à ses prises de position, s’agissant de Sarko, elle eut le tort de parier sur ce mauvais cheval, qui a autant de casseroles au cul que de poils chez tout un chacun.
    Quant à l’Islam, prière de ne pas confondre les textes sacrés truffés d’abominations, en particulier les hadiths, les musulmans d’origine respectueux de leurs sources écrites, qui en celà constituent un danger pour les démocraties et ceux qui ont pris leurs distances avec leurs racines idéologiques. En matière de religion, le radicalisme est une horreur ; pour cette raison, l’analphabétisme très répandu est un "bienfait des dieux" ; malheureusement ça permet aux marchands de religion de manipuler leurs ouailles. 
    Madame Genest, vous n’étiez pas mauvaise comme actrice, pourquoi donc vous empêtrer dans un domaine où vous n’entravez que dalle et où vous risquez de glisser sur un étron à chaque coin de rue ?"

    Puis, après avoir subi sa prestaion : 
    "Véronique Genest n’est ni bien ni mal pensante, elle est tout simplement la représentante parfaite de la zéro pensance. Elle a raison quand elle a de la chance. 
    Elle a passé la soirée à décréter "ses" vérités sans jamais être capable de citer ses sources. Cela étant dit, en démocratie on est peut-être plus aisément élu en pensant comme tout le monde. Sa "com"munication fut dès lors peut-être plus efficace qu’on l’a cru de prime abord.
    Quant à Torreton, il eut le tort de critiquer l’attitude de Depardieu ; depuis il a le "tout pourri" sur le dos. L’aristocratie n’a pas tardé à dégainer."

    Aujourd’hui, j’ai écrit ceci :
    "Pour faire de la politique, il faut un minimum de culture générale et en particulier des bases solides déconomie politique, de connaissances relatives à la géostratégie mondiale et de sciences humaines en général. Une bonne connaissance de l’actualité de ces dernières décennies n’est pas superflue. Et avant de militer pour Sarko, elle aurait bien fait d’étudier le dossier. A propos, est-elle seulement capable de nous expliquer clairement ce que c’est que la droite et la gauche ? Perso, j’en doute."

    Après avoir lu l’article ci-dessus et tout en ne reniant rien à ce qui précède, il est à déplorer que la censure soit aux aguets, comme d’hab quand on tient un langage sortant du politiquement correct ambiant.


  • 2 votes
    therasse 4 mars 2013 08:45

    Dès lors qu’un homme harcèle ou viole, il ne s’agit plus de vie privée.


    Pour ce qui concerne stricto sensu la relation DSK - Iacub, chacun raconte ce qu’il veut dans ses ouvrages auto-biographiques ; et dès lors que les personnages cités s’estiment diffamés, ils ont recours aux tribunaux, ce qui fut fait.

    Le livre ne fut pas interdit : bon vent dès lors à cet ouvrage.

    Et basta !

    La revendicationvictimaire de DSK n’est rien, juste quelques mots dans un livre, au regard de ce qu’il a pu faire subir à quelques femmes.


  • 1 vote
    therasse 3 mars 2013 20:40

    Si on veut se faire une opinion objective, on tape d’abord des mots clés généraux (Ex : 11 septembre) ; dès lors on trouve autant de sites pro VO que de sites anti. 


    L’honnêteté intellectuelle requiert qu’on visualise le plus de documents possible compte tenu de l’emploi du temps dont on dispose ; ensuite on fait appel à son bon sens, son sens critique et enfin on conclut de bonne foi.

    Le piège dans lequel de nombreux internautes tombent c’est précisément d’éviter les sites qui défendent une vision alternative et de se limiter à ceux qui manipulent l’opinion en la maintenant dans la voie officielle du prêt à penser, de la ""foi"" inconditionnelle à l’égard des médias officiels.

    En ce qui concerne le 11 septembre, on pourrait d’ailleurs se dispenser de faire tout ça et de se limiter à regarder tomber les tours comme ces pompiers et ces journalistes de ce jour-là qui perçurent immédiatement, à chaud la ressemblance avec les démolitions contrôlées auxquelles on assistait de temps à autre sur nos écrans de TV. 


  • vote
    therasse 3 mars 2013 14:03

    Si la gauche s’engage dans cette voie-là, elle signe son arrêt de mort. Et c’est un vieux gauchiste qui vous le dit. C’est tellement évident que je ne prendrai même pas la peine d’argumenter. On dira ce qu’on voudra des américains mais chez eux, le premier amendement à la constitution prévoit un certain nombre de libertés consubstantielles à la démocratie. Lisez plutôt :

    « Le Congrès ne fera aucune loi pour conférer un statut institutionnel à une religion, (aucune loi) qui interdise le libre exercice d’une religion, (aucune loi) qui restreigne la liberté d’expression, ni la liberté de la presse, ni le droit des citoyens de se réunir pacifiquement et d’adresser à l’État des pétitions pour obtenir réparation de torts subis (sans risque de punition ou de représailles) »
    Juste une question accessoire :" QUI déterminera arbitrairement ce qu’on aura l’autorisation de dire ou non ; COMMENT les juges pourront-ils apprécier, sans subjectivité, sans faire intervenir ses propres valeurs, si un cas est sanctionnable ou non ?


  • 3 votes
    therasse 3 mars 2013 13:31

    Dans une démocratie, on devrait restreindre le champ d’action de la censure au maximum, la norme étant in fine que tout peut être dit s’agissant d’opinions et que pour les faits objectivement observables (statistiques), il ne devrait y avoir aucune limite à l’observation, en particulier quand celle-ci peut permettre à des disciplines universitaires de s’enrichir. Je pense notamment aux statistiques criminelles dans les prisons y compris ethniques.


    Ajoutons que, si des faits peuvent être quantifiés par des organismes universitaires, politiquement neutres, on évitera ainsi les contre-vérités. Et corollairement, interdire ces mesures démographiques conduira inévitablement à une information douteuse sans qu’il soit possible de la contredire car les chiffres manqueront également au camp adverse.

    Le tabou sur certaines investigations conduira donc au flou artistique et donc à toutes les possibilités de manipulation par des médias qui, comme chacun sait, appartiennent à des groupes idéologiquement à droite et proches de la sarkozie et des intérêts atlantistes. 

    En ce qui concerne la violence sociétale croissante, aux dires de Laurent Obertone, il me semble qu’il faut distinguer les crimes ou délits visant la propriété, d’une part, et la délinquance sexuelle de l’autre.

    Pour tout ce qui touche à la propriété, il me paraît évident qu’il y a un rapport de cause à effet évident entre le nombre de faits criminels et les effets ravageurs de la crise. La lecture d’un livre récent de Zygmunt Bauman ("S’acheter une vie") démontre clairement, au grand dam de notre presse aveugle ou rendue telle par leurs intérêts personnels et les intérêts idéologiques de leurs patrons, que le "consommateur défectueux", marginalisé par le marché, basculera plus facilement et plus rapidement dans la délinquance et donc la violence que le résident des beaux quartiers.

    Quant à la violence sexuelle, si les hommes sont tous logés à la même enseigne s’agissant de pulsions, de fantasmes, sinon de besoins, l’objectivité incite à relever que le respect de la femme n’est pas le même au sein des différentes communautés nationales, notamment en ce qui concerne le regard et le respect qu’accordent les musulmans à l’égard des femmes légèrement vêtues. De là à considérer que ceux-ci auraient moins de scrupules à violenter une fille "qui ne se respecte pas", "qui s’habille comme une pute", en somme une jeune fille vêtue à l’occidentale, il n’y a qu’un pas.

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