Je suis agréablement surpris de cet exposé qui met (enfin) fin au long silence de Guéguen sur ce qui aurait du constituer le, ou les, tous premiers volets des politiea, compte tenu de l’influence prépondérante de ce lobby en France, dont aucune analyse politique ne saurait s’affranchir sans perdre irrémédiablement un immense crédit. Je prends ça comme un revirement plutôt favorable qui met un terme à ce mutisme suspect et retire quelques gros boulets à notre philosophe
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Toutefois, sans pouvoir me prononcer sur le fait que ce soit volontaire ou par manque de culture sur le sujet, cette analyse est erronée et largement sous-évaluée. Il est dommage qu’à l’instar de son ami MaQouille, Guéguen reprenne la définition académique (donc de la novlangue) du sionisme, en l’associant à son terme politique qui est la création de l’état d’Israël. Non, le lobby sioniste n’est pas "israélien ou pro-israélien", comme le dit Guéguen, le lobby sioniste est une pieuvre supra-nationale qui poursuit la stratégie religieuse qui construit le retour du Messie. En tant que tel, le lobby sioniste travaille d’un objectif encore non achevé - la construction du Grand Israël (on peut déjà voir les progrès depuis 1947), qui explique toutes les géo-stratégies du M.O., et que Guéguen passe sous silence
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Il ne suffit pas de savoir que les sionistes infestent toutes les institutions américaines, de la Fed au congrès, qu’ils ont toujours travaillé sur les 2 extrêmes, des kolkhozes jusqu’au monopoly, le sionisme implique également des armées de conchitas volontaires (non juifs) et travaillant en connaissance de cause, comme les dizaines de millions d’évangélistes aux US qui oeuvrent aussi à accélération du calendrier messianique, ou simplement toute notre politico-racaille de France qui lèchent abondamment les pompes des promoteurs de l’Apartheid en espérant le petit su-sucre. Il y aurait encore beaucoup à dire, mais je crois que Guéguen n’a pas besoin de professeur, il est assez grand et semble avoir retrouvé les couilles pour aller au bout de son analyse. Au plaisir de le lire d’ici quelques années, avec grand espoir de constater que ses exposés auront changé en conséquence