J’en suis à presque une heure ce cette propagande nauséabonde…
@Heimskringla
à faire avec ça donc non les fantômes, un truc après, je m’en tape un peu.
Je peux vous dire qu’avec une telle attitude vous êtes bien en avance sur ceux qui espèrent un "Ciel" en récompense à leurs vertus…
Vous avez raison il ne reste rien de "nous" à la mort mais cela ne veut pas forcément dire un néant abyssal et vide… C’est un koan.
@Heimskringla
"c’est la phénoménologie" Je vais étudier le sujet.
Je confirme. Bon courage. Husserl est un des auteurs les plus durs qui soient à lire. A côté Nietzsche c’est du petit lait… Spinoza aussi, Plotin aussi…
@Jean Robin
donc il veut que les pauvres le restent et qu’il y en ait de plus en plus.
Y a pas à dire quelle subtilité dans l’analyse !
Les bras m’en tombent…
Donc le capitalisme est chrétien ? Ce capitalisme qui accentue les inégalités entre riches et pauvres, détruit la planète à coups de micro-particules de plastique dans les océans, de pesticides et d’engrais qui brûlent les sols, de guerres engendrées à cause de la course aux ressources, de dérèglements financiers, de dérèglements climatiques est donc chrétien ?
Sans compte la course au matériel, gadgets électroniques, confort à outrance, c’est chrétien ?
Ben je vais vous dire une chose si c’est ça le Christ vous pouvez vous le garder et vous… (non je vais rester poli)
Confidence pour confidence je pense que ce Capitalisme est décrit dans l’Apocalypse sous la forme du Dragon (vous savez le 666 qui permet d’acheter et de vendre). Vous voyez donc dans quel camp vous êtes et qui vous soutenez…
Bon restez bien dans votre aveuglement. Profitez encore de la Polynésie, pas sûr que ça dure… Souvent on rencontre son destin en croyant y échapper...
@Jean Robin
Vous mentez déjà. Vous vous mentez à vous-même en premier lieu.
@llsalv
Je viens de commencer aussi et ça pue bien qu’ils n’aient pas totalement tort. Mais c’est biaisé de façon sournoise bien évidemment.
Un exemple : le barbu du début commence par on aime les belles histoires et c’est plus dur d’accepter la réalité qui est bien souvent bien plus triviale que les belles histoires..
Sauf que : un zététiste n’aime pas les belles histoires ! Ce qu’il désire c’est précisément la réalité la plus triviale qui soit et ce afin de bien dormir derrière ses deux oreilles..
Déjà dès le départ un zététiste fera tout pour démolir une belle histoire et ce afin de retrouver ce qu’il croit être du rationnel. Et là les manipulations outrancières et de mauvaise foi seront légion…
Bon la suite demain..
@tous
Désolé je me suis trompé de fil..
Mais vous pouvez quand même médité sur ce texte..
@Heimskringla & medialter
Allez les pros de la glande, ceci pour vous (cadeau) :
Il y a une sauvagerie tout indienne, particulière au sang des Peaux-Rouges, dans la façon dont les Américains aspirent à l’or ; et leur hâte au travail qui va jusqu’à l’essoufflement - le véritable vice du nouveau monde - commence déjà, par contagion, à barbariser la vieille Europe et à propager chez elle un manque d’esprit tout à fait singulier. On a maintenant honte du repos : la longue méditation occasionne déjà presque des remords. On réfléchit montre en main, comme on dîne, les yeux fixés sur le courrier de la Bourse, - on vit comme quelqu’un qui craindrait sans cesse de « laisser échapper » quelque chose. « Plutôt faire n’importe quoi que de ne rien faire » - ce principe aussi est une corde propre à étrangler tout goût supérieur. Et de même que toutes les formes disparaissent à vue d’œil dans cette hâte du travail, de même périssent aussi le sentiment de la forme, l’oreille et l’œil pour la mélodie du mouvement. La preuve en est dans la lourde précision exigée maintenant partout, chaque fois que l’homme veut être loyal vis-à-vis de l’homme, dans ses rapports avec les amis, les femmes, les parents, les enfants, les maîtres, les élève, les guides et les princes, - on n’a plus ni le temps, ni la force pour les cérémonies, pour la courtoisie avec des détours, pour tout esprit de conversation, et, en général, pour tout otium. Car la vie à la chasse du gain force sans cesse l’esprit à se tendre jusqu’à l’épuisement, dans une constante dissimulation, avec le souci de duper ou de prévenir : la véritable vertu consiste maintenant à faire quelque chose en moins de temps qu’un autre. Il n’y a, par conséquent, que de rares heures de loyauté permise : mais pendant ces heures on est fatigué et l’on aspire non seulement à « se laisser aller », mais encore à s’étendre lourdement de long en large. C’est conformément à ce penchant que l’on fait maintenant sa correspondance ; le style et l’esprit des lettres seront toujours le véritable « signe du temps ». Si la société et les arts procurent encore un plaisir, c’est un plaisir tel que se le préparent des esclaves fatigués par le travail. Honte à ce contentement dans la « joie » chez les gens cultivés et incultes ! Honte à cette suspicion grandissante de toute joie ! Le travail a de plus en plus la bonne conscience de son côté : le penchant à la joie s’appelle déjà « besoin de se rétablir », et commence à avoir honte de soi-même. « On doit cela à sa santé » - c’est ainsi que l’on parle lorsque l’on est surpris pendant une partie de campagne. Oui, on en viendra bientôt à ne plus céder à un penchant vers la vie contemplative (c’est-à-dire à se promener, accompagné de pensées et d’amis) sans mépris de soi et mauvaise conscience. - Eh bien ! autrefois, c’était le contraire : le travail portait avec lui la mauvaise conscience. Un homme de bonne origine cachait son travail quand la misère le forçait à travailler. L’esclave travaillait accablé sous le poids du sentiment de faire quelque chose de méprisable : - le « faire » lui-même était quelque chose de méprisable. « Seul au loisir et à la guerre il y a noblesse et honneur » : c’est ainsi que parlait la voix du préjugé antique !
Nietzsche Le Gai Savoir (aph. 329)
@Heimskringla & medialter
Allez les pros de la glande, ceci pour vous (cadeau) :
Il y a une sauvagerie tout indienne, particulière au sang des Peaux-Rouges, dans la façon dont les Américains aspirent à l’or ; et leur hâte au travail qui va jusqu’à l’essoufflement - le véritable vice du nouveau monde - commence déjà, par contagion, à barbariser la vieille Europe et à propager chez elle un manque d’esprit tout à fait singulier. On a maintenant honte du repos : la longue méditation occasionne déjà presque des remords. On réfléchit montre en main, comme on dîne, les yeux fixés sur le courrier de la Bourse, - on vit comme quelqu’un qui craindrait sans cesse de « laisser échapper » quelque chose. « Plutôt faire n’importe quoi que de ne rien faire » - ce principe aussi est une corde propre à étrangler tout goût supérieur. Et de même que toutes les formes disparaissent à vue d’œil dans cette hâte du travail, de même périssent aussi le sentiment de la forme, l’oreille et l’œil pour la mélodie du mouvement. La preuve en est dans la lourde précision exigée maintenant partout, chaque fois que l’homme veut être loyal vis-à-vis de l’homme, dans ses rapports avec les amis, les femmes, les parents, les enfants, les maîtres, les élève, les guides et les princes, - on n’a plus ni le temps, ni la force pour les cérémonies, pour la courtoisie avec des détours, pour tout esprit de conversation, et, en général, pour tout otium. Car la vie à la chasse du gain force sans cesse l’esprit à se tendre jusqu’à l’épuisement, dans une constante dissimulation, avec le souci de duper ou de prévenir : la véritable vertu consiste maintenant à faire quelque chose en moins de temps qu’un autre. Il n’y a, par conséquent, que de rares heures de loyauté permise : mais pendant ces heures on est fatigué et l’on aspire non seulement à « se laisser aller », mais encore à s’étendre lourdement de long en large. C’est conformément à ce penchant que l’on fait maintenant sa correspondance ; le style et l’esprit des lettres seront toujours le véritable « signe du temps ». Si la société et les arts procurent encore un plaisir, c’est un plaisir tel que se le préparent des esclaves fatigués par le travail. Honte à ce contentement dans la « joie » chez les gens cultivés et incultes ! Honte à cette suspicion grandissante de toute joie ! Le travail a de plus en plus la bonne conscience de son côté : le penchant à la joie s’appelle déjà « besoin de se rétablir », et commence à avoir honte de soi-même. « On doit cela à sa santé » - c’est ainsi que l’on parle lorsque l’on est surpris pendant une partie de campagne. Oui, on en viendra bientôt à ne plus céder à un penchant vers la vie contemplative (c’est-à-dire à se promener, accompagné de pensées et d’amis) sans mépris de soi et mauvaise conscience. - Eh bien ! autrefois, c’était le contraire : le travail portait avec lui la mauvaise conscience. Un homme de bonne origine cachait son travail quand la misère le forçait à travailler. L’esclave travaillait accablé sous le poids du sentiment de faire quelque chose de méprisable : - le « faire » lui-même était quelque chose de méprisable. « Seul au loisir et à la guerre il y a noblesse et honneur » : c’est ainsi que parlait la voix du préjugé antique !
Nietzsche Le Gai Savoir (aph. 329)
@Jean Robin
vous connaissez les coeurs ? Vous vous prenez pour Dieu ?
Non. Mais je suis suffisamment psychologue pour détecter sur le physique les escrocs. Il y a toute une gestuelle, des soupirs arrogants, une absence de compassion bien visible sur le visage…
Les "convertis" de fraiche date qui annoncent qu’ils sont tout d’un coup (par quel miracle ?) remplis d’amour on en voit à la pelle. Chez les cathos, les protestants, les témoins de Jéohvah… Tous puent l’hypocrisie à plein nez. Il n’y a qu’eux même pour ne pas le voir…
Un gars qui a de l’amour en lui c’est Pierre Rabhi. ça se voit. Il y avait l’abbé Pierre. ça se voyait aussi. Chez vous rien de tel. J’en suis désolé.
Mais peut être qu’un jour un peu d’humilité finira par se faire un jour en vous, qui sait ? Je vous le souhaite.
@dessaline
Mais c’est très facile de répondre en effet. Le post de Mao juste au-dessus infirme complètement votre propos. Il parlait bien d’un retour possible de Dieudonné à la TV ! D’ailleurs Mao est incapable de la moindre ironie..
Donc le haut QI, incapable de voir que le retour de Dieudonné dans l’état actuel des choses est purement impossible, c’est de la farce ! Même Hijack pas très futé pourtant arrive à s’en rendre compte.
@Jean Robin
En fait je connais énormément de catholiques qui parlent comme lui, notamment des prêtres, c’est une véritable hécatombe.
Pour une fois je suis obligé de vous donner raison. Cela vient de la douceur évangélique supposée habiter le prélat. Ils se conforment donc à l’idée qu’ils se font du "doux" Jésus. C’est en effet pathétique.
Mais il s’agit d’une pure façade destinée à harponner le fidèle, rien de plus.
@Jean Robin
je n’ai pas choisi la Polynésie
Je sais, c’est Dieu. L’art de maquiller en injonction divine une simple envie de se mettre les pieds en éventail au soleil et de se mettre à l’abri de...
@Jean Robin
En fait vous ne comprenez strictement rien et seriez bien en peine d’expliquer quoi que ce soit… Moi aussi je compatis. Des comme vous j’en ai vu à la pelle. En général ils vieillissent très mal.
@Mao-Tsé-Toung
... avant le retour de Dieudonné à la Télévision ?
Y a pas à dire, t’es un vrai surdoué, il faut un QI de 192 au minimum pour annoncer que Dieudonné a une chance quelconque de rejoindre les plateaux TV ! Je suis MDR.. CQFD.
@Jean Robin
Je vous aime et à ce titre je vous invite à vous repentir de vos péchés et à suivre Jésus comme Seigneur et Sauveur. C’est la meilleure preuve d’amour que quelqu’un puisse donner à quelqu’un d’autre : le faire échapper au feu éternel de l’enfer, et lui faire bénéficier du paradis éternel. On n’a pas le même amour apparemment.
Discours typique de bigot religieux hypocrite…
Non vous ne l’aimez pas. Vous jouez un rôle et êtes victime de vous-même. L’amour ça ne se décrète pas. Il y a toute une ascèse à faire avant pour que la chose soit possible. Et le moins que l’on puisse dire c’est que l’Amour sur votre visage ne se voit pas, ne se sent pas. On y sent bien par contre un amour exagéré de soi-même et ça se voit à des kilomètres...
@Jean Robin
Et il vous l’a demandé comment ? Par lettre recommandée avec AR ?
@Jean Robin
Ah oui c’est sûr, vu les risques que j’ai pris dans ma vie, c’est ça être efféminé
Et vu que vous vous faites détester de partout vous avez décidé d’opter pour la Polynésie à des milliers de kilomètres des supporters de Soral, des musulmans, des catholiques… en terre protestante chez des gens réputés pour leur douceur légendaire…
En supposant que l’on aille dans votre sens il ne vous ait pas venu à l’idée que Dumouch aurait pu avoir un accident ?
Qu’il ait fait un déménagement et qu’il se les soit coincé quelque part et obligé de couper le tout ?
Sinon pour votre gouverne voici ce que j’ai trouvé (Matthieu 19-12) : Car il y a des eunuques qui le sont dès le sein de leur mère ; il y en a qui le sont devenus par (la main) des hommes, et il y en a qui se sont rendus eunuques, à cause du royaume des cieux. Que celui qui peut comprendre, comprenne.
Qui vous dit que Dumouch n’appartient pas au cas souligné ?
Il aurait très bien pu faire comme Origène qui se les ai coupé net et ce afin d’être conforme aux paroles de son divin maître.
Qu’attendez vous pour faire pareil ?
@Jean Robin
Jugez par vous-mêmes : https://www.youtube.com/watch?v=3iK_N8TfqU4
J’appelle ça un coup bas en dessous de la ceinture… C’est pas très élégant et pas très viril comme comportement..
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