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Les commentaires de Masque de mort



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    Masque de mort Death note 7 août 2015 19:49

    @jeanpiètre

    "Mathématique sacrée" parce qu’elle indique une relation entre l’ordre de la nature.

    Le "sacré" ne prétend pas s’évaluer dans le champ rationnel et on ne saurait donc le prouver ni le réfuter avec des moyens rationnels , comment peut tu affirmer qu’ un bâtiment n’ est pas sacré ?



  • 3 votes
    Masque de mort Death note 6 août 2015 16:18

    Il ne tient pas de discours victimaire , il parle de l’ infiltration des mouvements religieux pour les pousser à la violence et y’ a pas que des musulmans qui en parlent.

    Vous n’ en avez rien à secouer de ce qu’ il dit , c’ est sa confession religieuse qui vous emmerde.



  • 3 votes
    Masque de mort Death note 6 août 2015 15:50

    @Boris le laid

    Il dit « les agents des forces speciales, le fbi , le cia , infiltre des mouvement chretiens , pour les pousser à la violence et mieux les ecraser avec le systeme judiciaire ».

    Il parle aussi des mouvements chrétiens.

    Sans dec , soyons vrai , est ce que ce n’ est pas tout simplement que vous en avez plein le cul des musulmans ? Parce que son commentaire ne devrait pas produire des réactions aussi agressives , pas d’ autres explications , c’ est parce qu’ il est musulman que vous réagissez comme ça ...



  • 3 votes
    Masque de mort Death note 6 août 2015 15:18

    @Piloun

    Il dit que des gouvernements (et pas seulement français), infiltrent des mouvements religieux (et pas seulement musulman puisque dans ce film, il s’agit d’un chrétien aux states) pour les pousser à la violence. Chauprade disait la même chose .

    Que tu ne sois pas d’ accord avec cette thèse est compréhensible mais pourquoi cette réaction hyper- agressive ? Tu  réponds simplement "non, les extrémistes religieux ne sont jamais instrumentalisés" et ça s’arrête là, pas besoin de péter une durite contre lui alors qu’il ne t’as rien fait …



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    Masque de mort Death note 6 août 2015 14:38

    @Piloun
    Qu’ est ce qu’ ezdez t’ as fait ? Pourquoi ce commentaire agressif sur lui ? 



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    Masque de mort Death note 5 août 2015 17:54

    Piloun qu’ est ce qu’ ezdez a écrit pour que tu sois dans cet état ? Il dit simplement que les services instrumentalisent les extrémistes religieux , pourquoi tu deviens hystérique ?

    Tu souffres , cela se ressent , c’ est triste , on ne peut avoir que de la compassion mais ce n’ est pas la haine qui te soulagera , elle ne fera que t’ aveugler d’ avantage et te fera plonger encore plus bas.



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    Masque de mort Death note 21 juillet 2015 13:04

    Qui a dit que la soie arrêtait les pines ?



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    Masque de mort Death note 28 mai 2015 12:06

    L’ eau , la direction qu’ elle prend , le degré de rapidité du courant , ce n’est pas elle qui décide , elle ne fait que suivre la configuration du fond.

    Le vent et d’autres forces extérieures la contraignent totalement : pente inclinée , lit étroit , courant vif , forme du terrain etc.

    Les forces extérieures déterminent totalement le comportement de l’eau , elle ne fait que suivre ... malgré cela , elle reste l’eau , entièrement libre , sans entrave.

    Que celui qui a des oreilles pour entendre , entende. 



  • vote
    Masque de mort Death note 28 mai 2015 11:54

    Le corps est un récipient , il n’ est pas "nous".L’ égo nous rend aveugle à ce que nous sommes.

    Dans chacun de nous , à l’ intérieur , il y’ a un tout sans fin , le vide et le plein s’ y confondent. Notre corps est un canal dans lequel l’ infini circule.Ce n’ est pas avec le récipient mais avec l’ infini qu’ il ne faut faire qu’ un.On peut en ne contrariant pas ce qui y circule , en faisant le vide.
    Lorsque ce vide grandit en moi , s’ amplifie au dedans et en dehors , je sens monter en moi une envie de rire , je plane dans les hautes sphères de la joie , et connait un délice indescriptible 
    C’ est comme si la Déesse du creux de ses mains affectueuses m’ enveloppe doucement de son amour inconditionnel , c’ est le domaine de la mère qui me fait exister à l’ intérieur du divin et me donne conscience de l’ unité de ce qui est. 
    Je suppose que c’ est cela que l’on nomme "conscience", vivre dans l’ instant dans un environnement dans lequel le temps est compressé à l’ extrème au point de ne plus exister.


  • 4 votes
    Masque de mort Death note 23 mai 2015 18:34

    Y’ en a un qui critique beaucoup Israël mais qui en parle :


    https://www.youtube.com/watch?v=3B_Ktj6qTm8

     

    https://www.youtube.com/watch?v=darWUIAz638

     ;



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    Masque de mort Death note 14 mai 2015 17:24

    Le mérite d’ Anthon Park est de mettre le doigt sur le grand mystère de la femme, celui dont le but est la réintégration cosmique, sa réunion avec la substance féminine, force vie et substrat de la manifestation divine.

    La femme est au cœur d’un complot. Son pouvoir a effrayé les "dieux" des différentes mythologies et il effraie l’Eglise, car il pourrait libérer l’être humain et ce dernier n’aurait plus besoin du clergé pour se rassurer et se sentir "assisté". 

     La peur maladive des engeances patriarcales qui gouvernent ce monde depuis des millénaires et qui ne souhaitent pas que l’être humain découvre, comprenne et ne se mêle à l’Energie Féminine qui permet de transcender l’existence, le champ de lumière individuel dont la transmutation, grâce à l’utilisation des Chakras et de la Kundalini, permet de se métamorphoser en véhicule ascensionnel. 

    Les religions monothéistes  y ont vu un danger mortel et un poison pour l’âme, raison pour laquelle la sexualité a toujours été auréolée d’un tabou : le fruit défendu du jardin d’ Eden est généralement connu pour être une pomme , son homophone sumérien PEŠ (figue) évoque un "utérus" ou "les entrailles", ce qui induit une métaphore sexuelle. Le terme sumérien généralement utilisé pour nommer une pomme est Hašhur. 

    En décomposant ce terme phonétiquement, il donne HAŠ (massue) et HUR (prendre en main, graver, contours), soit "prendre en main la massue". Cette définition exprime simplement le fait qu’Eve aurait touché la "massue" de l’homme, c’est-à-dire son sexe, elle aurait concrètement initié l’homme à la sexualité sacré en touchant et consommant son pénis , ce qui lui a valu la condamnation que l’ on connait dans les religions monothéistes

    L’une des causes de la chasse aux sorcières étaient que certaines femmes en savaient trop sur la Déesse Mère, car avaient hérité d’un grand savoir des paganismes. Les fidèles de la Mère divine défendirent longtemps l’ordre ancien et ses valeurs de respect à l’égard de l’ensemble de la création, valeurs d’équilibre qui disparurent du monde guerrier patriarcal, finalement vainqueur.

    Plus l’ordre patriarcal s’affermit, plus il prend de l’assurance, plus il réécrit l’histoire à son profit à travers le mythe : tous les fondateurs de l’ordre patriarcal ont eu pour rôle historique d’inverser les valeurs du divin, ils viennent abolir le règne de la Mère divine et du père mortel pour établir le règne du Père divin et de la mère mortelle.

    La fin du patriarcat n’est pas à pleurer.

    Cependant, le féminisme hystérique contemporain qui le remplace et va dans le sens de la féminisation de la société avec la théorie du genre, les femens et tout le reste est une émanation moderne de l’aspect démonique et dévoyé du culte de la Déesse mère. 

    Il ne s’agit plus de faire de l’énergie sexuelle féminine et du plaisir qui l’ accompagne un danger mortel et un poison pour l’âme comme dans le patriarcat satanique, il s’agit à présent de cacher le secret féminin, la substance féminine, force vie et substrat de la manifestation en exposant la femme en pleine lumière quitte à faire d’ elle un simple jouet sexuel , une marchandise.

    Retrouvons le bon sens, Honorons la Nature, source d’infinie Sagesse. Nous sommes UN.

    Il est urgent de revenir aux principes, aux lois universelles que nous portons en nous, qui éclairent autrement ce qui est encore trop souvent douleur de séparation et d’opposition. Il s’ensuivra un moment de noces entre la "femme et l’homme intérieur." Le voyage vibratoire se terminera dans le cœur du cœur, espace de conscience de l’esprit pur où le masculin et le féminin n’ont jamais eu cours.

    Masculin et féminin, la voie du cœur, la voie de l’unité. Sur ce terrain d’unité, le cœur et l’amour sont au centre de cette alchimie, mais aussi la connaissance des principes du féminin et du masculin qui sont en chaque humain et ont à réapprendre à danser ensemble dans de nouvelles façons d’aimer.



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    Masque de mort Death note 2 mai 2015 19:28

    Scrutons notre dame histoire de voir si le Menhir breton ne vienne pas si échouer tel le cachalot sur la plage infestée d’arabes ?



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    Masque de mort Death note 25 avril 2015 18:51

    Considérons donc le fait que le terme religion ( on pourrait étendre cette étude à bien d’autres mots ) dans une série de langues (je n’ en ai cité que quelques unes , on pourrait par exemple s’étendre sur les dialectes amérindiens ou africains ) renvoie à la même signification une fois décomposée en sumérien comme au mieux un pur hasard , au pire , un biais cognitif de ma part.



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    Masque de mort Death note 25 avril 2015 02:31

    Je ne dis pas que zong signifie dieux en chinois je décompose pour donner la signification sumérienne.

    On peut continuer comme ça avec le terme religion :

    Le terme religion proviendrait du latin « religio » qui était tiré du terme « ligare » qui signifie « lier » ce qui sous entend que la religion lie ou relie les êtres humains entre eux. Ce terme veut également dire assujettir dans la langue de la Rome antique. Les mots « religio » et « obligatio » (obligation ou dette) ont souvent le même sens.

    La décomposition du terme latin « religio » donne « RE7-LI GI4 –Ug » , littéralement en sumérien « ce qui accompagne les tablettes d’apprentissages des moutons »ou encore « les tablettes d’apprentissage qui guident les moutons ».

    En arabe, le mot religion se dit « aldi »n ce qui a pour sens l’ « assujettissement » la « domination », ou l’obéissance. En sumérien, « aldin » se décompose en « AL-DI-IN » , littéralement « le symbole de la sévère condamnation ».

     

     

    Au Japon, la religion s’exprime par le mot « Shukyo ».La décomposition de ce terme sumérien donne plusieurs possibilités similaires grâce à l’homophonie « SU-KI-U5 » ( le contrôle de la totalité de la terre ) ou encore SU-KI –U8 ( « le contrôle de la terre des moutons »).

     

    Encore et encore, le terme religion renvoie à une domination de l’homme par des « dieux » en sumérien. Si le sumérien n’ est pas le langage matrice de l’ humanité  , il y ressemble beaucoup.



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    Masque de mort Death note 24 avril 2015 13:39

    @gaijin

    La langue est un facteur important du développement des civilisations.

    Rien que par la langue , on peut retrouver des origines sumériennes aux mots chinois , indiens , amérindiens ( pour les aborigènes , je n’ai pas de preuves ).

    Par exemple le terme "religion". Chez les Chinois, la religion s’exprime par le vocable Dzungiyau, qui décomposé en Sumérien manifeste « la soumission de l’humanité ». Sa prononciation exacte est « jungaau ».Sachant qu’en sumérien le « J »n’existe pas cela donnerai HUN-GA –U8, « ce qui diminue les moutons ».

    Chez les indiens Hopi le mot religion se dit « wimmi ».Dans la langue sumérienne, ce terme se décompose en « WI-IM-I », littéralement l’ « entendement qui domine l’argileux » (l’argile a un rapport très étroit avec l’espèce humaine dans la mythologie Sumérienne.

    Dans presque toutes les langues , la décomposition sumérienne du terme religion envoie à une domination de l’homme par des « dieux » , cela serait un hasard ?


    Le Sumérien « Sagra », possède la même signification que son quasi homophone sanskrit chakra. La décomposition sumérienne de kundaluni nous donne son sens originel et profond : KUN4 (« échelle, escalier » -DA (« puissant ») -LI (« enflammer, briller »)-NI (« corps »), soit KUN-DA –LI-NI, « la puissante échelle qui enflamme le corps ».

    En dehors de la langue , on peut analyser bien d’autres facteurs.



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    Masque de mort Death note 23 avril 2015 22:01

    L’intérêt de la mythologie sumérienne, c’est qu’elle est à l’origine de notre propre civilisation occidentale et de toutes les autres. Une origine oubliée à dessein, afin de faire croire que notre seul héritage venait de la Grèce antique. Je ne m’étendrai pas là-dessus.

    Les différents "dieux" sumériens portent des noms reptiliens, Enki-Éa, souverain de l’Abzu (l’Abysse terrestre) est dénommés, par exemple, MUŠDA ("puissant reptile") sur certaines tablettes. 

    Il existe par exemple, les tablettes sumériennes de Kharsag qui datent du troisième millénaire av. J.-C. qui compare la déesse Ninhursag (Ninmah) à une Ninsir ("prêtresse serpent") et plus loin dans le texte, Enlíl à un "Splendide Serpent aux yeux brillants"…

    La particule sumérienne SIR ou ŠIR10 évoque "un serpent", son homophone ŠIR représente "la lumière" et la forme verbale ŠÌR veut dire "décider" et "obliger". Nous pouvons également observer la similitude entre le SIR4 (ou ŠIR) sumérien dont le sens est "testicules" , véritable symbole de virilité et le mot anglais "Sir" qui est un titre d’honneur réservé aux "hommes de bonne famille" ou "de bonne lignée". On trouve également ce terme dans le reste de l’Europe sous la forme "Sire", dénomination qui était attribuée aux seigneurs, aux empereurs et aux rois. 
    Cela nous amène donc à mettre le doigt sur une connexion entre les "dieux" sumériens et la royauté et la noblesse terrestre.

    Dans l’Apocalypse, en 20,2 et la Genèse Rabba au chapitre 22, Satan, lui-même est nommé "le Serpent des premiers âges". On trouve trace du mot Satan dans l’éthiopien "Shaïtan". 

    Boulay passe en revue dans son ouvrage tous les textes, chroniques historiques et « mythes » qui relatent que les premiers êtres à avoir amené sur terre les bases de la vie intelligente et de la civilisation étaient des dragons : non pas des sortes de dinosaures et autres sauriens mais des entités de type humanoïdes recouvertes d’écailles, possédant deux jambes, deux bras et parfois des ailes. On retrouve ces descriptions dans les chroniques chinoises, sumériennes, indiennes (Mahabharata) ou égyptiennes mais également sur des bas reliefs des civilisations d’Amérique centrale et du Sud. Souvent, ces entités sont décrites comme étant bénéfiques (surtout en Chine).

    Cet arrière fond « reptilien » est encore plus vaste et plus prégnant puisque l’on trouve encore aujourd’hui dans de nombreuses ethnies de type animiste, surtout en Afrique de très claires allusions à la présence de ces êtres reptiliens. 

     

    Dans la mythologie zouloue, l’humain primordial n’avait pas l’usage de la parole et communiquait par la télépathie : l’homme appelait la femme en pensant à elle, à la forme de son visage, à son odeur, l’humain communiquait avec les animaux, les plantes, les arbres, avait le pouvoir de déplacer des objets avec seulement son esprit, et le pouvoir de voyager, en esprit, vers d’autres mondes. Les humains vivaient en paix dans la communion et la jouissance du grand tout.

    Cet état édénique fut rompu par l’apparition de créatures qui avait des écailles de poissons et de longues queues, les chitauli. Ces Chitauli instaurèrent un culte envers un Dieu céleste masculin. Les pouvoirs des humains furent retirés par ces créatures qui leur ont donnés en échange un nouveau pouvoir : l’usage de la parole. 

    Mais, les êtres humains trouvèrent, avec horreur, que l’usage de la parole divisait les êtres humains, au lieu de les unir. De nouveaux sentiments apparurent, et la peur les conduisirent à la construction de villages fortifiés et l’instauration de frontières. Les humains ont découvert la guerre et la famine, et c’est cette peur constante qui a permit l’asservissement de l’humanité à ces créatures.

    On retrouve ce mythe chez les Sumériens avec les Namlú’u, humains originels qui étaient des êtres extraordinaires doués de capacités de clairvoyance étonnante, capable de lire dans les pensées de quiconque, ayant  la possibilité de se déplacer très rapidement d’un endroit à un autre et qui étaient proche de la Source, ils étaient en quelque sorte les gardiens de la Terre avant l’arrivée des Anunna, qui comme on le sait, étaient reptiliens ;





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    Masque de mort Death note 18 mars 2015 21:44

    C joli l’AT :

    "Bruit de vacarme de royaumes, de nations rassemblées  : c’est Yahvé-Sabaot qui passe en revue l’armée pour le combat, ils viennent d’un pays lointain, des extrémités du ciel, Yahvé et les instruments de sa colère pour ravager tout le pays. […] Voici que vient le jour de Yahvé, implacable, l’emportement de l’ardente colère pour réduire le pays en ruines et en exterminer les pécheurs. […] Alors comme une gazelle pourchassée, comme des moutons que personne ne rassemble, chacun s’en retournera vers son peuple, chacun s’enfuira dans son pays. Tous ceux qu’on trouvera seront transpercés, tous ceux qu’on prendra tomberont sous l’épée. Leurs jeunes enfants seront écrasés sous leurs yeux, leurs maisons saccagées, leurs femmes violées". 

     



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    Masque de mort Death note 23 janvier 2015 21:41

    Notre incarnation dans la dimension physique a pour objet de vivre l’expérience de la dualité.Nous devons apprendre à ne pas dissocier le masculin du féminin mais à les associer, cette association subtile implique le processus de création.

    Nous sommes projeté dans une dimension dans laquelle le mental étouffe l’esprit et l’égo neutralise la sagesse. Le féminisme est l’émanation narcissique de ce principe. Cependant, les ténèbres de l’égo sont un autre aspect de la lumière. Tant que l’amertume peut encore s’amplifier, l’initié ne se libère jamais. Ce n’est qu’une fois arrivé aux frontières de ses possibilités qu’il emprunte finalement le chemin qui le mènera vers la lumière.

    Les féministes, par les guerres et incompréhensions entre les sexes qu’elles déchaînent, font aussi partie du plan méta -historique de la source. Il faut aimer les féministes hystériques malgré leur démonie.

    L’amour inconditionnel et infini, voilà ce qui réconciliera les deux moitiés de l’humanité féminine et masculine et permettra d’avancer vers un nouvel âge du monde, dans le sens d’une sacralité retrouvée.

     



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    Masque de mort Death note 20 janvier 2015 16:23

    Notre dimension physique nous amène à vivre l’expérience de la dualité sous des formes multiples : le jour et la nuit, l’ombre et la lumière, le bien et le mal, le masculin et le féminin…

    Cette ambivalence peut heurter un esprit logique, pour qui les contraires sont séparés.

    Reconnaître la magnificence du féminin et du masculin présent en chacun, homme ou femme, tel est la voie empruntée par l’initié. C’est retrouver le lien à l’origine, la connexion à l’invisible, au mystère et à la transcendance qui nous permet de voyager à l’infini et de nous expanser. C’est réinvestir le corps et entrer dans sa puissance d’incarnation, le lieu où tout se passe, tout en gardant le lien lumineux à notre source.

    Depuis des millénaires, les guerres et incompréhensions entre les sexes se déchaient, alors que la souffrance des hommes comme des femmes grandit. Ces deux moitiés du monde que sont les femmes et les hommes, vivent le plus souvent dans le déni et la non reconnaissance l’un de l’autre, en exil de leur propre être, dans la confrontation, dans la guerre parfois. La souffrance est en chaque camp, individuel et collectif.

    Il est urgent de revenir aux principes, aux lois universelles que nous portons en nous, qui éclairent autrement ce qui est encore trop souvent douleur de séparation et d’opposition. Il s’ensuivra un moment de noces entre la "femme et l’homme intérieur." Le voyage vibratoire se terminera dans le cœur du cœur, espace de conscience de l’esprit pur où le masculin et le féminin n’ont jamais eu cours.

    Masculin et féminin, la voie du cœur, la voie de l’unité. Sur ce terrain d’unité, le cœur et l’amour sont au centre de cette alchimie, mais aussi la connaissance des principes du féminin et du masculin qui sont en chaque humain et ont à réapprendre à danser ensemble dans de nouvelles façons d’aimer.