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Les commentaires de Soi même



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    Soi même 6 novembre 2013 18:30

    @ Riggins, développe, ce qui était basé sur les lettres "UMMITES".

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  • 1 vote
    Soi même 6 novembre 2013 17:26

    @ Socarate , ton pseudo, tu la trouves dans un paquet de Bonus ?

     



  • 6 votes
    Soi même 6 novembre 2013 17:23

    On est toujours l’extrémiste de l’autre. Surtout quand on est convaincus d’avoir raison.
    C’est la meilleur façon de ce déculpabilisé de la souffrance qui est infliger.
    Un esclave marron est toujours une source de danger pour l’esclavagiste. 

    Et l’autre extrême, c’est un moyen commode d’arriver à ses buts sans scrupules de définir qui est extrémistes

    Dans l’idée que tous les moyens justifiés le discrédits pour atteindre des buts non avouable est un paravent qui masque en réalité l’ambition de ses véritables motifs d’imposer par la force son point de vue au autres.

    Il n’est pas étonnant que l’on arrive à se double langage de l’extrémisme, car il est en liens étroits avec le culte de l’égoïsme de notre société actuel.

    Un extrémisme ne pourra jamais comprendre ce que veux dire - « Je Suis le Chemin, la Vérité, la vie » il sera toujours en opposition à cela !

    Car pour lui, c’ est la force, le mensonge, l’égocentrisme.

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    Soi même 6 novembre 2013 10:33

    @ Eric tu manque pas de souffle ( de Soi même (qui est un prophète, grossier, et n’a pas besoin de vis-à-vis) il y a détail que j’aimerais que tu apprécie à sa juste mesure, je ne suis jamais pris pour un prophète, car la source de mes arguments je les es élaboré sur des penses et des connaissances qui se basse sur des lecture et des informations humaines .

    Prophète, au féminin prophétesse (grec : ???????? [profétès], professeur, interprète de la parole divine ; devin) est un mot provenant du latin chrétien et emprunté au grec prophêtês qui désigne une personne qui tient, d’une inspiration divine, la connaissance d’événements à venir et qui les annonce par ses paroles ou ses écrits. Les prophéties sont souvent plus des mises en garde, assorties de l’annonce de calamités, que des prédictions inconditionnelles, répondant généralement à une angoisse collective ou un sentiment d’impuissance face à l’histoire.

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  • 1 vote
    Soi même 6 novembre 2013 10:14

    Jean Pierre Petit, est vraiment le scientifique qui qui prend un malin plaisir à vraiment à mettre les pieds dans les plats des contradictions et des compris que les scientifiques et les chercheurs ne ses vantent jamais.

    Il est évident qui recrache non sans humour les couleurs que lui a fait avaler.

    Il y a un point où j’ai l’impression qu’il manque de discernement et sur le sujet de l’écriture Unnite.

    http://oncle.dom.pagesperso-orange.fr/paranormal/ovni/cas/ummo/langage/langage.htm

    Qui me parait être un vrais canulars.

     ( Madrid, 1965. L’homme par qui l’étrange arrive s’appelle Fernando Sesma. La tête pleine de mystères, il va son chemin d’occultiste dans cette Espagne franquiste qui résonne encore des atrocités de la guerre civile. Le "professeur", comme on le surnomme dans les cercles du paranormal madrilènes, vient de publier Moi, le confident des hommes de l’espace. Le personnage s’ennorgueillit en effet de divers "contacts extraterrestres". C’est par téléphone que Fernando Sesma reçoit ses messages cosmiques. Le petit employé des Télégraphes s’est fait chroniqueur et tient registre des messages de l’ailleurs. Tout cela pourrait prêter à sourire. Pourtant, en ce mois de décembre 1965, va débuter un contact dont Ferando Sesma est loin de soupçonner les prolongements. )

    http://reguite.free.fr/Extraterrestres/ummo.html



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    Soi même 5 novembre 2013 09:36

    @ Eric à propos de Stener, il vos mieux que vous ayez des biscuits pour trouves cette inspiration Platonicienne. extrait :

    Idées sources de Rudolf Steiner sur la Triarticulation

    Citations tirées du livre « Elements fondamentaux pour la solution du problème social » – EAR

    « La confusion de notre vie publique provient de l’assujettissement de la vie spirituelle à l’Etat et à l’économie. Libérer la vie spirituelle de cette dépendance constitue l’une des parties de la si brûlante question sociale. » (page 11)

    « A l’intérieur des structures de l’Etat, la vie spirituelle a atteint l’âge de la liberté ; elle ne peut prospérer dans cette liberté si la pleine autogestion ne lui est pas accordée. Elle exige de former elle-même dans l’organisme social, un élément absolument indépendant. La gestion de l’enseignement et de l’éducation, dont naît véritablement toute vis spirituelle, doit être confiée à ceux qui éduquent et qui enseignent. Chaque enseignant n’ a à consacrer à l’enseignement que le temps qui lui permette d’être également un administrateur dans son domaine. » (page 12)

    « Il est antisocial de faire éduquer et instruire la jeunesse par des gens qui deviennent étrangers à la vie parce qu’ils se voient prescrire, de l’extérieur, le sens et le contenu de leur activité ». (page 14)

    « La vie économique aspire à s’édifier elle-même sur ses propres forces, indépendante des institutions de l’Etat, mais aussi indépendante de la manière de penser politique. Cette édification sur un plan purement économique ne pourra avoir lieu que par la formation d’associations qui grouperont des cercles de consommateurs, de commerçants et de producteurs. » (page 17)

    « Ce ne sont pas les lois qui règlent la production, la circulation et la consommation des biens, mais le êtres humains, par leur compréhension directe et par leur intérêt pour ces opérations. Et, du fait qu’ils vivent au sein de ces associations, les hommes peuvent en acquérir la compréhension nécessaire. Dans les associations siègeront des travailleurs qui agiront de concert avec les directeurs de la production et les représentants des consommateurs, pour établir, en réglementant les prix, une production correspondant à sa contrepartie. » (pages 18-19)

    « La vie peut connaître les formations les plus variées. c’est un élément fluide. et qui veut avancer de concert avec elle doit aussi adapter ses pensées et ses sentiments à cette fluidité, qui est son caractère fondamental. les tâches sociales ne pourront être saisies que par une telle façon de penser. » (page 23)

    « De l’âme prolétarienne résonne cette conviction : J’aspire à la vie spirituelle. Mais cette vie spirituelle est idéologie ». (page 40)

    « Actuellement, le prolétaire croit se référer à une force fondamentale de son être, lorsqu’il parle de sa conscience de classe. Cependant, en vérité, depuis qu’il s’est inséré dans l’ordre du capitalisme économique, il est en quête d’une vie spirituelle qui puisse soutenir son âme et lui donner la conscience de sa dignité d’homme. » (page 47)

    « Le prolétaire vit avec répugnance dans son subconscient le fait qu’il doit , au même titre qu’une marchandise sur le marché, vendre sa capacité de travail à l’employeur et que, sur le marché de l’emploi, sa capacité de travail est soumise à la loi de l’offre et de la demande. » (page 49)

    « En livrant son travail aux rouages économiques, l’ouvrier s’y trouve lui-même absorbé tout entier. car aussi longtemps qu’on leur confie la réglementation du travail, ces rouages économiques, par leur nature propre, tendent à exploiter l’homme comme une matière première. » (page 50)

    « Que chacun puisse ressentir d’une manière saine comment doivent agir les forces de l’organisme social pour que celui-ci se révèle viable, c’est ce qui est exigé de l’homme dès à présent. On devra acquérir un sens nouveau qui permette de ressentir qu’il est malsain et antisocial de vouloir s’insérer dans cet organisme sans éprouver ce sentiment. » (page 56)

    « Il est nécessaire que chacun, à la place où il se trouve, s’occupe de mettre en place la partition de l’organisme social. » (page 58)

    « La mission de la vie économique est de créer des institutions dans le but de satisfaire les intérêts de l’individu, fondés sur les besoins de son âme et de son esprit, mais ces institutions ne doivent s’occuper que de la fabrication et de l’échange de marchandises, c’est-à-dire de biens qui reçoivent leur valeur des besoins humains. C’est donc des consommateurs que les marchandises reçoivent leur valeur. » (page 61)

    « L’homme ne pourra vivre d’une manière juste la relation juridique qui doit exister entre lui-même et les autres hommes que lorsqu’il ne vivra pas l’expérience de cette relation dans le domaine économique, mais sur un plan qui en est totalement séparé. Que les hommes introduisent les intérêts servant la vie économique dans la législation et l’administration de l’Etat constitutionnel, et toute juridiction ne sera plus que l’expression de ces intérêts économiques. » (page 62)

    « Cet Etat sera édifié sur les impulsions de la conscience humaine que l’on désigne actuellement par le terme de démocratique. Quant au domaine économique, il fondera, sur des impulsions qui lui sont propres, ses propres organes législatif et exécutif. Les rapports nécessaires entre les directions des corps juridiques et économiques se feront à peu près comme se font, actuellement, les rapports entre gouvernements d’Etats souverains. (page 63)

    « Actuellement, dans le circuit économique où ne devrait circuler que la marchandise (toute chose transformée par le travail de l’homme et qui, là où on l’a transportée, est mise à la disposition des consommateurs), la force de travail humain et les droits circulent aussi. » (page 64)

    « Si l’on échange des deux côtés de la véritable marchandise, que l’on produit ou que l’on consomme, aucune dépendance ne s’établit, qui agisse ainsi d’homme à homme. » (page 65)

    « Il doit exister des institutions qui régleront les droits existant dans le commerce entre producteur, commerçant et consommateur ». (page 66)

    « Ces associations ne déploieront qu’une activité économique. La base sur laquelle elles travailleront leur viendra de l’organisation juridique. Si de telles associations économiques peuvent faire valoir leurs intérêts économiques dans des organismes représentatifs et administratifs du secteur économique, alors elles ne développeront pas le désir de s’ingérer dans la direction législative et exécutive de l’Etat juridique. L’Etat juridique ne participera plus à aucune branche économique ». (page 67)

    « Le premier objectif impératif que la vie publique doit se fixer aujourd’hui est donc de travailler à établir une séparation radicale entre la vie économique et l’organisation juridique. » (page 68)

    « Là où existent encore les anciennes conditions, il s’agira de partir de ces conditions mêmes pour travailler en vue de la nouvelle séparation esquissée. Là où l’ancien s’est déjà désagrégé, ou bien se trouve en voie de désagrégation, il faudrait que des personnes individuelles ou des fédérations de personnes prennent l’initiative d’une formation nouvelle, qui s’oriente dans la direction indiquée ici. » ‘page 69)

    « La production de la marchandise se fait par l’action conjointe de l’employeur et de l’employé. Ce n’est que le produit de cette action en commun qui passe dans le circuit de la vie économique. La fabrication du produit exige un rapport juridique entre ouvrier et entrepreneur. dans un organisme social sain, il doit être mis en évidence que le travail ne peut être payé. on ne peut pas, comme on le fait dans le cas d’une marchandise, lui attribuer une valeur économique. Ce n’est que la marchandise produite par le travail qui aura une telle valeur, en comparaison avec d’autres marchandises. De quelle façon et dans quelle mesure un homme a à travailler pour le maintien de l’organisme social, cela doit être réglé sur la base de ses capacités et en tenant compte des conditions d’une existence digne et humaine. Et cela ne peut se faire que si l’Etat effectue cette régulation en toute indépendance des organes de gestion de la vie économique. De même que la valeur d’une marchandise est donnée par rapport à une autre en fonction des matières premières, ainsi la valeur marchande devra-t-elle devenir dépendante de la nature et de la quantité du travail qui, selon l’ordre juridique, pourra être mis en oeuvre pour la création de cette marchandise. Un tel rapport entre le travail et l’ordre juridique contraindra les associations actives dans la vie économique à compter avec ce qui est du droit comme avec une condition préalable. C’est cependant par-là qu’on arrivera à ce que l’ordre économique dépende de l’Homme, et non pas l’Homme de l’ordre économique. » (page 71)

    « Car dans la vie spirituelle tout est lié. La liberté de l’un ne peut se bien porter sans la liberté de l’autre. » (page 75)

    « Dans le domaine de la vie de l’esprit, il en résultera que les producteurs pourront également vivre du produit de leurs prestations. L’activité de chacun, en ce domaine de la vie de l’esprit, restera son affaire privée la plus intime ; ce qu’il sera à même de fournir pour l’organisme social pourra compter sur la rémunération librement consentie de ceux pour qui le bien de l’esprit est une nécessité. Celui qui, par un tel mode de rémunérations, ne peut trouver à l’intérieur de la vie de l’esprit ce dont il a besoin, devra se diriger vers le domaine de l’Etat politique ou vers la vie économique. Ce que cet Etat politique exigera lui-même pour se maintenir en activité sera fourni par le droit fiscal ». (page 78)

    .

    Il faudra maintenant me dire où est Platon dans cette affaire ?



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    Soi même 5 novembre 2013 09:10

    @ Éric, « Vous parvenez à vous contredire dans la même phrase : s’il a eu fort à faire pour remettre à leur place les personnes qui le prenaient pour un maître, n’est-ce pas précisément parce qu’il n’est pas si difficile que cela d’en faire une idole ? »

    Visiblement vous ne prenez pas en compte ce que la nature humaine peut porté comme illusion sur sa manière de se comporté. Vous savez très bien dans se cas de figure, il y a pas besoin de prêter le flan pour être aduler par des esprits faibles.

    Il est apparent que vous avez de la culture intellectuel universitaire, en dehors de cela vous bercez dans un idéaliste intemporel.



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    Soi même 5 novembre 2013 02:30

    @ Gaspard , vue la teneur de ses textes et ses mises en gardes, il ne parait difficile en faire une idole, d’ailleurs de son vivant, il a eu fort à faire en remettant les personnes à leurs places qui le prenaient pour un maîtres. Il s’est toujours définie comme un éveilleur et incitait à ce que l’on s’ éveiller.

     



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    Soi même 5 novembre 2013 00:59

    @ Gaspard ; « Je vous fais une réponse personnelle : toute croyance est une rigolade, une distraction, une fuite, un divertissement, un ajournement, un évitement. En se sens, oui, Steiner (mais il n’est pas le seul) peut vous laver de toute croyance et même vous rincer et vous sécher au point où il n’y aurait même plus de blanc. Mais bien sûr, il est aussi possible d’en faire un divertissement supplémentaire, un maître à penser et de devenir un adepte sectaire : l’égo fait feu de tout bois et bois de tout feu. »

    Votre réponse , je la trouve bien étrange, si je vous prend au mot vos lectures de Steiner est un passe temps ?
    .
    Pour moi c’est un maître à penser  et quand on approfondie sa pensé ont est vite guérir de devenir un adepte sectaire.
    .

    Car l’égo en prend une sacré claque .
    .

    « On peut dire que, de toutes les connaissances,
    celle de l’être humain est la plus difficile, c’est pourquoi dans les anciens
    mystères le «  connais-toi toi-même » fut fixé comme le but le plus élevé de
    la quête de la sagesse. La grande difficulté pour l’homme d’aujourd’hui est
    de comprendre tout ce que le cosmos anime en lui, tout ce qui agit en lui.
    Il préférerait s’imaginer lui-même de la manière la plus simple possible,
    parce que, aujourd’hui précisément, il est devenu très paresseux dans son
    penser, dans ses représentations. Mais l’être humain n’est justement pas un
    être simple, et surtout pas sur le plan social. Et ce n’est certes pas l’arbitraire
    dans les représentations qui peut faire quoi que ce soit contre cette
    réalité. Car dans ce domaine, l’homme est un être qu’il voudrait infiniment
    ne pas être, il préférerait de beaucoup être différent. On peut dire qu’en
    réalité l’être humain s’aime terriblement lui-même. Il s’aime vraiment
    beaucoup, c’est incontestable. Et c’est cet amour de lui-même qui fait que
    la connaissance de soi devient source d’illusions. 
     »



  • 1 vote
    Soi même 5 novembre 2013 00:26

    Illustration dramatique d’une personne qui n’a pas encore compris que ce combat va être une source d’affrontement.
    Il faudra bien un jour qu’elle fasse un deuil de se passé , où alors qu’elle rentre dans son pays.
    Il est visible sa préoccupation est d’imposé une identité qui ne peut être conciliante avec la réalité de notre pays.
    Car si sont véritable but est de lutté contre le colonialisme Français, vue comment nous perdons de l’influence en Afrique, il est évident que c’est n’est pas le véritable but de son partie.
    Car si cela était véritablement le cas, elle aurait attaquer les grands industriels qui continue actuellement à faire un commerce néo colonial avec l’Afrique.
    Visible se terrain n’est pas son soucis, ce qui ne fait pensé que c’est un nouveau partie sous marin qui va nous donner du fil à retordre dans les cités.

    Les banlieues françaises, cibles de l’influence culturelle américainehttp://gestion-des-risques-interculturels.com/pays/europe/france/les-banlieues-francaises-cibles-de-linfluence-culturelle-americaine/

    http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/la-strategie-americaine-pour-85577

     



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    Soi même 4 novembre 2013 23:09

    @ Eric, sur cette question - le progrès moral individuel ou civilisationnel...

    Et bien l’avenir va vous décevoir, car il n’est pas dit que le progrès morale soit en équation avec le civilisationnel.

    Attendez vous plus tôt à une accélération de la décrépitude morale des institutions.



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    Soi même 4 novembre 2013 22:59

    @ Éric pinailleur, votre cycle de vie des Dieux de l’Olympe vous colle à la peau.
    Il vous vient pas à l’idée que une forme juste à une époque donné, transpose à notre époque et le meilleurs moyen d’obtenir le contraire de se que vous attendez ?

    Quand à la réponse sur innatalité, je me que vous conseillez de la médité, car visiblement vous ne comprenez pas le nœud de möbius.

    http://jacquesderic.free.fr/RastellToull/RT_C114A1_Escher_Moebius.html

    Quand à votre question sur la réserve d’âme dans le monde spirituel, montre en réalité tous votre manque de sérieux de votre pensé.

    Est c’est vraiment important de le savoir, il y a des fois, il est préférable de rien savoir !



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    Soi même 4 novembre 2013 22:15

     La mort spirituelle

    Meurs avant de mourir,

    Pour ne pas mourir

    Quand tu devras mourir ;

    Sinon tu périras.

    (Angélus Silesius)




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    Soi même 4 novembre 2013 20:33

    @ Éric « chaque nouvel être, en tant que membre d’une communauté politique qui l’a vu naître et est appelée à lui survivre doit intégrer, adopter un comportement éthique  »

    Un révolutionnaire patenté où, vous le places où dans cette affirmation ?



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    Soi même 4 novembre 2013 18:25

    @ Éric, innatalité n’a rien à voir à retourner totalement à la poussière.

    C’est une question de logique, qui se base sur un raisonnement qui est si l’on croit à l’immortalité de l’âme et de l’esprit on ne peut pas exclure avant notre incarnation, il n’ y a pas une innatalité .

    Car si l’on exclue l’innatalité de notre réflexion, que veux dire en réalité l’immortalité de l’âme et de l’esprit ?



  • 1 vote
    Soi même 4 novembre 2013 17:30

    @ Gaspard, t’es vache avec cette question !



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    Soi même 4 novembre 2013 16:56

    Être, ou ne pas être, telle est la question.
    Y a-t-il plus de noblesse d’âme à subir
    la fronde et les flèches de la fortune outrageante,
    ou bien à s’armer contre une mer de douleurs
    et à l’arrêter par une révolte ? Mourir… dormir,
    rien de plus ;… et dire que par ce sommeil nous mettons fin
    aux maux du cœur et aux mille tortures naturelles
    qui sont le legs de la chair : c’est là une terminaison
    qu’on doit souhaiter avec ferveur. Mourir… dormir,
    dormir ! peut-être rêver ! Oui, là est l’embarras.
    Car quels rêves peut-il nous venir dans ce sommeil de la mort,
    quand nous sommes débarrassés de l’étreinte de cette vie ?
    Voilà qui doit nous arrêter. C’est cette réflexion-là
    qui nous vaut la calamité d’une si longue existence.
    Qui, en effet, voudrait supporter les flagellations et les dédains du monde,
    l’injure de l’oppresseur, l’humiliation de la pauvreté,
    les angoisses de l’amour méprisé, les lenteurs de la loi,
    l’insolence du pouvoir et les rebuffades
    que le mérite résigné reçoit des créatures indignes,
    s’il pouvait en être quitte
    avec un simple poinçon ? Qui voudrait porter ces fardeaux,
    geindre et suer sous une vie accablante,
    si la crainte de quelque chose après la mort,
    de cette région inexplorée, d’où
    nul voyageur ne revient, ne troublait la volonté,
    et ne nous faisait supporter les maux que nous avons
    par peur de nous lancer dans ceux que nous ne connaissons pas ?
    Ainsi la conscience fait de nous tous des lâches ;
    ainsi les couleurs natives de la résolution
    blêmissent sous les pâles reflets de la pensée ;
    ainsi les entreprises les plus énergiques et les plus importantes
    se détournent de leur cours, à cette idée,
    et perdent le nom d’action… Doucement, maintenant !
    Voici la belle Ophélia… Nymphe, dans tes oraisons
    souviens-toi de tous mes péchés.



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    Soi même 4 novembre 2013 16:30

    @ Éric,

    .

    To be, or not to be, that is the question.
    Whether ’tis nobler in the mind to suffer
    The slings and arrows of outrageous fortune,
    Or to take arms against a sea of troubles,
    And, by opposing, end them. To die, to sleep,
    No more, and by a sleep to say we end
    The heartache, and the thousand natural shocks
    That flesh is heir to ; ’tis a consummation
    Devoutly to be wish’d. To die, to sleep,
    To sleep, perchance to dream, ay, there’s the rub ;
    For in that sleep of death what dreams may come
    When we have shuffled off this mortal coil,
    Must give us pause. There’s the respect
    That makes calamity of so long life,
    For who would bear the whips and scorns of time,
    The oppressor’s wrong, the proud man’s contumely,
    The pangs of despis’d love, the law’s delay,
    The insolence of office and the spurns
    That patient merit of th’unworthy takes,
    When he himself might his quietus make
    With a bare bodkin ? Who would fardels bear,
    To grunt and sweat under a weary life,
    But that the dread of something after death,
    The undiscover’d country from whose bourn
    No traveller returns, puzzles the will,
    And makes us rather bear those ills we have
    Than fly to others that we know not of ?
    Thus conscience does make cowards of us all,
    And thus the native hue of resolution
    Is sicklied o’er with the pale cast of thought,
    And enterprises of great pitch and moment
    With this regard their currents turn awry,
    And lose the name of action. Soft you, now,
    The fair Ophelia ! Nymph, in thy orisons
    Be all my sins remember’d.



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    Soi même 4 novembre 2013 16:17

    ( l’on a beaucoup de difficulté )



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    Soi même 4 novembre 2013 16:13

    @ Éric , tous les domaines de la pensé se rejoigne , le tord est de privilégier un seul point de vue.
    il y a une différence à faire entre la pensé lié au corps et la pensé lié à l’Esprit.
    Et toute la difficulté est de passé l’une à l’autre.
    Même si à notre époque ne si prête pas, la pensé Occulte à condition qu’elle n’est pas dévoyer, donne les clés de la compréhension de la pensé humaine.

    En réalité, si je peu illustré par une image, la pensé occulte ( ésotérique) et celle qui se trouve derrière la miroir de la pensé humaine ( exotérique).

    Donc il est pas étonnant, qu’aujourd’hui que l’on répugne de considérer que le monde comporte différente dimension spirituel, et que l’on a beau de difficulté à comprendre que le monde d Spirituel joue un rôle sur terre.

    D’où le rejet compréhensible des données ésotériques, du fait qu’il y a eu un nombre considérable de charlatan qui au courant du XIX et du XX siècles l’on discrédité par des opérations de charlatanismes ( divination, spiritisme, hypnose, etc ).

    Je comprends évoquer le rôle des morts, cela vous répugne de le croire, au vus de toute les fadaises et bêtises qui ont été proférer sur se sujet et je ne vous oblige pas à l’aborder.