Melnik* pardon. Il me fait franchement pitié. Mettre la croissance comme objectif bien au-dessus de la démocratie. C’est grave. Un jour ce bonhomme pourrait bien ouvrir les yeux sur sa misère humaine intellectuelle et ne pas s’en relever tellement il est passé à côté de l’essentiel.
MDR le coup de Jean Monnet ! C’est pas possible, c’est une blague ! Mais ce Melnick est juste in-cro-ya-ble ! C’est un authentique fou aliéné mondialiste, qui fait des louanges aux individualités malignes qui savent à eux seuls déclencher les plus grands malheurs que le monde ait connu. Hallucinant, c’est quand même flippant de savoir que des gens comme lui s’adressent aux cerveaux parmi les plus brillants du monde. Mec, réveille-toi ! On vit dans un monde fini, avec des vrais gens ! La vie c’est pas de bouleverser le monde (souvent en mal), c’est d’être heureux et épanoui avec sa famille et ses amis, en paix avec ses voisins !
Quelle horreur ce discours d’Alexandre Melnick, qui est dans une bulle minuscule qui concerne comme il dit les tous meilleurs, une poignée de types brillants et aliénés. Ca laisse de côté 99% de la population, qui veut juste vivre une vraie vie plutôt que de jouer au jeu de la globalisation, un jeu complètement dingue où on gagne lorsqu’on se fait plein de pognon et on perd lorsqu’on fait faillite (mais c’est pas grave, on a plongé plein de gens dans la misère mais on n’a qu’à recommencer une autre partie). La réussite qu’il vend est juste un cauchemar.
J’en suis qu’à la moitié, et tout en restant très critique vis-à-vis d’Asselineau et de son projet, je l’ai quand même trouvé éblouissant, réaliste, terre à terre comme on l’attendrait d’un politicien briguant le pouvoir (ce qui n’existe presque plus).
Tant mieux. Les journalistes doivent poser les questions qui fâchent et j’aurais posé la même : que reprocher à des pantins d’extrême-droite mondialiste si ce n’est leur posture de traitres et de pantins justement ? (et tout un tas d’autre chose... sachant qu’à leur place la plupart ferait pareil, vu que le problème est inhérent au fait d’avoir du pouvoir).