Elle
ne comprend pas ce qu’il dit et cherche par quel bout le prendre, et ne trouve
pas.
Elle
a beau incliner sa tête à gauche, puis à droite, le regard en coin de droite
puis de gauche, ça ne le fait pas.
Elle
comprend quand même que Manu n’est pas vraiment dans la ligne et elle tente de
mettre en cause le « traitre » un peu crépusculaire. Manu esquive l’attaque
en se positionnant dans son livre comme « chercheur », pas comme "citoyen".
Manu
traite de la longue durée, de l’importance et du rôle des religions, du
spirituel, de la décadence, d’une Europe émancipée des USA, d’une Russie qu’on
ne comprend pas et réciproquement. Du Chinois pour nos médias. Pauvre Apolline.
Mes certitudes ne sont pas
toutes petites : Villepin a eu raison, face à l’Histoire, de s’opposer à
la guerre d’Irak. Si pour vous c’est « petit », je crains pour la
dimension de vos certitudes, les vôtres.
Qu’un ancien premier ministre
français, ensuite homme d’affaire de grande classe, voyage en première classe
me paraît normal. Moi, petit ingénieur mécanicien, j’ai souvent voyagé professionnellement
en business (seulement pour les longs trajets), et j’aurais trouvé ridicule qu’on me le reproche.
Sur le sujet sensible des
lobbies, il est loisible d’en parler ouvertement aux USA, y compris au niveau
universitaire, mais pas en France. Donc restons en là.
@cevennevive Mathilde se cantonne à répéter et régurgiter les discours et les postures phénoménales de JLM, avec les mêmes rictus
Merde, pour une fois que je déroulais le tapis rouge à une dame, vous me fichez tout par terre. De la part d’une dame, c’est pas gentil (moi, je suis un vieux monsieur, j’ai choisi un pseudo féminin pour me mettre à la mode (transgenre)).
Mais ce phénomène de mimétisme est absolument général et frappant, surtout à gauche, chez les hommes du coup. Je me rappelle des lieutenants du (grand) Georges Marchais : ils adoptaient tous sa diction un peu trainante, genre prolo qui fume sa clope et boit son ballon de rouge au bar du coin (Laurent, Fitermann ...). Sous Mitterrand, on trouvait aussi des mimes, mais le personnage de Mitterrand était assez difficile à appréhender, tant il se vivait et se voyait royal.
Excellent débat mené par deux femmes intelligentes au discours bien maîtrisé.
Je n’arrive pas à dire laquelle a gagné sur la forme. Mention TB aux deux.
Ce débat illustre la montée des femmes en politique, même si l’une et l’autre sont des porte paroles de deux mecs : Mélenchon et Zemmour, surtout ce dernier qui a déclaré que la politique, c’est l’affaire des hommes.
A l’agression de la Panot qui a nommé Marion Maréchal-Le Pen en déformant son patronyme, j’aurais répondu par une baffe en la nommant Mathilde Panot-Pétain.
Pourquoi ? Parce que nous sommes déjà dans une prison financière avec notre dette. Il suffit que quelques scribouillards dans une agence de notation US décident de dégrader notre note pour que ça coûte à la France des milliards. Tout comme durant l’occupation quand l’administration d’occupation décidait de détourner nos productions industrielles (Renault ...). Dans les deux cas, c’est du vol, tout comme le vol de la BNP par les USA.
Et que préconise la Panot ? D’accroîtrre encore notre dette en dépensant toujours plus, sans recettes à mettre en face. Donc la Panot nous enfonce dans note prison financière où l’on nous vole, et mérite (un peu, mais c’est en réponse à une agression) d’être associée à l’administration qui a géré le pays sous l’occupation.
Réponse du berger à la bergère, car en associant Le Pen à Marion, la Panot tentait de façon à peine voilée d’assimiler Marion Maréchal à l’occupation (Le Pen -> Pétain). Marion aurait dû répondre plus sèchement à l’agression de la Panot.