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Chitine

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Tout petit déjà, Chitine démontrait des prédispositions à l’autobiographie.

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    Chitine Chitine 24 septembre 2013 09:51

    "Personnellement, bien que sensible à des valeurs que l’on rejette souvent dans le camp de la droite, je souhaite dépasser ce clivage. C’est aussi ça, "sortir du cadre pour le refaire" : admettre que ce n’est pas l’apanage de la gauche. Qu’en pensez-vous ?"

    J’en pense que vous êtes de gauche :)



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    Chitine Chitine 23 septembre 2013 16:53

    Bonjour Eric Guéguen,

    Quand vous dites que F.L. est de gauche, c’est par rapport à quelle définition de "la gauche" ?
    .
    si gauche = "ceux qui veulent sortir du cadre et le refaire"
    alors Lordon est de gauche si il veut sortir du cadre et le refaire.
    Veut-il sortir du cadre et le refaire ? Il prétend le souhaiter.
    Qu’est-ce qui vous fait douter qu’il relève de cette conception de la "gauche" ?



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    Chitine Chitine 23 septembre 2013 15:43

    Vive l’adversité !
    Sans quoi nous serions tous mort.



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    Chitine Chitine 23 septembre 2013 15:17

    Concernant la question des définitions et en réaction au message de Machiavel 1983 qui lui-même réagissait à celui de Eric Guéguen du 20 septembre 17:39
    "Il y’ a quelques jours j’écoutais Michel Rocard sur France info (il était très bon), on lui a demandé de définir la gauche et il a répondu en gros que la gauche, c’était le changement et l’innovation ! C’est exactement ça : la gauche, c’est fondamentalement les forces de la modernité et du mouvement et la droite, c’est la réaction à ce mouvement, ce qui se manifeste par le conservatisme !"
    .
    Frédéric Lordon propose également d’actualiser la polarisation et sa proposition est très proche de celle-là.
    http://www.youtube.com/watch?v=paaA0in8WjQ
    "La "Droite", c’est ceux qui veulent travailler dans le cadre, la "Gauche", c’est ceux qui veulent sortir du cadre et le refaire".
    .
    Attention : réclame.
    Machiavel et Guéguen, et les autres, vous qui vous posez ces questions de définition de concepts, et si ce n’est déjà fait, je vous conseillerais amicalement d’aller faire un tour du côté de l’école régulationniste, et notamment des essais "L’intérêt souverain" et "Capitalisme : désir et servitude" de F.L.
    L’intérêt y est justement le développement de raisonnements nécessairement sur base de définitions et constructions rigoureuses de concepts. On y est donc d’accord ou pas non sur base d’affinités idéologiques particulières mais sur la validité du raisonnement.
    L’autre intérêt, le majeur, c’est qu’on y dépasse une autre polarisation : individualisme/collectivisme.
    .
    La thèse de "L’intérêt souverain" devrait particulièrement te plaire, Machiavel1983.
    J’ai ici trouvé un résumé intéressant, désolé pour la longueur (et la digression) :
    .
    http://lectures.revues.org/305
    "La thèse de Frédéric Lordon repose sur l’argument selon lequel l’institution du rapport de don/contre-don remplit une fonction sociale précise : conjurer la violence inhérente à l’antagonisme des conatus. D’une certaine façon, le procès de civilisation n’est rien d’autre qu’une succession de « mises en forme », historiquement et socialement structurées, de la rencontre des conatus afin que la violence qui en résulte soit comprimée et que les hommes parviennent à vivre ensemble sans s’entretuer. L’acte de consommation marchande se révèle ainsi totalement déshumanisé si l’on fait exception des formules toutes faites (« et avec ceci ? », « c’est pour offrir ? »...etc.) qui sont chargées d’en euphémiser le contenu et la signification. Tout se passe donc comme si les individus passaient leur temps à dénier la violence inhérente aux échanges sociaux en les enrobant dans des formes socialement convenues. Et si la poursuite de l’intérêt individuel, au sens utilitaire, est devenue légitime, ceci n’a été possible qu’au terme d’un long processus historique dont Hirschmann avait déjà tracé les grandes étapes dans son livre Les passions et les intérêts. Frédéric Lordon dégage ainsi de façon analytique trois configurations différentes de l’échange : d’une part, le don comme forme d’échange symbolique, le « donnant-donnant » consacré par le marché, et enfin une configuration intermédiaire conciliant ces deux formes extrêmes. Il précise par ailleurs que « les dispositifs de la réciprocité ne peuvent que sublimer, mais jamais extirper, ces pulsions élémentaires qui restent alors à l’horizon de toutes les pratiques sociales » (p.99). Les pratiques de don/contre-don s’inscrivent ainsi dans une mise en scène de l’hypocrisie collective qui consiste à dénier que tout l’intérêt qu’il peut y avoir à se montrer désintéressé : « le bienfait est une comédie, c’est d’accord, mais c’est une comédie sérieuse et impérative » "



  • 2 votes
    Chitine Chitine 17 septembre 2013 18:10

    Sans clamer qu’il existe un système politique meilleur que les autres.

    La dérégulation extrême conduit fatalement à une perte de contrôle des gardes-fous qui empêchent les collusions entre administrations étatiques et intérêts privés.
    Cette dérégulation est théoriquement "de droite".

    comment donner tort concernant la critique des politiques de "la gauche".
    Mais ça ne cautionne en rien celle de "la droite", véritable ou non.
    Il faut penser cycliquement et pas essentiellement.
    Qu’est-ce que les Friedman et Hayek ont prévu pour que la grande dérégulation ne permettent pas les dérives actuelles ? Je ne trouve rien là-dessus...

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