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Christian48

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    Christian48 28 octobre 2019 13:36

    Logiquement lorsqu’on ne croît pas en Dieu, on doit en tirer les conséquences et donc, lorsque le mal se fait, admettre que l’homme en est le premier responsable, peu importe qu’il soit croyant ou athée, qu’il fasse le mal au nom de Dieu ou de son engagement idéologique. L’homme a le libre choix autrement la vie n’a aucun sens, c’est cette responsabilité qui fait qu’un homme peut capitaliser le bien....ou le mal.




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    Christian48 1er octobre 2019 16:01

    Il existe deux sortes d’historiens "engagés" (idéologiquement), la première n’est pas plus documentée qu’un simple lecteur et raconte n’importe quoi y compris des mensonges, la deuxième, dont fait partie ALR, est bien documentée, a bien travaillé les archives, mais interprète l’histoire de façon à ce qu’elle colle avec son idéologie et oublie le côté sombre de son idéologie, ici socialocommuniste.

    Lorsqu’elle parle d’Allen Dulles, envoyé à Berne par l’OSS (CIA) elle mentionne que le côté de la collaboration économique EU-Allemagne. Mais il me paraît évident qu’à un moment donné de la guerre les Américains ont pris conscience de la monstruosité des méfaits nazis et ont agi en conséquence. Je viens de lire le livre sur Canaris par l’historien Heinz Höhne (excellent). C’est stupéfiant d’apprendre à quel point les officiers allemands étaient parfaitement conscients qu’ils allaient au désastre total avec Hitler et très nombreux furent donc les contacts secrets avec les Alliés, en Suède, au Portugal, en Espagne, au Vatican et en Suisse, ceci bien sûr en cherchant une alliance avec les Alliés pour se débarrasser d’Hitler. La preuve que Allen Dulles ne soutenait pas les nazis, comme ALR le prétend, c’est qu’il soutint financièrement le maquis en France et vu les conditions de souffrance de ces jeunes hommes ce n’était pas de trop, mais de cela elle n’en parle pas. Comme d’ailleurs aucun historien des médias officiels ne parle du soutien de la Résistance par l’armée suisse...et ce ne fut pas rien croyez-moi. Les vrais résistants le savent(aient) eux...

    Et puis ALR ne parle pas de ça...et c’est très grave, aujourd’hui encore parce que lorsqu’on veut donner des leçons il faut être irréprochable, non ?

    https://prisons-cherche-midi-mauzac.com/varia/le-sabotage-dans-les-usines-daviation-et-le-pcf-entre-mythes-et-realites-925

    Bien entendu cela est minimisé...

    Personnellement j’en ai raz le bol de l’Histoire au service d’une idéologie. Je suis beaucoup intervenu concernant l’histoire de la Suisse pendant la Seconde Guerre mondiale, vous pouvez le constater sur le forum Livres de guerre http://www.livresdeguerre.net/identification/presentation.php?util=1023 et mes interventions sont vraiment beaucoup lues. Mais dès le début j’ai refusé d’imaginer un seul pays concerné par la SGm comme innocent et jamais je ne contesterai la part sombre de la Suisse avec le commerce et les refoulements. Mais contrairement à la gauche je mentionnerai aussi la part lumineuse et elle fut belle, croyez-moi. Déjà en premier l’unité du pays et là, comme je suis impartial, je mentionne que cette unité a été réalisée aussi grâce aux socialistes mais pas aux communistes qui furent traités comme les nazis...

    Pour en revenir à ALR c’est bien dommage, vu son talent, qu’il soit plus au service de son idéologie que de l’Histoire, cela n’engage que moi. C’est magnifique un historien sans politique...mais est-ce que ça existe ? Hélas, Histoire et politique ne font qu’un...bien qu’il existe aussi une autre histoire, comme par exemple celle qui étudie l’évolution de la cafetière ou autre babiole, eh oui c’est aussi de l’histoire..



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    Christian48 29 janvier 2019 08:25

    Donc si l’on comprend bien, le fascisme voudrait dire autoritarisme de droite et démocratie attitude uniquement de gauche y compris le stalinisme, le trotskisme, le léninisme, le maoïsme. Il est vrai que j’ai écouté que jusqu’à 11 min...

    A la base la simple appellation de fascisme pour le nazisme est déjà fausse. Le nazisme c’est le nazisme, c’est l’Holocauste et c’est une idéologie hyper raciste et unique. Que je sache, la fascisme était autoritaire, a commis des crimes, mais n’était pas une idéologie voulant envoyer tous les Juifs, les Tsiganes dans les chambres à gaz ainsi que d’éliminer tous les handicapés et homosexuels.

    Donc si fascisme veut dire uniquement régime autoritaire expliquez-moi alors pourquoi les régimes communistes ne sont pas qualifiés également de fascistes ?

    Pour moi, non ils ne sont pas fascistes, gauchistes, par contre pourquoi pas...

    Le fascisme est à la droite ce que le gauchisme est à la gauche...impossible de débattre ni avec l’un ni avec l’autre, autoritarisme oblige...

    Qui a voulu de l’appellation fasciste pour les nazis ?...Staline. Évidemment il était profondément national-socialiste, on comprend.

    Quant aux E-U sous Trump, excusez-moi mais je n’ai pas vraiment l’impression qu’une sorte de gestapo arrive dans une famille d’opposant à 5h du matin pour l’envoyer au goulag ou pour l’exterminer. Enfin peut-être qu’un citoyen américain pourrait témoigner, si jamais.



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    Christian48 16 novembre 2018 19:10

    @harry stot
    Effectivement il n’y a que l’humour en réponse. Bon mais si vraiment il existe des personnes croyant vraiment à cette thèse, leur place est à l’asile et ceux qui estiment que cela vaut un débat ou même la moindre explication devraient y réfléchir un peu...non ? Franchement.



  • 2 votes
    Christian48 28 août 2018 19:08
    Il faut lire ce livre : Les années fastes

    En fait le système actuel correspond assez exactement au début de fascisme en Italie, mais pas dans le sens où l’on comprend le mot fascisme, jusqu’à confondre nazisme et fascisme. L’idée du fascisme c’était d’écarter voire d’éliminer les opposants mais en créant une complicité entre une majorité du peuple préférant clairement la dictature donc l’ordre, à l’anarchie et ..L’État. Ce livre l’explique très bien.

    Il explique par exemple que la grande crise internationale de 2008 a créé une véritable panique en Chine, autant dans le peuple que chez les dirigeants. Ces derniers ont donc cherché comment s’en sortir. Sachant qu’un marché de 1300 millions suffisait largement à l’économie, ils ont trouvé une solution extraordinaire. Les riches et la classe moyenne en Chine épargnaient énormément ce qui fait que l’argent existait...mais dans les banques. Le gouvernement a donc donné un délai aux épargnants pour dépenser tout cet argent, faute de quoi il passait à l’Etat. Mais en même temps l’Etat a changé totalement les règles de création d’entreprises en les facilitant. Et ce fut un succès extraordinaire, c’est de là qu’est parti l’incroyable succès de la Chine.

    Sauf que...en même temps et pendant 28 jours .....autre chose, lisez le livre.

    Mais ce n’est pas du socialocommunisme ou plus.




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