• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Étirév

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 465 0
1 mois 0 9 0
5 jours 0 2 0


Derniers commentaires




  • 1 vote
    Étirév 31 janvier 2023 08:05

    La carence de la plupart des analyses géopolitiques vient du fait que le paradigme d’étude ne prend, le plus souvent, pas en compte la réalité des acteurs en présence. Les rapports de forces sont, la plupart du temps, considérés au regard des seuls États. Or, depuis plusieurs siècles, s’est développé, dans l’ombre, un acteur géopolitique nouveau, anonyme et de nature privé, que nous appelons du terme générique de « puissances d’argent ». D’un point de vue méthodologique, cet acteur, nouveau, est déroutant à plus d’un égard. Premièrement, il est anonyme, ce qui rend difficile son appréhension précise et la mesure de sa puissance, relative comme absolue, par rapport aux traditionnels États. Ensuite, cet acteur ne répond pas aux mêmes règles d’engagement, pour employer une terminologie militaire, que les États. D’une part, les « puissances d’argent » sont des acteurs privés, et non publics, qui répondent donc à des intérêts d’ordre strictement catégoriel, en aucun cas à un quelconque « intérêt général ». Mais, comme par essence ils sont anonymes, on a du mal à discerner leur présence autrement que par des déductions et recoupements d’informations. D’autre part, et peut-être surtout, ces acteurs, qui ne sont pas géographiquement délimités (pas de contraintes géographiques), ne fonctionnent fondamentalement pas selon la même logique que les États traditionnels. Alors que les États, quelle que soit leur taille, sont limités par des frontières et répondent à une logique d’ordre sédentaire, ces nouveaux acteurs politiques (que d’aucuns, tel que Peter Scott Dale, nomment « État profond ») répondent à une logique de type nomade.
    (...)
    Dans la plupart des pays du monde, l’État actuel est l’État profond, c’est-à-dire une réelle ploutocratie cachée derrière une démocratie coquille vide. Cette étape, qui a souvent pris le chemin indirect et sournois du contrôle bancaire, utilise, parfois, lorsque c’est nécessaire, des méthodes plus musclées. C’est ainsi que la prise du contrôle étatique par l’oligarchie n’a, historiquement, fait l’économie d’aucun coup d’État, permanent ou non. Citons les exemples récents du Vénézuela, de la procédure de destitution de Dilma Rousseff comme présidente du Brésil en 2016 ou encore la destitution du président ukrainien Viktor Ianoukovitch en 2014. La France n’a pas échappé à ce type d’expérience, qui fut rondement menée par l’oligarchie française contre Charles de Gaulle en 1969, sans même parler du soutien actif des USA dans le putsch d’Alger par l’OAS en 1961. Toutes les révolutions de couleur, de fleur ou autre nom jovial, sont une émanation de cette première tactique, consistant, pour les oligarchies (locales ou coalisées), à s’emparer des institutions étatiques des différents pays du monde. La seconde étape consistant en la collaboration des élites économiques des différents pays occidentaux.
    Franklin Delano Roosevelt, président américain durant la Seconde Guerre mondiale (discrètement au courant des manœuvres de « l’Etat Profond ») disait : « En politique rien n’arrive par hasard. Chaque fois que survient un événement, on peut être certains qu’il avait été prévu pour se dérouler de cette façon. ».
    LIEN



  • vote
    Étirév 20 janvier 2023 07:36

    Sex & Drugs & Rock... & Contre-Culture

    Est-il utile de rappeler que le Rock (issu du Blues et du Rythm and Blues noirs), apparu au début des années 1950, a permis l’intrusion, dans notre monde, d’influences négatives, sinistres, liées à la violence gratuite, à la drogue (notamment au LSD), au sexe (dans l’argot étatsunien, le terme « Rock and Roll » est un équivalent de « va-et-vient » ; certains doivent peut-être se souvenir de la première apparition TV d’Elvis en 1956, qui scandalisa l’Amérique puritaine avec son déhanchement « obscène »), aux pulsions les plus basses, et provoquant chez les êtres et par voie de conséquence dans nos sociétés, de graves effets pathologiques aux niveaux physiologique, psychologique et social.
    De plus, certains disques enregistrés par les Beatles, les Rolling Stones (notamment « Bridge to Babylon »), Led Zeppelin, Pink Floyd et autres groupes Rock, révèlent que ces enregistrements comportent des messages subliminaux destinés à être diffusé à l’insu du plus grand nombre. Ces messages, traités selon une technique appropriée (enregistrement à rebours camouflé : le message subliminal étant transmis par un « beat », ou un signal à fréquence ultra-sonique) atteignent, comme leur nom l’indique, un individu dans sa zone subconsciente, précisément là où ne s’exerce aucun contrôle rationnel. Par ce procédé, identique à celui qui est utilisé dans la publicité, s’effectue une véritable « persuasion clandestine », grâce à quoi le message anagrammatique est introduit, capté comme tel par le subconscient qui, dans un second temps, le décode et le reconstruit pour enfin le faire émerger au niveau du moi conscient qui, faute d’un discernement préalable, ne peut qu’adhérer, mais dans l’ignorance, au sens réel du dit message, dont le contenu est le suivant : perversion sexuelle, révolte contre tout ordre social, incitation au suicide, à la violence, etc.
    Un extrait d’un texte de John Todd est révélateur d’une connexion du Rock avec la basse sorcellerie : « de tout temps, dit-il, la sorcellerie a été pratiquée au son du Beat, qui est identique dans les cultes du Vaudou et dans la musique Rock. Impossible de pratiquer la sorcellerie sans cet accompagnement. ».
    Aussi, est-ce un hasard si la Loi sur la sorcellerie (Witchcraft Act 1735) fut abolie en Angleterre en 1951, au moment où naissait le Rock ?
    Dans le chapitre intitulé « Le déferlement du rock subliminal », extrait de son ouvrage « La Société Fabienne », Guy Boulianne écrit : « Les Beatles (bons garçons) et les Rolling Stones (méchants garçons) sont les deux faces d’une même pièce qui a été frappée par l’Institut Tavistock pour présenter à la jeune génération une nouvelle langue et une nouvelle éducation culturelle autour des prétendues libertés : la liberté de consommer de la drogue et la liberté de devenir une contre-culture. Tout ceci a été fabriqué. ». En effet, quand, par exemple, les Beatles arrivèrent aux États-Unis pour la première fois, en 1964, ils furent assaillis à l’aéroport par des centaines d’adolescentes hystériques. La presse nationale annonça aussitôt que la « Beatlemania » s’était emparée de l’Amérique. Mais en réalité, les jeunes filles avaient été transportées d’un collège du Bronx à New-York, et payées par les promoteurs des Beatles (Brian Epstein entre autres) pour leur séance de hurlements hystériques ; la même année, les Rolling Stones firent leur apparition en Amérique au « Ed Sullivan Show », comme les Beatles un peu plus tôt. Les téléspectateurs eurent cette fois droit au spectacle de la mise à sac du studio par les fans. Notons que le premier vrai succès des Stones fut, en fait, écrit par les Beatles, et ce fut le guitariste des Beatles, George Harrison, qui fit les arrangements pour leur premier contrat d’enregistrement.
    L’opposition entre les gentils Beatles et les méchants Rolling Stones fut la stratégie utilisée pour mettre la jeunesse dans un étau : l’habituel « diviser pour régner ». Les Beatles pénétraient des couches sociales et culturelles où les Rolling Stones étaient mal vus. Chacun pouvait choisir son camp. Lorsque les Beatles avançaient une nouveauté, les Rolling Stones s’en emparaient pour s’en moquer. Quand les Beatles vantent le voyage psychédélique au LSD, les Rolling Stones font l’apologie de l’héroïne. Quand les Beatles chantent « la paix et l’harmonie », les Rolling Stones proclament leur « foi satanique ». Cela devient si caricatural qu’on comprend que les deux attitudes étaient artificielles, comme un moyen pour semer la confusion dans l’esprit des jeunes. Moins d’un siècle auparavant, les jeunes étudiaient le violon ou le piano, mais la magie de la guitare électrique s’empara de l’espace sonore. On abandonna Bach, Mozart et Beethoven pour se lancer dans le Rock. Toutes ces mêmes sociétés d’enregistrement qui feront plus tard la promotion du hard Rock (Heavy Metal), ont dirigé des opérations secrètes pour détruire l’héritage musical des compositeurs classiques.
    EMI (Electrical & Mechanical Instruments) qui avait pris le contrôle des enregistrements de musique classique en faisant signer des dizaines de contrats concernant des interprètes de musique classique allemands, aura un rôle important dans la promotion des Beatles. Rappelons que EMI est à la base une des plus grosses entreprises de production d’électronique militaire, mais aussi un élément-clé de l’establishment du renseignement militaire britannique. Toutes ces curieuses « maisons de disques » (Capitol Records, EMI, etc.) dissimulaient des recherches militaires. La grande majorité des fans du Rock libertaire des années 60 ne se doute pas que les disques de ses idoles « révoltées et antimilitaristes » étaient produits par l’armée et les services secrets britanniques.
    La musique Rock est, et a toujours été, une entreprise conjointe avec les services de renseignements militaires britanniques et les réseaux satanistes. L’Angleterre a une vieille tradition de ces deux genres d’activité où se croisent les mêmes acteurs.
    Le « mantram » du Rock en langue anglaise (langue « magique » du blues) est une transe, un envoûtement. Cette opération de subversion de l’âme de la jeunesse, qui a été menée par les services secrets anglo-saxons, a orienté la culture sur une voie qui s’écarte de l’évolution régulière.
    Aujourd’hui, les résultats sont là : la culture Rock a attaché les âmes à des systèmes affectifs et comportementaux régressifs. La « Techno » n’a plus qu’à cueillir les jeunes pour les livrer à l’abrutissement final où les corps sont possédés par le rythme mécanique d’une bestialité robotique.

    SUITE…



  • 2 votes
    Étirév 11 janvier 2023 09:53

    « Notre société est dirigée par des fous pour des objectifs fous. Je pense que nous sommes dirigés par des maniaques à des fins maniaques et que je suis susceptible d’être jugé fou pour l’exprimer. C’est ce qui est fou à ce sujet. ». (John Lennon, artiste de plus en plus difficile à contrôler, se confiait lors d’une entrevue en juin 1968)
    John Lennon a été assassiné le 8 décembre 1980 par un certain Mark Samuel Chapman.

    BLOG



  • 3 votes
    Étirév 5 janvier 2023 08:14

    « L’empire du mensonge est en train de s’écrouler  »
    Et cependant, il est encore des gens naïfs qui croient que l’histoire est le récit exact des faits du passé. Ils semblent ignorer que le monde est, depuis longtemps, régi par le mensonge et que le désordre de la société actuelle en est la conséquence.
    Cela dit, il faut remarquer que c’est toujours quand la Vérité est altérée, cachée, quand l’erreur triomphe, qu’on en impose l’étude à la jeunesse.
    La Vérité est simple. C’est l’erreur qui est compliquée.



  • 1 vote
    Étirév 4 janvier 2023 10:47

    La surpopulation comme tous les autres immenses problèmes actuels, ne sont que les conséquences du désordre et de la confusion d’un monde depuis longtemps régi par le mensonge.
    Nous sommes actuellement en pleine phase finale de ce que René Guénon appelle « Le Règne de la Quantité et les Signes des Temps ».
    Il faut savoir que dans une très haute antiquité, les rapports sexuels et donc les naissances étaient réglementés.

    En effet, les Agapes, qui étaient les réunions données le 7e jour, suivant l’ancienne Loi qui régnait aussi bien chez les Celtes que chez les Israélites, étaient un jour CON-SACRÉ, c’est-à-dire donné aux unions.
    Les agapes des Rose-Croix avaient lieu une fois par an, dans la nuit du Jeudi Saint au Vendredi Saint. C’était la fête de Pâques. On pourrait dire la fête de la fécondation, qui, dans les temps anciens, n’avait lieu qu’une fois par an pour assurer la reproduction.
    En hébreu, le mot « Pâque » veut dire passage. La fête du Pessa’h (de la Pâque) se célébrait à la première pleine lune de printemps. C’était le premier mois lunaire de l’année juive, le temps que la Nature assigne pour les fécondations. Les relations sexuelles étaient donc réglementées par la religion.
    Mais si une réglementation des relations sexuelles a été imposée par la Religion, ça n’était pas uniquement dans le but d’en règlementer les naissances…
    Suite

Voir tous ses commentaires (20 par page)

Les thèmes de l'auteur


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité