• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Étirév

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 460 0
1 mois 0 7 0
5 jours 0 0 0


Derniers commentaires




  • 3 votes
    Étirév 1er mars 2023 11:11

    « Ils détruisent nos églises pour détruire la France !  »
    Cela n’est pas nouveau.
    On sait avec quel acharnement, dès après la Révolution de 1789 dite « française », la République s’empressa de détruire toutes traces de cet ancien régime si abhorré des « Beaux Esprits ». Aussi, l’un de ses premiers soins, fut-il d’abolir l’existence de nos vieilles provinces, entités vivantes, pour leur substituer une création toute artificielle.
    À la suite de la Révolution, l’abbaye de Cluny, devenue « bien national », sera vendue et démontée au profit de marchands de biens. il ne subsiste aujourd’hui que 10 % de l’église abbatiale Cluny III. L’abbaye de Cluny fut fondée en 909 ou 910 par le duc d’Aquitaine et comte d’Auvergne Guillaume Ier. Cluny était alors le symbole du renouveau monastique en Occident.
    « Je ferai abattre vos clochers, disait Jean Bon-Saint-André au maire d’un village, afin que vous n’ayez plus d’objets qui vous rappellent vos superstitions d’autrefois. »
    « Vous serez toujours obligé de nous laisser les étoiles, lui répondit le paysan, et on les voit de plus loin que notre clocher »
    NB : A toutes les époques, il y a eu des partis qui, voulant s’emparer d’un pouvoir auquel ils n’avaient pas droit, ont appuyé leurs prétentions sur une idée, un système, une théorie religieuse ou sociale, qu’ils ont propagée par violence, par fraude ou par ruse. Deux moyens furent notamment employés pour faire disparaître les témoignages gênants du passé : la destruction et l’altération des textes.
    L’ère de destruction s’ouvrit au VIIIème siècle avant notre ère.
    Un roi de Babylone nommé Nabou-Assar, rempli d’un orgueil fanatique et irrité des éloges qu’il entendait prodiguer au régime antérieur, s’imagina qu’il suffisait de faire disparaître sa trace dans l’histoire pour remplir l’univers de son nom et rendre sa domination légitime. Il fit effacer toutes les inscriptions, briser toutes les tables d’airain et brûler tous les papyrus. Il voulait que l’époque de son avènement au trône fût celle qui commençât l’histoire. Et cette idée devait triompher...
    Nous savons qu’une semblable idée était venue aux Romains, qui firent détruire les livres de Numa.
    Le souvenir d’un pareil événement s’est perpétué aux Indes. On sait assez qu’il eut lieu en Chine et que l’empereur Tsinchi-hoang-ti alla encore plus loin que Nabou-Assar, en défendant sous peine de mort de garder aucun monument littéraire antérieur à son règne.
    Ce système est resté dans les habitudes de tous les conquérants, de tous les usurpateurs, il a même pris des proportions formidables dans les religions modernes.
    N’oublions pas que la fameuse Bibliothèque d’Alexandrie a été brûlée trois fois, que les papes chrétiens ont fait détruire un grand nombre de monuments antiques, que les archives du Mexique et celles du Pérou ont disparu pour satisfaire le zèle fanatique d’un évêque espagnol.
    Et très récemment, lors de la guerre d’Irak menée sous l’impulsion des États-Unis d’Amérique, souvenons-nous des opérations de pillages et du saccage intégral du musée de Bagdad, organisés « professionnellement », sous la passivité totale des forces américaines (sous leur protection même affirment certains), et de la destruction systématique de tous ses ordinateurs et archives dans lesquels étaient recensées et photographiées toutes les pièces de l’inventaire, ainsi que du vol de la majeure partie des 40 000 manuscrits et de la totalité des quelques 80 000 tablettes de terre cuite recouvertes d’inscriptions cunéiformes... des tablettes sumériennes dont le décryptage commençait à s’avérer fort instructif en ce qui concerne les influences babyloniennes chez les rédacteurs de l’Ancien Testament...
    Blog



  • 2 votes
    Étirév 23 février 2023 12:54

    Qui a commis les attentats du 11 septembre ?
    Un début d’indice : S’ajoutant à la plénitude du 10, qui symbolise un cycle complet, le 11 est le signe de l’excès, de la démesure, du débordement, dans quelque ordre que ce soit ; ce nombre annonce un conflit virtuel. C’est en ce sens que Saint Augustin pourra dire que « le nombre 11 est l’armoirie du péché ». Son action perturbatrice peut être conçue comme un dédoublement hypertrophique et déséquilibrant d’un des éléments constructifs de l’univers… Ce caractère est confirmé par le procédé de l’addition théosophique qui, en faisant le total des deux chiffres le composants, donne le résultat 2, c’est-à-dire le nombre néfaste de la lutte et de l’opposition. 11 serait alors le symbole de la rébellion, de la transgression de la loi, du péché humain… de la révolte des anges.
    Blog



  • vote
    Étirév 23 février 2023 07:42

    La Matière Noire : un éventuel rapport avec l’évolution des astres. Rappelons là.
    La vie d’un corps céleste peut se diviser en trois âges.
    1°) Pendant le premier il forme lentement son noyau inorganique aux dépens de la matière cosmique. C’est une nébuleuse (On appelle nébuleuse planétaire celles qui sont formées de couches concentriques).
    La terre a la même origine que les autres corps célestes. Elle a été d’abord une nébuleuse occupant une immense étendue dans l’espace. Peu à peu, les matériaux qui formaient le centre de la nébuleuse planétaire se sont condensés et le noyau primitif a été sans cesse recouvert de nouvelles couches qui se sont superposées aux plus anciennes. Cette formation des astres se renouvelle incessamment. Le ciel est peuplé de nébuleuse, cet état embryonnaire d’un monde.
    2°) Pendant le second ce noyau primitif se recouvre de couches nouvelles qui s’organisent : nous y voyons régner l’eau et la vie.
    3°) Le troisième âge d’un astre est l’état d’incandescence.
    Ce passage d’un astre obscur à l’état incandescent est un phénomène très fréquent. Le ciel est peuplé d’une infinité de corps obscurs. Nous ne pouvons pas les observer, puisque nous ne les voyons pas, mais nous devons les supposer beaucoup plus nombreux que les astres lumineux, puisque leur formation représente un temps bien plus long dans la vie astrale que la période d’incandescence.
    Néanmoins, à chaque instant un astre, ou plutôt une multitude d’astres obscurs, arrivent à l’état incandescent. Si ces astres changent de place, ce sont autant d’étoiles filantes. On en compte une dizaine par heure en temps normal, mais il est certaines époques ou le phénomène augmente et devient une véritable pluie d’astres lumineux. La périodicité de ce phénomène répond à une cause bien simple. Nous revenons, à certaines dates, en face des mêmes régions célestes et, lorsqu’une date est signalée, comme celle du 10 août, par exemple, pour la quantité d’étoiles filantes qui apparaissent alors, c’est qu’à ce moment de l’année, nous nous retrouvons toujours en face de la région où il existe la plus grande quantité d’astres obscurs prêts à s’enflammer.
    Lien



  • vote
    Étirév 21 février 2023 07:58

    Il est des gens naïfs qui croient que l’histoire est le récit exact des faits du passé. Ils semblent ignorer que le monde est, depuis longtemps, régi par le mensonge et que le désordre de la société actuelle en est la conséquence.

    Ne remontons pas trop haut dans l’antiquité, et prenons comme point de départ le début de notre Ère, c’est-à-dire l’Ère Chrétienne. Ça donnera, déjà, une idée du « décalage ».

    Suite



  • 3 votes
    Étirév 17 février 2023 10:34

    Les attaques militaires, officielles, officieuses ou par mercenaires interposés (l’une des dernières en date fut l’attaque massive de la Syrie par des hordes de mercenaires soutenus par les « puissances d’argent » qui utilisent les États occidentaux comme des armes pour asseoir leur propre hégémonie politique), voire aussi la stratégie de la tension et les opérations ou attentats « sous faux drapeau » orchestrés par les armées secrètes de l’OTAN (Gladio, etc.) et autres réseaux clandestins du « Stay-behind », sont une manifestation de force employée par les « principaux détenteurs de capitaux » pour faire disparaître les États indépendants. Outre la captation des richesses que ces guerres permettent, elles ont aussi, et sans doute surtout, pour objet la disparition effective de tout contrepouvoir politique réel.
    Ci-après, le processus « standard » des actions des globalistes pour prendre le contrôle des zones « instables » :
    01. On arme les camps opposées (désaccords d’intérêts, ethniques ou religieux) et on attise les rivalités ;
    02. Les populations, effrayées par des actes terroristes, fuient vers les villes dans l’espoir d’une meilleure protection. La faim et la misère se développent ;
    03. Les médias de masses commencent leur propagande et diffusent les images des atrocités dans le monde entier ;
    04. Dans les pays développés on recueille des aides médicales et alimentaires à envoyer dans les zones de crise ;
    05. Les O.N.G. n’aidant qu’une seule des parties opposées, sont militairement attaquées par l’autre. C’est à ce moment que commence l’intervention des Nations Unies ;
    06. Sous les motifs les plus divers, les « forces de la paix » envoyées par l’ONU se retrouvent au milieu de tirs croisés et sollicitent des renforts ;
    07. La « fabrication du consentement » opérée par le battage médiatique ayant fait son œuvre, les opinions publiques des différents pays sont convaincues de contribuer à l’effort « pour la paix » en envoyant des renforts (troupes et matériel) ;
    08. Arrivé à son paroxysme, le conflit peut être alors contrôlée à volonté ou intensifiée ;
    09. Selon le Plan, les protagonistes, en coulisses, assistent à la destruction du pays ou à l’épuisement des parties en lutte ; on appuie secrètement le parti qui sera à la tête du futur nouveau gouvernement ;
    10. Le pays est enfin mis sous le contrôle des Nations Unies. Les « forces de la paix » s’en iront lorsque le nouveau gouvernement sera devenu le fidèle porte-voix du Nouvel Ordre Mondial ;
    11. La reconstruction du pays commence : le nouveau gouvernement s’endette auprès des institutions financières internationales (BM, FMI) et, en échange, met à la disposition de la haute finance toutes ses richesses nationales (naturelles, voies de communication, productions, ressources de son peuple, etc.) ;
    12. La boucle est bouclée : la dépendance du pays vis-à-vis des « puissances d’argent » est accomplie. La colonisation intensive du pays a commencé.
    NB : Toutes les révolutions de couleur, de fleur ou autre nom jovial, sont une émanation de cette première tactique, consistant, pour les oligarchies (locales ou coalisées), à s’emparer des institutions étatiques des différents pays du monde. La seconde étape consistant en la collaboration des élites économiques des différents pays occidentaux. Remarquons qu’au cours des révolutions « spontanées », les « rebelles » n’attaquent jamais les banquiers, leurs domaines ou leurs banques.
    NB : Dans la plupart des pays du monde, l’État actuel est l’État profond, c’est-à-dire une réelle ploutocratie cachée derrière une démocratie coquille vide. Cette étape, qui a souvent pris le chemin indirect et sournois du contrôle bancaire, utilise, parfois, lorsque c’est nécessaire, des méthodes plus musclées. C’est ainsi que la prise du contrôle étatique par l’oligarchie n’a, historiquement, fait l’économie d’aucun coup d’État, permanent ou non. Citons les exemples récents du Vénézuela, de la procédure de destitution de Dilma Rousseff comme présidente du Brésil en 2016 ou encore la destitution du président ukrainien Viktor Ianoukovitch en 2014. La France n’a pas échappé à ce type d’expérience, qui fut rondement menée par l’oligarchie française contre Charles de Gaulle en 1969, sans même parler du soutien actif des USA dans le putsch d’Alger par l’OAS en 1961. Toutes les révolutions de couleur, de fleur ou autre nom jovial, sont une émanation de cette première tactique, consistant, pour les oligarchies (locales ou coalisées), à s’emparer des institutions étatiques des différents pays du monde. La seconde étape consistant en la collaboration des élites économiques des différents pays occidentaux.
    Lien

Voir tous ses commentaires (20 par page)

Les thèmes de l'auteur


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité