Je ne sais pas pourquoi (peut-être parceque d’autres ont souligné la possibilité pour des terroristes de jeter des grenades par-dessus, ou de tirer sur la foule d’un point haut....) cette barrière me fait penser à la ligne Maginot. Inutile, chère, et faussement sécurisante. Tant que nous ne serons pas dirigés par des gens intelligents, voire surdoués, ce sera ça dans tous les domaines de notre vie : l’absurde, le gaspillage, la poudre aux yeux. Ceux qui nous dirigent en France se pensent eux-mêmes brillants, pourtant les 2 écoles de référence qui les forment, Polytechnique et l’ENA ne sont classées au classement de Shangai des universités que 400 ième pour Polytechnique et non-classée ( trop bas) pour l’ENA. De plus le corridor de sélection qui mène à ces écoles a une base très étroite, celle des enfants de la bourgeoisie qui sont forts en maths.....et l’intelligence dans tout ça ?
"Puis bon c’est vrai que les voitures Allemandes sont belles.
C’est vrai, y’a vraiment de quoi jalouser un Allemand surtout pour un Français."
La supériorité des voitures Françaises, c’est qu’elles apprennent la mécanique à leur propriétaire.
Bien obligé de s’y mettre avec des Safranes qui coulent leur boite auto ou leurs amortisseurs pilotés en 60 000 kilomètres, des mégane 2 dci qui tuent moteur et turbo aussi en 80 000 kilomètres....des voitures diesel FAP qui ont toutes les avanies du monde......Rano c’est plus ce que ça a été....Pigeau non plus, d’ailleurs.
Heureusement qu’on nous a libérés à l’issue de la 2° guerre mondiale, sinon nous roulerions dans ces pauvres Mercédès ou BMW ou Porsche.....et nous n’aurions pas le privilège d’obéir à nos admirables hommes politiques et hauts fonctionnaires Français, qui, depuis, ont fait de notre Pays, la France, le number one mondial de l’économie, de l’emploi pour tous, et de la douceur de vivre.
@exocet1 Il est significatif que les historiens se soient penchés sur le terme "Muselmanner" utilisé par les prisonniers, dans les camps.
Ce terme désignait ceux qui avaient décroché de la lutte pour la survie, et avaient renoncé à se battre contre les autres détenus, l’encadrement du camp, pour obtenir un peu de nourriture.
Ces historiens ont proposé beaucoup d’explications possibles, dont aucune ne les satisfait vraiment pour expliquer ce terme de "Muselmanner", traduit par "Musulman".
(source livre "81490", du numéro de son matricule à Buchenwald, Albert Chambon)
Aucun n’a proposé comme explication le fait que ces gens-là, ne recevant plus rien à manger, pouvaient peut-être être comparées, cruellement, à des Musulmans qui jeunent.
@pegase Mais le politicien communiste Oskar Müller, alors chef du comité de résistance du camp, décida de libérer en cachette au nom de la Croix-Rouge internationale
quelques prisonniers afin d’avertir les soldats américains de l’endroit
exact du camp et de l’urgence qu’il y avait à intervenir. Le 29avril1945, la 45e division d’infanterie
de la septième Armée américaine libéra le camp. Lorsque les soldats
américains pénétrèrent dans le camp, ils furent confrontés à des scènes
d’horreur : prisonniers dans un état de maigreur épouvantable, fosses
communes où étaient entassés des corps déchiquetés. Certains soldats
américains furent tellement écœurés qu’ils tirèrent à bout portant sur
les officiers chargés du camp (Massacre de Dachau).
Tout bénef, ce Massacre de Dachau, pour la direction interne du camp, constituée de prisonniers, et pour le "comité de résistance du camp" constitué aussi de prisonniers.
Direction, Kapos, et membres du "comité de résistance" ou "armée secrète", comme on voudra.
Ils ont vu là la disparition des soldats qui gardaient le camp de l’extérieur (et pas seulement les officiers), témoins génants d’une répartition de la nourriture, et autres fournitures, incongrue et non conforme à des idéaux de solidarité.
Certains pourraient penser que ces exécutions ont été faites justement pour faire taire ces témoins.
"le jour ou le crime se pare des dépouilles de l’innocence, par un curieus retournement qui est propre à notre temps, c’est l’innocence qui est sommée de fournir ses justificatifs." Albert Camus