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  • 1 vote
    exocet1 20 octobre 2011 17:32

     

    « En tant que corps centralisé l’Egypte est déjà un cadavre, surtout

    si l’on tient compte de l’affrontement de plus en plus dur entre Musulmans et Chrétiens.

    Sa division en provinces géographiques distinctes doit être notre objectif politique

    pour les années 1990, sur le front occidental.


    Une fois l’Egypte ainsi disloquée et privée de pouvoir central, des pays comme la Lybie, le Soudan,

    et d’autres plus éloignés, connaîtront la même dissolution.

    La formation d’un état Copte en Haute Egypte, et celle de petites entités régionales de faible importance, est la clé d’un développement historique actuellement retardé par l’accord de paix, mais inéluctable à long terme.


    En dépit des apparences, le front Ouest présente moins de problèmes que celui de l’Est.

    La partition du Liban en 5 provinces....préfigure ce qui se passera dans l’ensemble du Monde Arabe.

    L’éclatement de la Syrie et de l’Irak en régions déterminées sur la base de critères ethniques ou religieux doit être, à long terme, un but prioritaire pour Israel, la première étape étant la destruction de la puissance militaire de ces états.


    Les structures ethniques de la Syrie l’exposent à un démantèlement qui pourrait aboutir à la création d’un état Chiite le long de la côte, d’un état Sunnite dans la région d’Alep, d’un autre à Damas, et d’une entité Druze qui pourrait souhaiter constituer son propre état- peut être sur notre Golan- en tous cas avec l’Houran et le nord de la Jordanie...un tel Etat serait, à long terme, une garantie de paix et sécurité pour la région. C’est un objectif qui est déjà à notre portée.


    Riche en pétrole, et en proie à des luttes intestines, l’Irak est dans la ligne de mire israélienne. Sa dissolution serait, pour nous, plus importante que celle de la Syrie, car c’est lui qui représente, à court terme, la plus sérieuse menace pour Israel. »


    Source : KIVOUNIM, Jérusalem, N°14, Février 1982, pages 49 à 59.

    Traduit de l’Hébreu par le Professeur Roger Garaudy, exposé dans son ouvrage « Les mythes fondateurs de la politique israélienne », mars 1996, , interdit à la vente en France.




  • 1 vote
    exocet1 4 janvier 2011 10:30

    Pierre Jovanovic a une excellente capacité d’analyse quand il pointe le risque de déclassement de la France par les agences de notation.

    En effet notre ratio dette/PIB est proche de celui de pays peu solvables, et, de fait, nous sommes devenus un pays peu solvable.

    Là ou je ne suis pas d’accord avec lui, c’est qu’il semble considerer comme normal, que depuis trente ans, nos gouvernants empruntent de l’argent, tous les ans, en plus des impôts et taxes que nous versons.

    S’indigner, oui, mais il ne faut pas se tromper de combat :
    le monde est en crise, nos pays d’Europe aussi.
    Les dettes des états deviennent monstrueuses suite aux déficits des budgets devenus habituels.
    Certes, les banques et particuliers financent ces déficits en achetant des obligations d’état, et donc gagnent de l’argent sur cette dette.

    Avant, on faisait marcher la planche à billets, créant de l’inflation.
    Les riches et aisés n’étaient pas touchés par cette inflation, car leur argent était placé.
    Celà nous a mené à l’hyper inflation des années 30 puis à la guerre.

    Donc, quel que soit le systeme choisi, un état qui dépense plus que ce qu’il gagne le paye un jour ou l’autre.
    C’est comme les finances d’un ménage, ni plus ni moins.

    Ce systeme des déficits chroniques que nous subissons depuis trente ans appauvrit l’état, et enrichit certains :
    l’argent redistribué dans le social n’est qu’un petit pourcentage des budgets.

    -La plus grande partie de ces budgets des Ministères est constituée par les traitements de fonctionnaires, petits moyens et hauts et les budgets de fonctionnement ;
    -les subventions aux associations "loi 1901", certaines légitimes, d’autres véritables "pompes à subventions" créées pour faire vivre et enrichir les amis et les "fils de" ;
    -les subventions diverses et variées aux entreprises, dont seuls les plus informés et proches des pouvoirs savent tirer profit ;
    -Les commandes d’état aux entreprises, là aussi pour y avoir travaillé, se font le plus souvent dans l’opacité la plus complète, avec par exemple pour résultat un porte-avions qui perd son hélice défectueuse payée des millions d’euros (l’hélice pas le porte avions).

    Evidemment, tous ceux qui profitent de ce système veulent que l’état continue à faire des déficits.
    Ceux-là sont nombreux, et les transferts de richesses opérés en leur faveur sont très importants :
    Selon l’Union des Banques Suisses, deux millons de Français sont plus que millionnaires en dollars, soit, si nous comptons bien, l’équivalent de la dette de l’état accumulée en trente ans, de 1500 milliards d’euros.

    Enfin, il y a aussi ceux qui "profitent" du status quo : les fonctionnaires, dont on devrait diminuer les traitements ou le nombre, pour réajuster leur masse salariale à notre économie sinistrée. (Qui je le rappelle, finance seule tout le systeme, sur le dos des salariés du privé) ;

    Les très nombreux retraités des premieres générations du papy boom, c’est à dire nés à partir de 1945.
    Nos politiques ont toujours eu peur de cette génération qui a fait mai 68, et une vraie réforme des retraites aurit du être faite à partir de l’an 2000, arrivée à la retraite des premiers papy boomers.
    Celà n’a pas été fait, aussi les caisses sont vides aujourd’hui, et pour payer ces retraites en or, les suivants puis les jeunes devront se serrer la ceinture, sans perspectives, au vu des futures reformes, d’avoir eux memes une vraie retraite.

    On le voit, les banques, qui il est vrai ont aussi un comportement pervers, font un bouc emissaire commode pour tout ce beau monde, qui souvent se dit "de gauche" et qui profite confortablement de la manne étatique et de ses déficits.

    Hier soir, sur Arte, j’ai vu un documentaire sur les années 1900, avant la guerre de 14.

    Le climat était le même qu’aujourd’hui avec une foultitude de bien gras nourris par l’argent des colonies Françaises.
    Des que d’autres pays europeens nous ont fait concurrence pour ces colonies, on a vu apparaître tout un tas de faux prophètes indignés, qui ont poussé à la roue, monté l’opinion publique contre les gouvernements :

    ce fut la guerre.

    Et nous, la France d’aujourd’hui, si nous continuons à emprunter toujours plus d’argent sans idée de rembourser, nous finirons étranglés par les intérets à payer :
    Ce sera alors la faillite, ou bien déclarer la guerre à un autre état pour le voler.

    L’idée commence d’ailleurs à etre dans l’air, puisque certains prohetes accusent l’Allemagne, meilleur élève de la classe Europe, de divers maux, dont celui, d’un haut fonctionnaire Français "d’écarteler l’Europe".
    Ce qui ne veut rien dire, mais quand on veut tuer son chien....




  • 2 votes
    exocet1 2 janvier 2011 19:37

    Bonsoir, Therasse,
    je comprends tout à fait votre opinion car moi-même je penche plutôt à gauche.

    Mais à mon sens les solutions ne sont pas de continuer les déficits publics, ceux-ci servant surtout à entretenir des situations de rentes, y compris pour des très riches.

    De l’argent il y en a en France, contrairement à ce que l’on croit.

    Mais ce ne sont pas les socialistes que l’on nous présente aujourd’hui qui iront récupérer cet argent.
    Aussi bien Aubry que DSK, continueront dans la ligne actuelle avec un peu plus de social et un peu plus de déficits.
    Quant à Ségolène Royal elle n’est que le faux nez des éléphants du PS trop mouillés par le passé pour se présenter eux-mêmes.

    Stéphane Hessel, dans une interview, lorsqu’on lui demande s’il faut militer dans un parti politique répond par la négative.
    là encore je ne suis pas d’accord avec lui, car les militants actuels, aussi bien au PS qu’à l’UMP sont des gens qui défendent leurs intérets, c’est à dire des gens qui ont des intérets à défendre, des gens qui profitent de la manne étatique.

    En dehors du caractère anti social de l’UMP, ce n’est donc pas tellement une question de couleur politique, mais de personnes.

    Or nous sommes revenus à une "République des partis", tout puissants, qui font les candidats aux élections.

    Alors, oui, il faut s’inscrire et militer dans le parti de son choix :
    il y a des gens valables qu’on entend très peu, si nous les aidons, celà peut changer.



  • 3 votes
    exocet1 2 janvier 2011 14:15

    Je suis plutôt réservé quant à Stéphane Hessel pour plusieurs raisons :

    1) son engagement antisionniste affiché, alors qu’il encense Strauss Kahn et Daniel Cohn Bendit, deux soutiens inconditionnels à la politique Israélienne.

    2)S’indigner, oui, mais il ne faut pas se tromper de combat :
    le monde est en crise, nos pays d’Europe aussi.
    Les dettes des états deviennent monstrueuses suite aux déficits des budgets devenus habituels.
    Certes, les banques et particuliers financent ces déficits en achetant des obligations d’état, et donc gagnent de l’argent sur cette dette.
    Avant, on faisait marcher la planche à billets, créant de l’inflation.
    Les riches et aisés n’étaient pas touchés par cette inflation, car leur argent était placé.
    Celà nous a mené à l’hyper inflation des années 30 puis à la guerre.

    Donc, quel que soit le systeme choisi, un état qui dépense plus que ce qu’il gagne le paye un jour ou l’autre.
    C’est comme les finances d’un ménage, ni plus ni moins.

    3) Ce systeme des déficits chroniques que nous subissons depuis trente ans appauvrit l’état, et enrichit certains :
    l’argent redistribué dans le social n’est qu’un petit pourcentage des budgets.

    -La plus grande partie de ces budgets des Ministères est constituée par les traitements de fonctionnaires, petits moyens et hauts et les budgets de fonctionnement ;
    -les subventions aux associations "loi 1901", certaines légitimes, d’autres véritables "pompes à subventions" créées pour faire vivre et enrichir les amis et les "fils de" ;
    -les subventions diverses et variées aux entreprises, dont seuls les plus informés et proches des pouvoirs savent tirer profit ;
    -Les commandes d’état aux entreprises, là aussi pour y avoir travaillé, se font le plus souvent dans l’opacité la plus complète, avec par exemple pour résultat un porte-avions qui perd son hélice défectueuse payée des millions d’euros (l’hélice pas le porte avions).

    Evidemment, tous ceux qui profitent de ce système veulent que l’état continue à faire des déficits.
    Ceux-là sont nombreux, et les transferts de richesses opérés en leur faveur sont très importants :
    Selon l’Union des Banques Suisses, deux millons de Français sont plus que millionnaires en dollars, soit, si nous comptons bien, l’équivalent de la dette de l’état accumulée en trente ans, de 1500 milliards d’euros.

    Enfin, il y a aussi ceux qui "profitent" du status quo : les fonctionnaires, dont on devrait diminuer les traitements ou le nombre, pour réajuster leur masse salariale à notre économie sinistrée. (Qui je le rappelle, finance seule tout le systeme, sur le dos des salariés du privé) ;

    Les très nombreux retraités des premieres générations du papy boom, c’est à dire nés à partir de 1945.
    Nos politiques ont toujours eu peur de cette génération qui a fait mai 68, et une vraie réforme des retraites aurit du être faite à partir de l’an 2000, arrivée à la retraite des premiers papy boomers.
    Celà n’a pas été fait, aussi les caisses sont vides aujourd’hui, et pour payer ces retraites en or, les suivants puis les jeunes devront se serrer la ceinture, sans perspectives, au vu des futures reformes, d’avoir eux memes une vraie retraite.

    On le voit, les banques, qui il est vrai ont aussi un comportement pervers, font un bouc emissaire commode pour tout ce beau monde, qui souvent se dit "de gauche" et qui profite confortablement de la manne étatique et de ses déficits.

    Hier soir, sur Arte, j’ai vu un documentaire sur les années 1900, avant la guerre de 14.

    Le climat était le même qu’aujourd’hui avec une foultitude de bien gras nourris par l’argent des colonies Françaises.
    Des que d’autres pays europeens nous ont fait concurrence pour ces colonies, on a vu apparaître tout un tas de faux prophètes indignés, qui ont possé à la roue, monté l’opinion publique contre les gouvernements :

    ce fut la guerre.

    Alors, voter comme le dit Hessel pour Martine Aubry, qui propose le "droit au bien être", et qui va plonger encore les déficits ?
    Voter pour Cohn Bendit, qui en 68 a détruit le Gaullisme pour le droit à "jouir sans entraves" ?

    Ce sera à nouveau la guerre, car,

    nous, la France d’aujourd’hui, si nous continuons à emprunter toujours plus d’argent sans idée de rembourser, nous finirons étranglés par les intérets à payer :
    Ce sera alors la faillite, ou bien déclarer la guerre à un autre état pour le voler.

    L’idée commence d’ailleurs à etre dans l’air, puisque certains prohetes accusent l’Allemagne, meilleur élève de la classe Europe, de divers maux, dont celui, d’un haut fonctionnaire Français "d’écarteler l’Europe".
    Ce qui ne veut rien dire, mais quand on veut tuer son chien....




  • 19 votes
    exocet1 21 août 2010 11:40

    Quand je lis les mensonges que les bons anciens FLN répandent sur tous les sites internet au sujet de cette affaire, je me dis que eux-mêmes sont conscients de leur propre malhonnêteté à ce sujet, puisqu’ils se sentent obligés de mentir.

    la vérité, c’est que si ce Monsieur Galinier est toujours sous les verrous, selon les propos des 2 Procureurs successifs, ce n’est pas pour rien.

    Il n’y a pas à proprement parler de légitime défense, puisque sa famille n’était pas là à défendre, il était armé d’un fusil de chasse, face à deux adolescentes de 15 et 16 ans, qu’il a surprises, agenouillées, occupées à fouiller dans ses affaires, désarmées et démunies d’outillage.

    Il a tiré à deux reprises, avec des cartouches de chevrotines...
    Le résultat, raconté par le premier témoin sur les lieux, a vu l’une d’elle, "les tripes à l’air" qui rampait sur le sol entre deux portes.

    Auparavant, Monsieur Galinier avait vu une main qui essayait d’ouvrir le volet entrebaillé.
    Elles sont entrées ensuite par une fenêtre sur l’arrière de la maison.

    Entre temps, monsieur Galinier, armé, n’a à aucun moment manifesté sa présence pour les dissuader d’entrer, et a attendu qu’elles soient à l’intérieur de la maison pour les coincer.

    un bon "Algérie Française", quoi, et qui n’a pas compris pourquoi les Algériens n’ont plus voulu d’eux, et qui fait ici ce que là bas ils s’autorisaient.

    Ce n’est pas que je lui en veuille tellement, parceque lui, il a des circonstances atténuantes, malgré l’horreur des faits : la chaleur, l’âge, la maladie dit-on, des rapines antérieures qu’il aurait subi....

    mais quand je vois, j’entends, je lis des citoyens lambda ou des politiques, depuis le début, fausser le débat en parlant, pour l’un des politiques de "défense légitime" (et non de légitime défense, subtile nuance), pour les autres, de proférer des mensonges lourdingues à tout bout de post, ça, ça m"irrite beaucoup.

    Car tous ces gens, ils n’ont pas 73 ans, ils ne sont pas malades, la canicule est finie, et pourtant, à les entendre ils auraient fait pareil : c’est à dire face à deux jeunes filles désarmées, flinguer au fusil de chasse, un coup chacune : boum et reboum.

    J’ose espérer que non, et que ces arrangements avec la vérité des faits et ces dérapages verbaux...ne sont que verbaux justement et dûs à l’insécurité et au sentiment d’insécurité.

    Là encore, quant on parle de légitime défense, il semble que très peu de gens sachent exactement ce que c’est, et comment la loi la définit.

    Le principal à retenir, c’est "la défense doit être proportionnée à l’attaque", et "répondre à un danger immédiat".

    ça ne veut pas dire que si un agresseur est à mains nues on doit impérativement être à mains nues pour se défendre.

    d’une part, étant soi-même armé, vu les deux tentatives d’intrusion successives on aurait pu signaler sa présence avant qu’elles n’entrent, pour les dissuader.

     ça veut dire aussi que, dans le cas présent, c’est difficile d’expliquer aux juges, que pour éviter d’être volé de quelques babioles qui trainaient on a tiré à deux reprises avec des cartouches habituellement réservées à la chasse au sanglier, d’une part ;

    et surtout, surtout qu’étant soi-même armé et ayant deja prévenu la police, il y avait, comme l’a dit le Procureur, mille solutions : les menacer avec le fusil en attendant la police, les laisser sortir sans se manifester puis les bloquer dehors, les suivre en signalant ou elles allaient...
    N’oublions pas que tout celà se passait en plein jour, dans un quartier habité par des amis de cet homme, et non dans un quartier pourri et hostile ou seul perdu dans la cambrousse.

    Ces deux jeunes filles garderont vraisemblablement de très lourdes séquelles à vie, et vu l’arme utilisée et visées au corps, ont certainement échappé de peu à la mort.

    Espérons au moins que leur calvaire calmera les papy flingueurs, ceux qui, à l’anisette, se montent le bourrichon entre eux , contribuant ainsi à leur propre paranoïa.
    Et fera baisser d’un ton les matérialistes, courageux flingueurs de jeunes filles, mais lapins éparpillés en 1939 sprintant jusque chez eux, puis profil bas sous l’occupation, puis "résistants" tondeurs à la libération.

    Tiens, mêmes victimes à l’époque, pour se venger d’avoir fait dans leur froc toute la guerre : les jeunes filles.

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