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freddy

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  • 1 vote
    freddy 5 avril 2013 18:31

    Avec ton système utopique machiavel, tu connais certainement le résultat ? La guerre, qu’elle soit économique, militaire, religieuse... En fait, comme aujourd’hui, tout simplement parce que le fond du problème est que les idées sont incompatibles entre elles, car nous ne possédons pas de matrice commune qui nous anime (je pense qu’elle existe mais qu’elle fonctionne en survie).

    Au niveau purement biologique, nous possédons ce noyau commun (on possède tous les mêmes organes), nous pouvons nous reproduire entre nous sans problème, tout en préservant une certaine diversité. La nature a réussi là où nous échouons lamentablement.
    On ne peut pas concilier toutes les idées, les compartimenter ne résout rien. C’est comme vouloir séparer le coeur et le sang, sous prétexte qu’ils sont incompatibles, ça n’a pas de sens.



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    freddy 4 avril 2013 20:59

    Je ne suis pas d’accord, on EST "normalement" ! On ne le croit pas parce que c’est aujourd’hui, mais nous sommes aujourd’hui comme nous étions hier, dans la même normalité (même si elle évolue évidemment).
    .
    J’ai mal formulé ma phrase, je pense qu’on a jamais été "normal", on peut remonter au moins jusqu’aux civilisations antiques, évidemment il y a eu des changements, mais le fait est que ça ne fonctionne toujours pas. Hormis quelques exceptions où certaines cultures ont réussi a instaurer une certaine harmonie, ces dernières ont été détruites ou amalgamées avec des civilisations plus grandes et plus agressives.

    Je crois que ce qui manque n’est pas une connexion avec le Tout dans un sens ou dans l’autre, mais la conscience de cette connexion.

     Il y a connexion, c’est juste que ça ne fonctionne pas, comme un ordi blindé de virus, ça marche mal. La conscience de la connexion peut permettre de changer des choses, mais je ne pense pas que ça soit suffisant. Par ex, on n’a pas besoin de savoir comment fonctionne des poumons pour respirer, on n’a même pas besoin de savoir qu’on possède des poumons. On peut respirer consciemment, mais la plupart du temps, c’est l’inconscient qui prend le relais, qui met en place des routines, cela est nécessaire, car sans lui on ne pourrait pas vivre. Imagine que la routine de la respiration se fasse de manière anarchique, désordonnée, ou pire qu’elle s’arrête pas intermittence, l’existence serait alors impossible. En prendre conscience n’est pas suffisant bien souvent, il faut agir dessus. Alors dans ce cas, on peut faire de l’hypnose, de la sophro, de l’exercice...
    A l’échelle de l’humanité, je n’ai pas de solution à proposer.



  • 2 votes
    freddy 4 avril 2013 15:22


    Peut-être devrions-nous parler de degré d’action plutôt que de responsabilité. De cette façon, collectivement, du moins dans la sphere occidentale, nous agissons tous sur le système qui nous opprime. Le trader qui spécule sur le blé, ainsi que le consommateur de petit Lu. Celui qui possède une part de résponsabilité, même minime, sera celui qui a une marge pour diminuer les effets qu’il produit sur le système (ne plus acheter de Petit Lu par ex).
    Dans ce cas-ci, la responsabilité est collective, mais on est pas tous responsable de la même façon. 
    Une autre remarque est qu’on fonctionne principalement comme des automates, donc c’est une responsabilité non su, en faisant des non-choix.
    C’est comme si nous formions un ’Tout’, les humains forment un sous-ensemble de ce Tout. Normalement, je pense, les deux fonctionnent ensemble et agissent l’un sur l’autre, l’interaction est bidirectionnelle. Tandis que dans notre fonctionnement actuelle, c’est le Tout qui donne les ordres. Pour changer en profondeur les choses, il faut agir sur le Tout, d’où la dimension collective.

    Après la difficulté vient entre autre de savoir si le libre arbitre existe et si oui de quelle façon agit-il et dans quelle proportion.



  • 2 votes
    freddy 4 avril 2013 11:39

    L’idéal libéral n’existe pas, il y aura toujours une structure, une forme d’organisation qui se mettra en place, que ça soit l’État pourri, le marché mafieux, ou autre chose.

    Il est vrai que dans le libéralisme économique pur, il n’y a pas de monopole, avec des lois relativement simples qui régissent les rapports entre personnes, réglés comme la mécanique d’une horloge.
    Mais c’est justement ces axiomes simplistes (et faux je pense) qui mènent, en partie, au capitalisme délirant d’aujourd’hui.



  • 7 votes
    freddy 4 avril 2013 08:01

    Pierre Rabhi, toujours aussi pertinent, il a bien saisi la dimension collective de la surconsomation et de l’emballement technologique.

    Il y a une contradiction entre avoir son iphone, son écran plat, partir au club med, boire son coca... et être contre le capitaliste.

    Ce qui est navrant c’est que des pans entiers de ce système sont indispensables de nos jours, les supprimer provoquerait l’effondrement au moins partiel de notre monde d’un niveau de complexité délirent, d’où la nécessité d’une évolution lente et laborieuse pour les remplacer petit à petit. Ce n’est pas trois taxes et une dizaine de lois qui apporteront des changements fondamentaux.
    Encore faut-il en avoir conscience et avoir des objectifs communs sur le très long terme...

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