La moyenne du taux de CO2 atmosphérique a été de 2000 ppm (405 ppm de nos jours) au cours des 600 Ma précédentes, avec un pic à 8000 ppm environ au Cambrien. Aucun réchauffement cataclysmique et irréversible ne s’est produit. Pourquoi nos misérables 400+ ppm seraient-ils cause du terrrrrrrrrible réchauffement de +0,7°C en 150 ans ? Les lois de la nature auraient-elle changé en fonction des délires de alarmistes du climat ?
@sls0 1) Vous n’avez RIEN compris aux deux premières vérités ... qui semblent vous déranger beaucoup. Elles ne sont que des observations de bon sens, quand on connaît le plateau de TMAG depuis 18 ans, l’évolution du taux global de CO2 (mesures au Mauna Loa) et l’évolution de nos émissions anthropiques. Pourquoi cela vous dérange-t-il ? Je m’interroge...
2) Comme vous n’avez AUCUN argument scientifique à faire valoir, vous me sortez mon CV comme si cela avait un rapport avec mes compétences en climatologie, compétences acquises en 5 ans. de travaux.
Bref, comme tout bon petit affidé du GIEC/IPCC, vous tentez de décrédibiliser l’auteur, et non le fond du dossier, ce qui confirme que vous êtes aux abois et que vous tentez tous les coups tordus pour ne pas perdre la face..
Après la fin de la dernière glaciation, les océans sont montés de 120 m, puis cette montée a perduré à raison de quelques mm/an. Depuis 1807, le plus vieux marégraphe du monde mesure une montée régulière de 1,050,08 mm/an, sans accélération, tout comme la moyenne globale de 1,7 mm/an.
Je ne vois donc pas quel pourrait être la relation avec le petit RC de 0,8°C depuis 1880, qui a cessé depuis 1997,
1) La banquise boréale a
effectivement perdu de la glace, mais la banquise australe en a gagné, et la
somme des superficies des 2 banquises est constante.
2) Les océans montent de 1,7
mm/an depuis 150 ans (mesures par marégraphes) et aucune accélération n’a été
observée.