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    kemilein kemilein 7 août 2013 12:39

    le mythomane est celui qui se ment a lui meme et croit a son délire.
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    les humains sont bourrés de mythes et de légendes invisibles qui façonnent leurs vies et leurs êtres
    plus encore quand il s’agit de conflit, l’humain étant subjectif ABSOLUMENT subjectif, il n’aura que SA mémoire des évènements et les "sentiments" qui y sont attachés.
    -
    moi je suis en mode automatique d’analyse, tous ce que je fais je l’analyse, je sais quand et pourquoi je suis dans tel état, jamais je ne me mens.
    les gens ne sont pas ainsi, ils vivent sans réfléchir, sans analyse, ils ne savent plus ni pourquoi ni comment ils en sont arrivés la, alors ils inventent pour justifier le sentiment qu’ils éprouvent.
    -
    le souffre douleur est une forme de l’expression de ce mythe. on lui jette et rejette tout sur la tête car soit on refuse de voir le réel (qui met en danger le groupe > donc SA propre survivance-jouissance en péril - ou tout simplement la conscience de son véritable "soi") soit on invente car on ne sait plus.
    -
    1) tu vas payer car tu es faible et que je te fais souffrir toi plutot que le gars fort la bas qui structure nos vies et notre communauté alors que toi, ta structure, n’importe qui pourra faire l’affaire.
    2) je sais pas pourquoi je te tape dessus, mais y’a sans doute une raison, j’éprouve un sentiment que je ne sais expliquer d’ou il vient, je vais le justifier et te frapper, c’est certainement ta faute, surement, oui c’est ta faute, encore une fois c’est ta faute, jamais tu comprendras !!
    -
    le mensonge a soi-même.
    le monde ne vit que ainsi, par mythe.
    plus facile de "croire" en un mythe que d’ouvrir les yeux sur le monde réel.
    ne plus croire c’est accepter qu’on est maitre-esclave. esclaves de nos déterminismes qui sont absolus et maître de trouver et comprendre ce qui nous détermine afin potentiellement de remplacer un déterminisme par un autre .
    -
    il y a du mythe partout, tout le temps l’amour ? l’amitié ? la Liberté ? l’universalité ? la Paix ? l’altruisme ? j’en passe et des meilleurs.



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    kemilein kemilein 7 août 2013 12:26

    je parle de mélodie, de sublimation d’un morceau de rock par un orchestre symphonique philharmonique (dont je connais pas la différence, honte sur moi)
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    l’instrument ne fais pas le style, jouer du classique sur un manche électrique n’en reste pas moins classique.
    y’a des gens qui aiment le piano, le violon l’alto, basse contre basse et le violoncelle et qui haïssent les cuivres le bois et l’accordéon et le clavecin et l’orgue et le banjo.
    -
    et classique ca veut dire quoi ?
    vous parlez de Classique, parce que Amérique latine la musique "classique" ca veut dire originaire / locale c’est pas du tout du Classique.
    -
    tout est toujours plus complexe et connexe.



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    kemilein kemilein 6 août 2013 19:30

    c’est une nécessité des groupes mythomanes.
    il faut un exutoire-expiatoire pour ne pas se regarder en face.
    si on se regarde en face et qu’on regarde les autres le groupe ne tien pas une seconde SAUF si les bénéfices du groupe sont supérieur a la solitude, et ca, ca dépend de l’environnement.
    -
    le groupes mythomanes ? la totalité de l’humanité



  • 2 votes
    kemilein kemilein 6 août 2013 17:55

    sauf que le "rock" n’est qu’une forme moderne du classique, combien de theme classique peuvent etre jouer rock, et combien l’inverse peut être vrai.
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    c’est tellement plus simple de dire que tout est blanc ou tout est noir. le monde serait plutot une onde multicolore changeante et en mouvement.



  • 2 votes
    kemilein kemilein 6 août 2013 12:41

    nous avons l’urbanisme et l’architecture qui correspond a notre monde, a notre tmeps, au nos mentalités.
    nous avons un monde pressé par la rentabilité, du fonctionnel austère, oppressant et oppressif.
    il en va de même pour tout, nous avons l’éducation, le régime politique, les villes etc etc que nous méritons.
    -
    il ne tenait qu’aux hommes de s’approprier leur destin et d’en faire quelque chose, encore une fois ils on préférer délégué et relégué ce qui façonne leur vie a d’autres.
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    nous méritons les bétaillères insipides, ces abattoirs de possibles, ces truands gouvernants, ces gens en devenir ratés, ces inconséquences et imprévisions du long terme, pour laisser place a la rentabilité jusqu’a nos lieux de vie, de replie que sont nos foyers.
    -
    des maisons carrées lisses, les mêmes que les voisins, chacun la sienne, s’éparpillant, ou tout groupé les un sur les autres dans des autoroutes terne de passages.
    ou sont les parcs ? les ondes ? les circonvolutions ? les profondeur, les niveaux, les perspectives, l’insertion dans le cadre, l’aspiration qu’implique de "peupler" (combler) un lieu de vie, l’objectif de la chose ?
    -
    aujourd’hui ? se protéger dans une forteresse aussi agressive et austère que notre monde, plutot que la finesse élégante d’un dessin fluide et harmonieux qui nous donne un sentiment de quiétude propice a la contemplation la méditation et le loisir.
    -
    le monde que nous méritons... a la hauteur de notre bassesse ?

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