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  • Premier article le 01/02/2011
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Derniers commentaires




  • 3 votes
    lemanu lemanu 27 mars 2014 19:23

    "le reportage en soi ne me choquerait pas s’il n’y avait pas , en France , la propagande pour l’idéologie du genre qui postule..."

    Ben voilà. Rien de choquant, c’est vous qui l’avez dit, sinon votre parano sur un truc dont 99% de la population n’a que foutre.
    Allez foutre le feu où vous voulez, mais ailleurs : on n’a pas froid, merci.



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    lemanu lemanu 11 mars 2014 21:15

    je doute que mon avis vous intéresse, alors je vous le donne, petits veinards...
    Et d’un, cher Fabrice tombé du nid, allez gueuler ça (le titre) sur la Place du Palais du Soleil Kumsusan, vous verrez comme la liberté qui vous manque dans ce pays manque aussi à d’autres.
    Après, réfléchissez à ça : Qu’est-ce qu’être un gouvernement de gauche dans un système économique de droite ?



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    lemanu lemanu 11 mars 2014 00:38

    Bonsoir,
    Bien qu’agnostique caractérisé, je me pose à chaque fois la question de la résolution de cette équation perceptible chez de nombreux chrétiens, à savoir : vie éternelle (prononcer Vie Eternelle) = vie après la mort. Il me semble que visiblement, certains ne s’embarrassent pas de la science pour résoudre leurs équations. Rien ne sert de commenter une conviction, on ne peut pas les empêcher. Mais tout-de-même, quand je vois la taille de certains aedifices sacrés, quelque chose m’échappe sur la finalité, quelque chose qui aurait rapport avec le passage de la grandeur à la démesure... un instant T comme celui où le remous bordélique devient un tourbillon.
    Certes il est rassurant de grandir, comme il est angoissant de rapetisser, mais qu’est-ce qu’être alors, qu’on "soit" un peu... Juste un peu avant la vie éternelle, ou le néant absolu ou le paradis des vierges ou la réincarnation en chat à 7 vies (au moins), ou encore en fantôme dans la mâsure familiale.
    J’avoue à ma grande honte que je n’ai pas écouté Bricmond, que je connais déjà par coeur, que j’aime bien mais qui m’endort. Et l’attrait seul de découvrir son interlocuteur n’a pas suffit à me convaincre ; Mais la profondeur sidérante des échanges a suffit à me suggérer cette incursion dont vous m’excuserez si elle vous a semblé complétement con, ce qui est votre droit le plus légitime.

    Bonne nuit



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    lemanu lemanu 1er mars 2014 12:03

    @ Fifi ;

    J’apprécie votre clairvoyant commentaire sur la musique atonale et son émancipation du carcan "Koechlinien".
    Cependant, et pour exactement les mêmes raisons que vous (!) c’est pour ça que j’aime bien en écouter de temps en temps. Mais comme pour la pièce, objet de l’article, la musique atonale, il faut y être allé pour en parler, et même si c’est un refus, même si c’est une affaire de goût, on en retire quelque chose, ne serait-ce qu’une opinion, à défaut d’apprécier l’œuvre. Mais déjà le fait d’apprécier ou pas témoigne de la présence de cette réflexion qui seule crée l’art, démarche émanant du spectateur-utilisateur bien plus que de l’artiste-créateur... je viens d’en parler plus haut, et bon WE.



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    lemanu lemanu 1er mars 2014 11:52

    "Ces oeuvres ne peuvent rien signifier pour ceux qui ne les ont pas conçues. C’est de l’art non communicant. "

    Ça, si vous permettez, c’est une belle connerie.

    Dans un pays où la culture est enseignée(*), on sait dès le plus jeune âge que l’oeuvre n’appartient plus à son auteur dès sa création. Vous pourrez essayer de la façon que vous voulez, l’émotion que vous ressentez devant "le Cri", ou bien en refermant "les fleurs du mal", en ressortant de "Tragédie" ou en écoutant "Carmina Burana" ou Ali Farka Touré n’aura,quoique vous fassiez, jamais rien à voir avec celle de l’auteur. C’est en cela que cela devient de l’art : il n’existe que si vous décidez que c’en est, et c’est là qu’il commence à parler, à communiquer, à véhiculer un concept vers votre petit cerveau.

    Le seul art qui ne communique pas, c’est celui auquel on est insensible, et en l’occurrence, celui devant le quel on ne peut être qu’insensible, puisque ici un préjugé idéologique est imposé : le nu, c’est non.
    Empêcher les restaurants de servir la bolognaise parce que Madame le Maire n’aime pas les oignons, ça donne une idée de l’ambiance municipale locale, mais ce n’est pas surprenant, vu le niveau des états-majors

    (*) C’est à dire que votre commentaire s’explique assez logiquement dans ce pays où on prend un giffle pour un zéro en maths mais où un zéro en dessin fait rigoler tout-le-monde ; Faut pas s’étonner après : On a la starac et le public qu’on mérite. Olivier Dubois et ses comédiens danseurs pourront témoigner que la connerie "fière de l’être" n’a pas de limite dans au moins un endroit de cette planête, qu’ils sont en train de sillonner et qui dieu-merci les acclame. Cet endroit, c’est Laroche sur Yon, Vendée, France, Cocorico.

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