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Fataliste de nature, je ne me fais guère d’illusion et accorde à la réalité toute sa prépondérance.Tableau de bord
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gerfautPour ma part, j’ai été viré à la fin de la seconde.Je n’ai donc jamais commencé la philosophie... en cours
ou 
?Quant à s’introduire ou débattre de sujets qui pour moi n’ont rien de polémique puisqu’ils ne changent rien à la continuité physique organisant le milieu ambiant, j’ai toujours du mal à mesurer où je me positionne d’un point de vue collectif... rentrer dans une logique, ne pas y entrer ? Se définir par rapport à la collectivité entraîne forcément un parti pris qui fige nos positionnements. Très peu pour moi. La fixité est synonyme de mort, et elle arrivera bien assez tôt pour ne pas lui donner prévalence.Ce qui est aussi sûr pour moi, c’est que le mariage pour tous aura des conséquences comme en ont par exemple les usages qui en Chine font qu’on préfère enfanter des garçons que des filles, ou qu’en Allemagne, la satisfaction matérielle entraîne un "déficit" de naissances. Comme le système compte sur cette manne pour perdurer, est-il bon de continuer à procréer sachant que le globe ne peut supporter notre extension galopante sans que nous ne tombions dans des écueils... Sur un autre point, et je m’arrêterai là, je tiens les règles (pour ne pas dire lois) physiques comme prépondérante vis-à-vis des lois que nous nous donnons. Et si vie il doit y avoir, elle ne se donne que par l’union des deux sexes.Après, lui donner sens, se l’approprier ou pas relève d’une interprétation toujours susceptible d’être encenser, minorer, voire rejeter. On le voit bien dans les manifestations anti mariages pour tous, et les positionnements que cela occasionne.Enfin, l’existence passera quoi qu’il en soit, et la futilité de nos partis pris nous apparaîtra clairement, mais avec le recul. Et comme chez l’humain, l’appropriation est le maître mot, il en ira encore longtemps ainsi, et occasionnera toujours les dissensions auxquelles nous sommes habitués. Rien en quoi s’émouvoir...Salutations gerfaut, et à tous,loph -
@ Frida
Ça peut arriver à n’importe qui. Sauf que pris dans un contexte de joute oratoire, et donc collectif, ça n’a pas la portée qu’elle a prise individuellement.D’ailleurs, qu’il se mêle de ce qui le regarde donnerait un bien meilleur exemple de la "bonne" utilisation de nos capacités individuelles selon moi.Enfin, je peux me tromper aussi, mais le libre arbitre a de biens meilleures vertus sur soi même que sur autrui me semble-t-il ! :->Salutations Frida,loph -
Voilà bien un florilège, un festival ?
Mais tout ceci n’arrive pas à me détourner de cette considération : quelle futilité faisons-nous de nos vies, sous prétexte de conscience...En tout cas, les tenants et les aboutissements du monde qui nous environne, voire l’universel, ne sont pas près d’être connus si tant est que cela nous intéresse, puisque nous nous perdons dans des débats où l’interprétation humaine est élevée sur un piédestal.Mais merci quand même à frida pour la mise en ligne du rapport que j’ai lu avec un intérêt certain.Quant à la joute verbale qu’ont entretenue les protagonistes, franchement, que change-t-elle à notre insignifiance en ce monde où rien ne tient au delà d’un certain temps d’existence ? Toutes considérations, interprétations, et cætera que nous en ayons ?J’en conclus que nos sens nous abusent ou que nous les laissons nous abuser, que nous nous leurrons nous même, quand tout est soumis aux mêmes lois, du plus petit quark aux plus gigantesques étoiles, et à côté desquelles notre longévité ne saurait être quantifiée, rendant illusoire toute aspiration. Sauf bien sûr celle de la procréation comme seule source irremplaçable à la pérennité de la vie. Du moins, tant que le milieu ambiant le permet, et ne condamne pas irrémédiablement la poursuite du cycle vital...Salutations -
Que le fait religieux me paraît futile pris à côté des dimensions que nous côtoyons, ou plutôt qui nous environnent, et qu’il prend une dimension pathétique dans ce type de débat !
Toute religion s’échine à vouloir tirer des ficelles (sur des personnes et des usages dont elles tirent profit, mais pas ailleurs bien entendu) pour, selon moi, canaliser un pouvoir revenant toujours au même instinct de survie, sauvegarder sa vie le plus longtemps possible en tentant d’en maîtriser les différents aspects, et là l’homosexualité.Étant pour ma part convaincu que la dynamique vitale, et même inerte comme celle de la rotation terrestre, est source de toute vie et nous échappe par le fait même de sa dimension universelle, je n’accorde pas le moindre crédit à ces spéculations religieuses promettant entre autre vie éternelle à ceux qui se soumettent à des textes qu’ils soient réputés sacrés, d’inspiration divine ou que sais-je... Mais ceci relève d’autres questionnements, dont les réponses me semble-t-il resteront hors de notre portée très mesurée dois-je dire.Respectant toutefois mes semblables, et justement aussi à cause de cette propension, il ne me viendrait pas non plus à l’esprit d’interpréter la réalité à laquelle j’appartiens, et donc les rapports qu’elle génère. Ce type d’agissement, commandé par une logique d’appropriation, qu’elle soit d’origine catholique, musulmane, judaïque ou même simplement humaine, ne mène selon moi qu’à gâcher des énergies qui ailleurs (envers son propre équilibre par exemple) auraient bien plus de cohérence vis-à-vis du milieu où nous vivons. Le fait est établi que l’humanité a toujours cherché à lutter contre la mécanique l’amenant à sa fin de vie, ce qui a aboutit entre autres aux religions, mais ne remet absolument pas en cause, et à fortiori, n’influence aucunement le cours de la réalité et de la multitude de situations qu’elle génère, dont les rapports humains, homosexuels, hétérosexuels ou autres.Mais comme je dis, je ne m’inscris pas dans ce prosélytisme enfermant ses protagonistes dans des incohérences bien mal assorties avec la réalité qui nous englobe.Mon terme échoira quoi qu’il arrive, et j’essaye de l’envisager de la manière la plus sereine possible, chose que nombre de religions et leurs tenants ont bien du mal à susciter chez moi. Preuve en est faite avec ce sujet réclamant équilibre entre tolérance et intolérance, équilibre qui ne peut se trouver qu’en son for intérieur plutôt qu’en en débattant avec autrui, générant différences et parti pris.SalutationsP.S. : merci aussi à tous pour la communication d’informations qui sinon ne seraient jamais parvenues à mon attention. Captain, Frida , edzez... et affûtant mon opinion.@ FridaEst-ce une faute de frappe : "... norme religieuse et en l’occurrence l’islam, il s’en mêle les pinceaux et devient maladroit et n’ayant rien à dire." ?Cordialement,loph -
Allez, encore un motif de faire confiance à la magnifique nature humaine.
Donnez lui un cerveau, et elle s’employera à brimer, nier, détériorer, pourrir la situation de laquelle elle croît tirer les ficelles depuis que s’est manifestée sa conscience d’elle même.
Je me demande encore combien de feux seront allumés d’ici à ce que j’arrive à mon terme, combien la malfaisance du système que nous mettons en place nous humains, oups, pardon, voilà un mot qui ne devrait plus être utilisé avec autant de désinvolture, je le remplace par grain de sable dans les rouages de la destiné terrestre...
En tout cas, sous couvert de prise de pouvoir ou d’intérêts, il y a derrière des milieux absolument malfaisants et largement occultés profitant de cet état de fait. Qu’ils salopent et détériorent le milieu ambiant n’a pas l’air de trop gêner les élites dirigeantes, bien occuper à garder ses acquis (comme tout un chacun !), et que la population reste aliénée à la vaste fumisterie qu’on appelle civilisation dont on voit ici la supercherie manifeste.
Bref, c’est toute la splendeur du système humain, euh pardon, collectif (décidément !) qui nous détourne comme d’habitude de nos responsabilités individuelles... Si cela n’était pas si tragique et contre productif, j’en rirai...
Salutations
gerfaut
ou 
?
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