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loph

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Fataliste de nature, je ne me fais guère d’illusion et accorde à la réalité toute sa prépondérance.

Les œuvres humaines me laissent dubitatif, et la nature me paraît elle bien mieux équilibrée... Et accessoirement bien plus incidente sur nos existences que nos vaines gesticulations...

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  • 1 vote
    loph loph 23 mai 2013 16:39
    par  ???? (xxx.xxx.xxx.242) 23 mai 09:44

    C’est Israël qui fournit les couteaux de cuisine aux islamistes de Londres. 


    Votre haine des juifs vous aveugle !

    Vous pensez qu’en détestant les juifs vous serez épargnés ?
     mais vous êtes cuits et vous vous offrez en holocauste. 

    Désolé  ????, mais ma vision des choses ne me dit pas que je serai épargné. Juste que j’attendrai comme tout un chacun mon terme. Et épargné de quoi ? Mais cette question et la réponse que vous fourniriez ici nous ferait rentrer dans des conjectures et des interprétations dont je préfère rester éloigné. Quant à l’holocauste, encore un mot issu de la capacité humaine à désigner les choses, et là en l’occurrence, le terme que n’importe qui ou quoi atteint un jour.

    L’islamisme c’est la guerre déclarée en occident, c’est l’affrontement. Ce n’est pas au Mali, en Afghanistan ou en Iraq que ça se passe, c’est chez vous.

    Ce que nous faisons de nous même a des incidences sur ce qui n’est pas à nous ou chez nous, mais que nous nous approprions de gré ou de force. Et la plupart du temps, plutôt de force que de gré. D’ailleurs, elles sont loin les civilisations qui savaient vivre de gré à gré, en harmonie avec un milieu ambiant dont elles savaient se satisfaire.

    Au jour d’aujourd’hui, c’est plutôt dégage de là, tirons profit maximum de là où nous sommes et de ce que nous pouvons exploiter. Ce n’est certes pas autre chose qu’une attitude de bourreaux, sauf que c’est l’ensemble du milieu ambiant (nous compris) qu’on sacrifie à "notre" croissance, servie par des idéologies soit religieuses auxquelles je préfère ne pas m’intéresser, soit d’appropriation au nom de notre supériorité cérébrale et de l’image que nous avons de nous même. Autant dire jamais assez belle dans cette quête à l’immortalité... 
    En vérité, la nature nous a fait un drôle de cadeau avec cet organe doué de conscience, du libre arbitre, et de capacités que nous négligeons par paresse ou croyance en des leurres initiés par notre intellect même...

    Plutôt s’offrir à soi même une humilité que d’être soit un bourreau, soit sa victime !

    Salutations  ????


  • 3 votes
    loph loph 23 mai 2013 14:40

    Nous sommes donc au moins deux à nous complaire dans un monde qui lui tourne rond.


    Peut-être qu’à force, l’harmonie de la réalité germera à nouveau là où siège notre libre arbitre... Peut-être même (utopiste que je suis) se généralisera-t-elle à l’ensemble de l’espèce humaine ?

    "M’enfin", qu’en sais-je ?

    Salutations daniel paul,

    loph


  • 1 vote
    loph loph 23 mai 2013 12:39

    @ eusebe


    Ni pleurer la vie qui un jour ou l’autre nous quitte tous ! Qu’importe ce qu’on est...

    Et merci de m’avoir tant fait rire avec votre expression "Un de moins, SUIVAAANT" smiley

    loph


  • 6 votes
    loph loph 23 mai 2013 12:29

    Le jour où les religions redonneront toute sa prépondérance à la simple réalité débarrassée de la relative interprétation humaine, le milieu ambiant en sortira apaisé et poursuivra sa course sans plus être affecté par notre main mise envahissante, et le plus souvent irresponsable.


    Mais je doute que notre civilisation collective parvienne à revenir à l’humilité individuelle que m’inspire par exemple la brièveté de ma vie. Plutôt à d’autres dérapages commis au nom de telle idéologie, à d’autres appropriations commises au nom de la sacro sainte croissance , à d’autres gâchis commis par la faute de notre irresponsabilité collective.

    Et pendant ce temps, le temps lui passe, la terre continue de tourner, mais comme nous ne sommes bon qu’à nous mécontenter "grâce" à notre libre arbitre mal focalisé, l’Harmonie nous échappe...

    Salutations


  • 1 vote
    loph loph 23 mai 2013 11:41

    Merci Bender


    À force de lire des écritures sacrés et leurs interprétations, ainsi que des échanges "d’amabilités", je commençais à me sentir anesthésié.

    Votre commentaire me remet dans le contexte réel. Celui là même qui ne souffre pas d’interprétation puisqu’il existe sans que nous y ayons quoi que ce soit à y voir.

    Heureusement pour moi suis-je imperméable (et j’espère jusqu’à mon terme) à ces interprétations religieuses et autres d’une réalité insaisissable tant son cadre est gigantesque. Je parle évidemment de l’espace universel où se joue des combinaisons de forces qui resteront à jamais hors de portée de la plus insignifiante appropriation (humaine, idéologique...).

    Hélas, l’être pensant est parfois ainsi fait qu’il s’estime à même de décider tant pour lui mais aussi pour autrui ce qu’il est bon de penser ou de faire, et ce faisant induit à "son" environnement une influence par forcément respectueuse des équilibres naturels. Tant pis si nous nous perdons dans des interprétations qui comme vous dites "ne changeront rien à notre condition", mais quel gâchis cela représente à mes yeux.

    Quant au suicide de cet homme, il dénote pour moi que l’humain est libre de choisir ce qu’il veut faire de sa propre vie, mais que souvent, encombré par un libre arbitre qu’il a bien du mal à utiliser à bon escient, il se fourvoie dans des interprétations conduisant à des faits tangibles puisque tout ici bas répond à des nécessités matérielles. D’ailleurs y sacrifie-je aussi en prenant part aux réactions ici même !

    Mais qu’importent les idéologies, les interprétations tronquées que nous ne serons jamais capables de dépasser puisque nous ne serons jamais les égaux ni des forces universelles (même si nous y prenons part à notre échelle toute relative), ni de l’espace où prend place le monde matériel : planètes, étoiles, galaxies, quasar, et cætera.

    Insignifiant suis-je né, insignifiant mourrai-je, comme ce Dominique Venner... Il n’y a là que la fatalité du temps passant induit par un mouvement transcendant l’univers lui même et ce qui le compose, mieux vaut donc n’accorder que ce sens à l’existence, ce que j’essaye de faire avec la mienne en particulier.

    Bon vent Bender, bon vent à l’équilibre vital aussi.
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