Salut les déconfinés ! Pas trop de grabuges pour les
pseudos hébergés en ehpad ? Vous êtes tous là ?
J’ai dû interrompre
mes contributions après le jamboree des stroumphs souverainistes du 31 janvier
pour cause de covid19. C’est dingue le changement qui s’est opéré à l’upépère en
à peine 3 mois. Alors c’est lui le jeune puceau qui veut prendre la direction
de la cage aux folles ?
Après l’appel du 18 juin et la politique de la chaise vide
de Charles De Gaulle, Asselineau veut lui aussi marquer son époque en
organisant le jamboree des stroumphs souverainistes du 31 janvier, une soirée
qui restera gravée dans les livres d’histoire comme un pas décisif vers la
libération de la Fronce. L’émotivité des militants de l’Upépère était palpable
comme le gras sur le jambon, ils en avaient les larmes aux yeux et certains
pleuraient pour le bouquet final lorsque qu’Asselineau entonna la marche des
résistants, une chanson paillarde devenue le tube de l’hiver des militants de
l’Upépère : « Macron si tu savais ton europe où on s’la met… au cul…
au cul… aucune hésitation… ». Quelle bonne surprise de voir notre Arbre à canne céleste s’encanailler à ce point, un vrai régal républicain. Sans doute le souvenir ou l’influence
des GJ dont il se proclamait le chef sur cnews juste avant les dernières
européennes.
Je suis taquine, mais
l’équation pour le frexit est loin d’être résolue avec les stroumphs
souverainistes sachant qu’ils ont déjà oublié l’enseignement principal de 2017 :
les Français ne veulent pas sortir de l’euro. Deuxiemement, le brexiter Nigel Farage qui a fait basculer le
référendum vers le « oui » réagissait sèchement en 2017 :
« Nigel Farage prévient les élites britanniques qui semblent
oublier aujourd’hui que le Brexit s’est joué sur l’immigration ». Un peu
comme nos stroumphs souverainistes qui ne veulent pas être taxés d’extrême-droite
par la bien-pensance, ni voir leurs effectifs militants foutre le camp !