@herve_hum Non. Ce que j’ai écrit dans les phrases que vous citez est parfaitement exact. Vous pouvez le vérifier point par point en repassant la vidéo.
Si toutes les boîtes sont bien refermées après le passage de chaque mathématicien, il est un fait qu’au final toutes les boîtes auront été ouvertes. Elles auront été ouvertes par les 100 mathématiciens, à l’exception d’un nombre fini d’entre elles qui auront été ouvertes par 99 d’entre eux.
Le fait qu’aucun mathématicien ne sache combien d’autres mathématiciens sont passés avant lui est sans importance, sinon pour orienter le choix de la méthode de résolution. En effet, dans la procédure de résolution choisie, chacun se voit préalablement attribuer un numéro d’ordre qui détermine quelle série de boîtes il devra traiter d’une façon particulière. Ainsi, même si les mathématiciens paraissent bien tous être confrontés au même problème et aux mêmes conditions, en réalité la méthode choisie leur attribut une tâche qui leur est spécifique et dont le détail des opérations sera déterminé par le contenu du nombre infini de boîte dont ils prendront tous connaissance et d’un nombre fini de boîtes que 99 d’entre eux ouvriront.
Savoir quelle procédure appliquer pour résoudre un problème de nature déterminée avant même de connaître les données particulières de ce problème est monnaie courante en mathématiques, et la proportion entre ce qui est connu et inconnu au départ permet généralement d’estimer la proportion d’informations initialement inconnues qu’on est capable de découvrir.
Ainsi, dans le cas présent il apparaît intuitivement que, grâce à la méthode choisie, on est très près de découvrir tout de ce qu’on ignorait au départ. Le résultat énoncé (« en changeant le nombre de mathématiciens virtuels, un mathématicien seul s’assure une probabilité de précision correcte aussi élevé qu’il le désire ») n’est donc pas une réelle surprise. D’où ma remarque, qui avait pour objet de contester le qualificatif « paradoxal » employé dans le titre et dans la vidéo.
J’ai beau chercher, je ne vois pas bien ce qu’il y aurait de paradoxal dans ce résultat.
Chaque mathématicien entre dans la pièce en ayant préalablement mémorisé la même infinité d’informations, et il ouvre une infinité de boîtes. Il ne laisse fermé qu’un nombre fini de boîtes, lesquelles sont quand même ouvertes par tous les autres mathématiciens.
Donc, intuitivement, on comprend qu’au bout du compte la proportion d’inconnus est globalement très faible, et qu’elle tend à diminuer quand le nombre de mathématiciens augmente.
J’y vois donc bien une curiosité mathématique, mais pas d’invraisemblance ni de contradiction.
@BlueMan C’est justement parce que je connais la signification du terme « pogrom » que j’y relève le caractère erroné de votre point de vue (ou, devrais-je dire, du préjugé que tous vos commentaires ici ne font que confirmer). Vous ne voyez dans les événements survenus que ce que vous voulez bien en comprendre (ou que vous désiriez qu’on en comprenne).
Vous n’y voyez qu’un motif strictement religieux, alors que leurs raisons historiques, politiques, géopolitiques et, en l’occurrence, humaines (réactions dont parle Étienne Chouard, face aux atrocités et aux injustices subies) sont bien plus prépondérantes.
Vous affirmez que la colonisation armée et les massacres endurés par les civils palestiniens depuis des décennies n’auraient AUCUN rapport avec ce qui s’est passé le 7 octobre ??! Mais c’est vous qui êtes complètement « à côté de vos pompes » !
Un conseil : continuez à tenir ce discours, on n’en saura que mieux à qui on a affaire.
@pierrot19 (c’est tout le début de la phrase qui a sauté) ^ ... depuis le 7 octobre à Gaza, Israel continue la guerre contre les Palestiniens, au cours de laquelle on a dénombré plus de 124000 morts et blessés ...