Toutefois, cette limite peut être repoussée en utilisant un codage des informations adapté à l’application ou au domaine concernés.
En faisant appel aux méthodes de compression classiques, dans cet espace de 4296 octets on peut déjà stocker un texte de plus de 10000 caractères. Quand le langage utilisé est déterminé, la référence à un dictionnaire permet de faire encore mieux (plus de 75000 caractères en français, par exemple). Et si le QR code est dédié à une application spécifique, alors les octets qui y sont stockés sont susceptibles de représenter des données correspondant à du texte en clair beaucoup plus long.
Cela soulève d’ailleurs des interrogations quant à la présence de données apparemment non significatives (caractères de bourrage, signature numérique, etc.) lorsque le QR code est attribué individuellement, dans la mesure où il serait possible d’y inclure des informations supplémentaires dont la teneur échapperait à l’intéressé.
Enfin, le contenu du QR code peut toujours faire référence, explicitement ou subrepticement, à d’autres informations consultables en ligne, librement ou via un accès authentifié.
En citant les chiffre de la DREES (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques), PdV déclare : « 63% des décès sont des vaccinés, aujourd’hui, et 37% des non-vaccinés. »
La journaliste rétorque qu’il faut compléter l’information par : « Les personnes non-vaccinées sont "largement" plus représentées à l’hôpital rapportées à leur proportion dans la population. »
C’est
vrai. Mais cela ne suffit assurément pas à invalider ce qu’avance PdV à
propos de la tromperie sur les chiffres, concernant notamment
l’efficacité alléguée des vaccins.
Certes, être vacciné apporte
une relative protection, mais qui ne semble pas concorder avec les
performances alléguées, sur lesquelles repose la politique vaccinale.
Avec une population vaccinée à 76%, ces 63% ne représenteraient finalement qu’une réduction de moitié des risques de mourir par rapport aux personnes non-vaccinées, soit une multiplication par deux des chances de survie. On est très loin des 95%
(multiplication par 20 des chances de survie) dont on parlait à une
époque.
À noter qu’avec des non-vaccinés proportionnellement plus
nombreux à être admis à l’hôpital et en réanimation, on aurait pu
s’attendre à ce que la proportion des non-vaccinés qui y décèdent soit
encore supérieure, ou tout au moins égale. Mais d’après les données de
la DREES, c’est l’inverse qu’on constate. En fait, statistiquement, être
vacciné diminuerait bien les chances de tomber malade quand on
contracte le virus, mais cela diminuerait également les chances de
survivre lorsqu’on tombe malade. Cela semble contredire les allégations
selon lesquelles l’efficacité des vaccins contre les décès serait
supérieure à leur efficacité contre la maladie.
@patoufleur 800 millions d’euros... pour une entreprise qui fait 69 milliards de chiffre d’affaire !
Ça ne représente en moyenne qu’environ 416€ par mois de salaire indirect, qui profite à une catégorie qui travaille réellement , et souvent dans des conditions difficiles, afin qu’on puisse avoir en permanence de l’électricité dans nos prises.
Rien à voir avoir la sale vermine bourgeoise qui saigne l’entreprise publique, s’évertue à détruire notre État social, cause le déclin de notre pays et menace aujourd’hui les intérêts vitaux de sa population. Dire qu’il suffirait de priver ces exploiteurs de leurs profits pendant une seule journée pour mettre les plus démunis à l’abri !
Alors, qui sont les égoïstes et les véritables parasites de notre société ?
Et comment peut-on qualifier ceux qui les défendent et tentent de détourner notre attention de leurs méfaits en désignant des boucs émissaires ?
Ce qu’il faudrait soigner chez toi, c’est ta parano et ton conspirationnisme. Que valent tes arguments, basés seulement sur tes impressions et tes suppositions ?
Apparemment, tu n’as pas rencontré beaucoup de malades de la Covid-19.
Bien au contraire, le problème avec le Pr Raoult, c’est justement qu’il minimise les effets délétère de son traitement, et qu’il n’a produit aucune étude permettant d’orienter sa prescription afin d’y faire face (ce qu’on fait pourtant habituellement lorsqu’on développe un médicament). La plupart des études indépendantes qui ont tenté de démontrer son intérêt en évaluant a postériori son rapport bénéfice/risque se sont heurtés à des résultats décevants, qui ont poussé certaines autorités médicales à en interdire la prescription chez certaines populations à risque.