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rezareza

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  • Premier article le 04/09/2013
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  • 1 vote
    rezareza 28 novembre 2012 00:15

    @cassia

    Il est évident que vous ne lisez pas quand un texte est trop long, il est évident que l’effort n’est pas chez vous une habitude, en resulte votre petit cerveau étriqué et bien bête, moi, je vous ai lu, et j’ai travaillé ma réponse, je suis repus la ou vous avez grignoté votre petite vache maigre.

    Je vous offre, mais pour moi, encore une réponse :

    "Il y avait aussi sur ce forum une dénommé cassia, tout chez elle me dégoutait, et je l’imaginais laide, sorte de vielle folle ménauposé ou de jeunette décérébré, fort en moi, je la savais mal aimé, je l’imaginais là, assise dans son appartement laid puant une sorte de produit chimique désodorisant les toilettes, certainement super névrosé et, chef d’œuvre d’ironie, conne à souhait, elle avait certainement une sorte de mari l’aimant mal agglutiné sur du foot en commentant la chose comme un pit bull devorant plein de bave l’os d’un bel agneau, ou célibataire, mal habillé, comme un épouvantail affreux et tue l’amour, aussi, je l’imaginais chantant du karen cheril comme une dingo, beuglant à tue tête, sans, miracle, s’auto casser les oreilles, elle avait toujours été sourde, j’imaginais ses dimanches ou trop feignante elle s’affalait comme le font les orques morts sur des plages déprimantes, là, elle dormait debout et son cœur triste hurlait la solitude, ou pire, son compagnon la labourait comme on charge des sacs, avec furie et baignant dans de la sueur acide et puante, puis, elle se re reposait, aussi, la semaine, son petit métier la satisfaisait, elle se soumettait à son patron avec des rires hypocrites, des grimaces en réalité, et elle travaillait mal, ou elle était dans son chômage permanent, ne profitant pas de ce fabuleux temps libre pour s’élever plus haut, cette femme, riait de la shoa, et je la haïssais pour cela".

    Mais comme vous n’êtes rien je poste pour les autres ceci, car la guerre ne vaut pas la paix et il est bon d’élaborer les justes en délaissant les laiderones de votre espèce :

    Extrait de l’idiot de Fedor Dostoïevski : Il paraissait vouloir déchiffrer quelque trait mystérieux qui, dans ce visage, l’avait frappé tout à l’heure. Sa première impression ne lui était pas sortie de la mémoire et maintenant il avait hâte de la soumettre à une contre-épreuve. Alors il eut la sensation encore plus intense que ce visage exprimait, outre la beauté, quelque chose d’exceptionnel. Il crut y lire un orgueil démesuré et un mépris voisin de la haine, contrastant avec une certaine disposition à la confiance et à une étonnante naïveté ; cette opposition dans une même physionomie éveillait un sentiment de compassion. La beauté éblouissante de la jeune femme devenait même insupportable sur ce visage blême, aux joues presque creuses et aux yeux brûlants ; beauté anormale en vérité. Le prince contempla le portrait pendant une minute puis, se ressaisissant et jetant un regard autour de lui, il le porta à ses lèvres et l’embrassa. Lorsqu’une minute plus tard il entra dans le salon, son visage était parfaitement calme.



  • vote
    rezareza 27 novembre 2012 23:38

    @Aldo Berman

    Le monde a changé, nous somme aujourd’hui, 2012.
    Croire que le sionisme est le cœur du sujet, l’ancien sionisme de plus, est une bêtise.
    Aujourd’hui, nous parlons d’un état moderne Juif plongé au coeur d’un Empire Islamique ayant des valeurs effrayantes.



  • vote
    rezareza 27 novembre 2012 23:26

    Voilà une réponse pour vous deux.

    Donc, vous le savez, vous l’assumez et cela est votre fardeau, à vous.

    Aussi, je prendrai bien soin de voir que votre humour fade va de pair avec vos idéologies.

    Aussi, de constater que votre maître à penser soralien a déculpabilisé ce qu’il y avait de plus laid en vous.

    Aussi, donc, de vous offrir la viande froide de vos corps mous et sans amour, afin que dégouté et vomissant, vous vous ré-ingurgitiez. En ce sens, vous ne m’avez aucunement heurté, votre crasse est resté dans vos sphères intimes, vous vous êtes constitué, mal.

    Il est extrêmement déplaisant pour moi de voir à quelle vitesse vous avez sombré, de vous voir tout laid et tout chétif, de vous voir jouir de l’obscure, rire bêtement des atrocités, d’être devenu les méchants, ceux qui toujours brûles et saccages, mais qui toujours s’effondrent.

    Ici, vous sous entendez qu’être Nazilight n’est pas grave. Et aussi et surtout, vous montrez que votre carence émotionnelle ne vous a pas plonger dans la douleur saine qu’implique la pleine lucidité des souffrances d’autruis.

    Je dois vous dire une chose, je crois que c’est la première fois de ma vie que je parle a des gens comme vous.

    Du plus profond de mon âme, je vous trouve bête. Bête de reproduire les maux d’hier et votre moquerie est bien fade, car cruelle et sans humour, en réalité vous vous goinfrez du sucre empoisonné de l’abjecte, vous voilà dégoutant, et il est bien évident, que sur toute la longueur, sur tout les thèmes, sur tout les sujets géopolitiques, vous vous trompez, car en effet, vous vous trompez sur vous même, notez, notez bien tout les deux que je n’ai pas à vous haïr, à vous gifler, car, là, du plus profond de mon cœur, je sais vos vies bêtes et teigneuses, je sais, car la logique est implacable, que vous vivez mal, que vous aimez mal, que votre quotidien est gâché, oh, le drame, vous ne vivez pas et je n’ai pas a être triste pour vous, car avoir pitié des méchants, c’est causer du tord aux gentils, ainsi, j’espère que quelque part quelque chose de bon subsiste en vous, que d’un fruit qu’on laisse pourrir à terre puisse encore naitre un arbre et de cet arbre des milliers de fruits et si, vos vies sont mauvaises et bêtes, en tout cas, vous ne saccagerez pas mon monde et resterez ces petits monstres insignifiants et frustrés, se délectant d’immondices en y voyant des loupiotes.

    Il est bien désolant de vous voir banaliser la shoa, dans la mesure ou il s’agit d’un des rares crimes de l’enfer lui même, de vous voir comme des pleutres en rire, sans prendre conscience de l’ampleur du drame, son coté cauchemardesque et vraiment, vous deux, je vous hais et déjà, j’aime plutôt des morts qui vivent a travers moi, délaissant les pauvre individus que vous êtes, vous le savez, je me répète mais vous le savez, votre maison s’écroulera, vos enfant se détourneront de vous, INEXORABLEMENT, et mes pleurs, car nous en somme là, irrigueront des fleuves joyeux, ou des gens magnifiques regardaient l’eau en adorant les poissons.

    Il est bien désolant aussi, mais les bornes de votre raison sont dépassé, de voir votre type d’humour, ce n’est pas de l’humour mais de basses humiliations cruelles et sadiques, les dents sont jaunes, le rire faux, c’est cela qui vous fait rire, or, non, le rire est une belle chose, il en va de même pour l’intelligence, la sagesse, la beauté. En réalité, vous m’avez écœuré et j’ai terriblement honte de perdre mon temps à vous haïr, c’est m’encrasser en vous côtoyant, c’est regarder le monstre au lieu de fuir bien loin et de se cacher, rejoindre des petits lapins et une tanière propres. Je suis si heureux que le monde m’appartienne et que je m’y développe bien, mais je dois vous avouez que vos attitudes, vos pensés, vos cœurs eux mêmes me donnent la nausée, un réel vertige stupéfiant et plein d’effroi, sans honte, vous m’avez apeuré et je garde d’autant plus la main, riant presque de savoir que vos philosophes phares sont dieudo/soral, ahhhh, c’est accablant, j’en rie tant c’est une comédie dramatique, or, sachez le, la mort n’aura pas de royaume et il est certain que vous avez sous vécus. Vous ne comprendrez jamais les 7 samourais, vous ne comprendrez jamais Marcel Duchamp, ni John Coltrane, ni Rimbaud, vous survolerez, mais vous ne comprendrez jamais, ni l’amour profond, ni la pitié, ni la rage sourde et désespéré, vous ne comprendrez jamais Brel ou si peu, beuglant comme des ânes bâté dans un karaoké miteux de sous préfecture, vous ne comprendrez ni le haut, ni le bas, vous ne comprendrez pas le cri sans fin, vous ne l’entendrez pas, vous êtes des cancres, cancres de l’intelligence et cancres des sentiments et il est effrayant de savoir que déjà je suis plus utile a vos enfants que vous ne l’êtes, puissent ils briser la chaine, vous dépasser, aussi, vous ne comprendrez jamais l’histoire et les hommes et vous mourrez, en ayant moins bien vécus que des bêtes de somme, animaux divins et sans haine, c’est atroce je trouve, le sort que par delà moi, vous subissez, vous étiez pourtant humain, terre féconde des plus belles promesses et dont on devrait pleurer les disparitions. Ne devrais je pas pleurer la mort d’un seul ? Or déjà, je pleure vos vies. Vous ne comprendrez jamais des choses pourtant capitales, des rires immenses et des frissons divins, je le sais, vous aimez mal et êtes mal aimés. Des deux, le message de cassia est le pire, car en plus d’être d’une méchanceté et d’une bêtise sans nom, c’est là le discourt copié collé de Dieudo, en vrais, je ne sais pas ce qui est le plus infernale, que vous ayez la bêtise de le répéter comme un perroquet décérébré, ou que vous l’ayez inventé vous même, je ne sais pas dire, mais je crois que la bécasse très bête me va mieux, aux moins votre moelle est une éponge d’ordure plutôt qu’une petite machine nucléaire de connerie, vraiment, tout les deux, je vous hais. Et dieu merci, j’en aime d’autre, par million, que je n’ai pas connus et qui peuplèrent mon monde et l’on rendu sublime et émouvant, leurs souffles demeurent et peuplent ma mémoire et je ne suis plus seul et je suis aimé.



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    rezareza 27 novembre 2012 20:56

    @toug

    toug je vais de moins en moins vous parler, en effet, et c’est aussi une vrais question que je vous pose, pas une gifle, pas une embuscade, par une rixe, mais une vrais question, savez vous que pendant le règne atroce des Nazis, ces monstres faisaient tout pour assimiler les juifs à l’argent ? Et connaissez vous le concept sain suivant : prospérer.
    En somme, consultez votre conscience et demandez vous d’où vous vient cette basse phrase que vous venez de faire et qui me rend terriblement triste, me déçoit de vous et déjà bientôt me dégoutera au plus haut point !



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    rezareza 27 novembre 2012 20:48

    @toug

    La critique du Juif riche que vous venez de faire n’est pas nouvelle, pour répondre rapidement, je vous guiderai vers le concept sain suivant : prospérer.

    Mais je ne vous guiderai pas longtemps car déjà, un abîme nous sépare, en effet, le type d’attaque que vous venez de faire fonctionnait a fond pendant le Nazisme, et renait hélas, a travers vous, souvenez vous en, prenez en conscience, sans quoi votre mal être grandira, sans m’amuser cruellement, mais sans me préoccuper, je vais de moins en moins vous parler.

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