"André Bercoff a réagi à "l’enquête" d’Alexandra Saviana : "Quand je pense à ce qu’était L’Express il y a quelques décennies, pour en arriver à des domestiques analphabètes comme vous..."
Vrai qu’il fut un temps pas si lointain où — écoutant la radio ou lisant certains articles -, je me questionnais encore avec un certain effarement sur la sincérité de l’éditorialiste ou du chroniqueur : croyait-il vraiment aux extraordinaires fables et calembredaines qu’ils nous débitait sans ciller ou ne s’agissait-il pour lui que de se soumettre aux impératives consignes lui garantissant de continuer à beurrer ses tartines ?
En regard des multiples réformes de l’éducation nationale et de l’abêtissement programmé et généralisé qu’elles induisent de manière toujours plus avancée depuis déjà belle lurette, j’en arrive à la conclusion que le gratin trié sur le volet pour accéder au statut de journaliste est maintenant totalement dépourvu d’esprit critique et se soumet aux impératifs propagandistes de la Pensée Unique sans même en avoir la claire conscience, ce qui lui épargne fort avantageusement tout scrupule de mauvais goût.
Évidemment, cela implique pour tout journaliste de la vieille école ou encore soucieux de tendre à une certaine "objectivité" l’application des qualificatifs de "complotiste", "anti-vax", "pro-poutine", "antisémite" avec des penchants marqués d’"extrême" ou "ultra-droite", ainsi qu’une multitude d’autres noms d’oiseaux produits par une bien-pensance contemporaine qui ne tolère désormais aucun écart à sa médiocrité et se doit donc d’impitoyablement "flinguer" toutes les têtes qui ont encore la prétention de dépasser.
@CoolDude De fait ! Et si je m’abstiens personnellement de comparer Emmanuel Lechypre à un gros porc, c’est que l’image m’apparaît imméritée et par trop insultante pour la gent porcine !
Hé oui, même après avoir soutenu le droit à "mourir dans la dignité" - soit très pratiquement à grever moins longtemps les budgets de la sécurité sociale —, après avoir encouragé l’extension des délais légaux à l’interruption volontaire de grossesse — soit au nom des droits des femmes, le risque de les exposer aux parfois très lourdes séquelles chirurgicales d’avortements tardifs -, la sphère laïque belge découvre à son tour toute la "richesse" des vertus de dialogue et d’échange promues par la Pensée Unique et la doxa victimaire de son "progressisme sociétal".
Qualifié outre-atlantique de "wokisme", grassement financé par — notamment — l’Open Society Fundation de Georges Soros et très largement promu par les GAFAM et leurs algorithmes, ce dernier se travestit certes des oripeaux de l’humanisme pour mieux noyauter les associations de défense des droits humains et tromper les opinions, mais n’en constitue pas moins un des principaux fers de lance de la propagande et du business du capitalisme bio-tech dans sa volonté d’imposer le totalitarisme transhumaniste — dont l’hystérie "covido-vaccinale" et ses diktats sanitaires nous ont déjà offert un bel aperçu introductif.
Après deux ans à n’avoir avec une unanimité médiatico-politique digne de la feu "Pravda" relayé que ce prétendu "consensus scientifique" obtenu par l’exclusion et la dépréciation de toute voix scientifique qui osait le questionner ou l’infirmer, la presse francophone belge n’étonnera personne en restant une fois encore strictement dans les clous de la doxa prônée par la Pensée Unique, en occultant les velléités totalitaires transgenristes et en s’abstenant de relayer les outrances auxquelles elles ouvrent.
L’€urope est une "démocratie", que diable, et — business oblige ! — il serait totalement inconcevable qu’à l’instar du plus sombre des dictateurs de son voisinage, sa presse et ses politiciens prennent les mesures qui s’imposent et légifèrent pour protéger leur population et particulièrement leur jeunesse d’une propagande transhumaniste des plus insidieuse et délétère.
Ah ben En Marche vers Nulle Part et si on s’en tient aux ambitions €uropéennes et managériales de Jean-Migitte et de notre très immature et narcissique petit Monarc, on peut bien dire ce qu’on veut mais on conviendra volontiers que - même dans une grande école encore un tout petit peu française - "leader-follower" à tout de même plus de gueule qu’un très ringard "homme-femme" !