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Serge ULESKI

Serge ULESKI

Aujourd’hui, si nous ne sommes sûrs de rien ni de personne, c’est que nous sommes infiniment plus nombreux qu’hier à chercher à savoir ; et plus nous serons nombreux à trouver et moins les évidences auxquelles il nous a si longtemps été demandé d’adhérer s’imposeront à notre esprit.
Ainsi va la recherche ! Vers un savoir de plus en plus complexe mais sans surprise car, ce savoir doublé d’une compréhension dévastatrice nous renverra fatalement à ce que nous sommes aussi - d’aucuns ajouteront -, et surtout : à cette nature en trompe l’oeil, dissimulatrice, accapareuse et rétentrice qu’est la nôtre.
Porteuse de tous les dangers, cette recherche expansionniste toujours plus performante et exigeante : le danger de nous laisser sans évidences et sans certitudes.
Du grain à moudre pour la réflexion et l'écriture... ce danger !
Nul doute !

Tableau de bord

  • Premier article le 29/01/2013
  • Modérateur depuis le 13/04/2013
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Derniers commentaires




  • vote
    Serge ULESKI Serge ULESKI 6 septembre 2017 20:50
    J’ai oublié de mentionner "Homeland" 
     ou quand la CIA fait son cinéma : série écrite, fiancée et distribuée par et pour la CIA.


  • 1 vote
    Serge ULESKI Serge ULESKI 30 août 2017 17:55

    @Gollum

    Merci pour ce partage.



  • 1 vote
    Serge ULESKI Serge ULESKI 26 juin 2017 17:24

    @Claire29

    "on doit pouvoir demander à une députée si elle peut dire "Vive la France" "

    Quel rapport - cette question injonction - avec la liberté d’expression ?

    Si on peut avoir la liberté de poser une question, on doit pouvoir être libre de dénoncer cette question pour ce qu’elle est : une injonction à caractère raciste...



  • 1 vote
    Serge ULESKI Serge ULESKI 24 juin 2017 13:38

     Lynchage médiatique de Danièle Obono, nouvelle députée FI " France insoumise" de la 17e circonscription de Paris sommée de dire "Vive la France" sur RMC au cours de l’émission "Les Grandes Gueules" dont le plateau sera composé - devinez ?! - d’hommes exclusivement, blancs de surcroît...

    Comme quoi : chassez le naturel, il revient au galop, sans tarder, une semaine après la fin du scrutin législatif !

    Toutefois, on pourra se demander ce que cette députée et son parti pouvaient bien attendre de son passage dans l’émission "Les grandes gueules " ainsi que la nécessité et l’utilité d’y participer.

    Les députés FI feraient bien, dès maintenant, d’investir prioritairement l’Assemblée tout en gardant un contact très très étroit avec le terrain et ceux qui les ont fait élire d’autant plus qu’il est peu probable que cet électorat soit à l’écoute de ce type d’émission, au lieu de participer et d’entretenir un cirque médiatique aux dés pipés dont tous sortiront affaiblis car enfin, qu’attendre d’un passage dans des médias incapables d’offrir la garantie que l’on y recevra un traitement journalistique de qualité et non un traitement qui a tous les attributs d’un lynchage idéologique dont le soupçon de racisme - quand ce sont des minorités qui sont "convoquées" -, ne saurait être écarté jamais vraiment ?

    Aussi, on sera fortement encouragés à penser que toutes ces prestations télévisuelles et radiophoniques sans discernement sont plus que contreproductives et plus encore si leurs victimes ne sont pas armées pour faire face à un véritable interrogatoire qui n’a rien à envier à un traitement policier de la question politique.

    Le "Nique la France" du clip que Danièle Obono a défendu au nom de la liberté d’expression voilà cinq ans n’a pas besoin d’excuse ; la France incriminée dans le texte de ce "rap parodique" - parodique à dessein ou non - , concerne une France coloniale d’hier et cette autre France discriminatoire d’aujourd’hui ; or, on connaît trop bien le "pédigree" idéologique de ceux qui sont disposés à défendre cette France-là pour devoir se justifier d’un quelconque soutien à la dénonciation de ce derniers

    Il est regrettable toutefois que Danièle Obono n’ait pas su, certes dans le contexte d’un stress fort compréhensible face au harcèlement de ces contradicteurs qui a pu en partie la privée de ses "moyens argumentatifs "- elle a même semblé sur le point de céder et de condamner le contenu de ce clip du groupe ZEP -, expliquer et défendre ce titre vieux de cinq ans mais toujours aussi prégnant. Ce semi-échec devrait alerter ces nouveaux arrivants de la scène politico-médiatique : face à ce type de procès-d’intention, une prestation médiatique devient un véritable exercice qui relève autant de la psychologie que de la rhétorique - force d’esprit et entrainement ; d’où la nécessité de choisir avec la plus grand soin les lieux dans lesquels les députés de FI sans expérience, devront accepter de se présenter : qu’ils se méfient des invitations empoisonnées tout comme les cadeaux du même nom ! car la véritable haine - haine de leurs employeurs partagée -, de ceux qui ne supportent plus les "Insoumis" encartés ou pas - haine de leurs employeurs-payeurs - , à l’Assemblée comme partout ailleurs - et sur Internet en particulier -, sera certes contenue mais aussi certaine que totale.



  • 2 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 24 juin 2017 13:36

     Lynchage médiatique de Danièle Obono, nouvelle députée FI " France insoumise" de la 17e circonscription de Paris sommée de dire "Vive la France" sur RMC au cours de l’émission "Les Grandes Gueules" dont le plateau sera composé - devinez ?! - d’hommes exclusivement, blancs de surcroît...

    Comme quoi : chassez le naturel, il revient au galop, sans tarder, une semaine après la fin du scrutin législatif !

    Toutefois, on pourra se demander ce que cette députée et son parti pouvaient bien attendre de son passage dans l’émission "Les grandes gueules " ainsi que la nécessité et l’utilité d’y participer.

    Les députés FI feraient bien, dès maintenant, d’investir prioritairement l’Assemblée tout en gardant un contact très très étroit avec le terrain et ceux qui les ont fait élire d’autant plus qu’il est peu probable que cet électorat soit à l’écoute de ce type d’émission, au lieu de participer et d’entretenir un cirque médiatique aux dés pipés dont tous sortiront affaiblis car enfin, qu’attendre d’un passage dans des médias incapables d’offrir la garantie que l’on y recevra un traitement journalistique de qualité et non un traitement qui a tous les attributs d’un lynchage idéologique dont le soupçon de racisme - quand ce sont des minorités qui sont "convoquées" -, ne saurait être écarté jamais vraiment ?

    Aussi, on sera fortement encouragés à penser que toutes ces prestations télévisuelles et radiophoniques sans discernement sont plus que contreproductives et plus encore si leurs victimes ne sont pas armées pour faire face à un véritable interrogatoire qui n’a rien à envier à un traitement policier de la question politique.

    Le "Nique la France" du clip que Danièle Obono a défendu au nom de la liberté d’expression voilà cinq ans n’a pas besoin d’excuse ; la France incriminée dans le texte de ce "rap parodique" - parodique à dessein ou non - , concerne une France coloniale d’hier et cette autre France discriminatoire d’aujourd’hui ; or, on connaît trop bien le "pédigree" idéologique de ceux qui sont disposés à défendre cette France-là pour devoir se justifier d’un quelconque soutien à la dénonciation de ce derniers

    Il est regrettable toutefois que Danièle Obono n’ait pas su, certes dans le contexte d’un stress fort compréhensible face au harcèlement de ces contradicteurs qui a pu en partie la privée de ses "moyens argumentatifs "- elle a même semblé sur le point de céder et de condamner le contenu de ce clip du groupe ZEP -, expliquer et défendre ce titre vieux de cinq ans mais toujours aussi prégnant. Ce semi-échec devrait alerter ces nouveaux arrivants de la scène politico-médiatique : face à ce type de procès-d’intention, une prestation médiatique devient un véritable exercice qui relève autant de la psychologie que de la rhétorique - force d’esprit et entrainement ; d’où la nécessité de choisir avec la plus grand soin les lieux dans lesquels les députés de FI sans expérience, devront accepter de se présenter : qu’ils se méfient des invitations empoisonnées tout comme les cadeaux du même nom ! car la véritable haine - haine de leurs employeurs partagée -, de ceux qui ne supportent plus les "Insoumis" encartés ou pas - haine de leurs employeurs-payeurs - , à l’Assemblée comme partout ailleurs - et sur Internet en particulier -, sera certes contenue mais aussi certaine que totale.

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