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Serge ULESKI

Serge ULESKI

Aujourd’hui, si nous ne sommes sûrs de rien ni de personne, c’est que nous sommes infiniment plus nombreux qu’hier à chercher à savoir ; et plus nous serons nombreux à trouver et moins les évidences auxquelles il nous a si longtemps été demandé d’adhérer s’imposeront à notre esprit.
Ainsi va la recherche ! Vers un savoir de plus en plus complexe mais sans surprise car, ce savoir doublé d’une compréhension dévastatrice nous renverra fatalement à ce que nous sommes aussi - d’aucuns ajouteront -, et surtout : à cette nature en trompe l’oeil, dissimulatrice, accapareuse et rétentrice qu’est la nôtre.
Porteuse de tous les dangers, cette recherche expansionniste toujours plus performante et exigeante : le danger de nous laisser sans évidences et sans certitudes.
Du grain à moudre pour la réflexion et l'écriture... ce danger !
Nul doute !

Tableau de bord

  • Premier article le 29/01/2013
  • Modérateur depuis le 13/04/2013
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Derniers commentaires




  • vote
    Serge ULESKI Serge ULESKI 1er février 2018 18:54
    Deux rectifs :

    - 1 Policière et non "policiaire"

    - 2 Si cela peut en rassurer plus d’un, votre serviteur penche en faveur de la culpabilité de  Jonathann Daval.
     
    Mais tout le monde l’aura compris : là n’est pas le sujet de mon billet.


  • 2 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 27 janvier 2018 20:23

    @albert123

    Très juste....

    Moix et Angot sont invités à participer aussi...

    Pour prolonger

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gerard-miller-a-la-direction-de-le-198881



  • 3 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 8 décembre 2017 21:00

     

     

    Les plus futés auront très vite compris que ce voyage en Afrique n’est pas destiné à une audience africaine mais bien française ; on notera au passage que les interventions de Macron, amplement relayées par les médias, sont destinées à flatter le parti-pris d’un électorat qui s’étend du centre-gauche à l’extrême droite ; aussi, ce voyage, c’est encore Macron qui ratisse large et qui ne cesse de ratisser très large ; un Macron en campagne, condamné à l’anecdote et à la démagogie dans un franc-parler qui, là encore, flatte toutes les ignorances, tous les préjugés et autres partis-pris. Après les "fainéants", les faiseurs de bordel, les "gens qui ne sont rien"... c’est le tour de l’Afrique et des Africains mais.......vus de l’Europe ; aucune terre ne doit échapper au laboureur qu’est Macron ; rien ne sera laissé en jachère ; c’est d’un cynisme d’une efficacité redoutable digne d’un opportunisme rarement égalé  ; mais c’est aussi et surtout dégueulasse car c’est le refus la perfectibilité de l’être humain ; on mise sur un homme stupide et borné, content de l’être, pour mieux servir les intérêts d’une domination : La Fontaine n’a jamais eu autant raison :" Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute". Les imbéciles paieront cher, très cher, cette complaisance de Macron à leur égard.

     



  • 2 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 1er décembre 2017 10:40


    C’est sûr ! Rien n’est plus politique que Dieudonné le métis qui porte en lui l’assurance du maître et la révolte de l’opprimé - un métissage qui est une force ! Dieudonné, son public, ses détracteurs et tout ce qu’un gouvernement est capable de mettre en oeuvre pour tenter de le faire taire hurlent à la politique. Même le silence de ceux qui ne pipent mot, terrés et terrorisés à l’idée de rendre justice à son immense talent, hurle politique, hurle à la politique.


    Tout est éminemment politique sur le phénomène Dieudonné. Et c’est là que toutes les forces coalisées se rejoignent et œuvrent et tirent dans le même sens, tous tenus d’obtempérer - Dieudonné ne s’exprimera pas, il ne doit pas être entendu ! - jusqu’au ridicule et la honte, l’épuisement pour d’autres.

     

    Un Dieudonné Spartacus du rire, là où l’humoriste, ainsi nommé, cesse d’être un esclave et ce faisant, libère tous les autres humoristes de la malédiction d’un humour tiroir-caisse, un humour de flagorneur, et pour voie de conséquence, un humour affligeant comme tout ce qui rabaisse l’homme à ce qu’il croit savoir de lui-même, qui n’est le plus souvent que ce qu’on a daigné lui enseigner ou bien ce qu’on a souhaité lui faire espérer de lui-même et des autres.

     

    Dieudonné bel et bien le plus grand satiriste-activiste français depuis DADA, les surréalistes, Alphonse Allais, Jarry... et plus tôt, bien plus tôt : Molière : pour prolonger - http://litteratureetecriture.20minutes-blogs.fr/archive/2017/09/25/dieudonne-le-phenomene-938850.html



  • 2 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 29 novembre 2017 18:22

    Nabe s’est mal remis de l’échec de sa tentative en 2001 de rallier à lui tous ceux qui, en France, s’étaient réjouis des événements du 11 Septembre - il souhaitait cibler en priorité… les Français de culture arabo-musulmane -, avec la publication de l’ouvrage "Une lueur d’espoir" – comprenez : espoir pour les Nations arabes suite à ces événements  -, qui fait l’éloge de Ben Laden, ange exterminateur et vengeur d’une Amérique dont il n’y a plus rien à sauver.

     Nabe commettra une erreur  : il refusera de questionner la version des événements de ce mois de Septembre 2001. Comment le pouvait-il quand on connaît ses motivations réelles ? A ses yeux, ces événements devaient être l’œuvre de Ben-Laden seul. Or, les « Arabes de France » ont voulu le beurre et l’argent du beurre : un « Ben Laden tout puissant » et la dénonciation des opérations sous fausses bannières, ou faux drapeaux, de l’Etat profond américain (CIA et NSA) ; Thierry Meyssan, lui, l’a fait ; il parlera d’imposture à propos de la version US des événements du 11 Septembre (vidéo ICI), et c’est lui qui « raflera la mise » ; Soral et Dieudonné aussi après Houellebecq en ce qui concerne la reconnaissance littéraire et toutes les facéties des médias qui vont avec.

    Dépité, Nabe tentera de se faire oublier ; et il aura au moins réussi ça ! Après un ouvrage sur DSK jugé "ingérable" par les médias... très vite, Nabe est allé cuver son échec comme on cuve un mauvais vin ; il est retourné à la peinture… ou bien plutôt… au dessin, coloriste pas dépourvu de talent 


    Pour poursuivre : .http://litteratureetecriture.20minutes-blogs.fr/archive/2016/01/02/marc-edouard-nabe-un-regard-sur-ses-annees-2000-924995.html

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