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testarossa

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    testarossa 27 novembre 2012 18:54

    Finalement cette démocratie corrompue par le clientélisme ne mérite qu’une dictature militaire puisqu’elle a failli dans son simple respect des libertés individuelles...

    Vivement un Augusto Pinochet pour remettre de l’ordre dans tout cela...





  • 4 votes
    testarossa 15 septembre 2012 09:28

    Ce qu’il-y-a de génial sur ce site c’est qu’il est un parfait révélateur de la société et qui remet parfaitement d’actualité ce qu’avait compris le fûhrer :

    Le peuple est telement bête qu’il suffit pour le manipuler de lui promettre et de lui dire ce qu’il a envie d’entendre.

    En effet sur agoravox on peut voir l’immense majorité de crétins qui croient tout savoir sur tout sans même avoir au moins l’humilité de chercher à se documenter.

    QUAND ALLEZ VOUS ENFIN LIRE L’ECONOMIE POUR LES NULS ?

    CHAPITRE 14 : 10 VERITES INCONTOURNABLES :
    LES IMPOTS LES PLUS RENTABLES SONT CEUX QUI TOUCHENT LES PLUS PAUVRES...

    Ca se passe donc de tout commentaire...



  • 6 votes
    testarossa 11 septembre 2012 21:50

    Bandes de crétins finis : c’est sûr qu’avec plus d’impôts on va faire plus de croissance...



  • 2 votes
    testarossa 9 septembre 2012 09:13

    Pour commencer l’auteur de cette vidéo oublie de faire une distinction essentielle entre régulation et réglementation. Si la réglementation est une évidence pour tous, la régulation vise à l’atteinte d’objectifs. La réglementation se borne à définir un cadre global en minimisant les préjudices individuels.

    Ce dont l’auteur oublie également de parler c’est que la réglementation financière est une vaste fumisterie : les états...sont juges et parties !!! En effet les marchés financiers n’ont qu’un seul objectif : permettre un déficit illimité des finances publiques par la libre circulation des capitaux.

    Voilà dit en passant le célèbre principe des avantages comparatifs de David Ricardo. Ce très brillant économiste était favorable au libre échange à la condition expresse que les facteurs de production eux ne soient pas mobiles.Et pourtant Ricardo était tout de même classé parmi les libéraux même s’il est vrai que ce principe introduisait une restriction de taille au libéralisme pur...

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