Je pense à des gens comme Michéa ou Bricmont par exemple.
Je pense qu’il
y’a plusieurs types de progressisme.
Je n’ai rien par exemple contre
l’universalisme droitdelhommiste qui considère que l’humanité est présente en
chaque homme indépendamment
de l’ethnie, du sexe et de l’origine sociale.
Je n’ai rien non plus contre un
progressisme qui lutte contre les liens sociaux oppressifs inégalitaires et
hiérarchiques.
Mais je suis contre cet
universalisme droitdelhommiste qui va jusqu’ à nier les filiations ethno-culturelles
et à nier les spécificités des peuples.Je suis contre le progressisme
qui sous prétexte d’émancipation individuelle mène à l’individualisation
et l’atomisation des rapports sociaux, ce qui a pour résultat concret
d’instaurer la toute puissance du marché et de l’Etat.
Pareil pour l’antiracisme,
celui qui combat la grille de lecture du monde raciste et selon lequel la
couleur des gens ne détermine pas le contenu de leur personne est salutaire
mais devient néfaste quand il se définit comme un racisme inversé !
En réalité, j’aime beaucoup les
vrais progressistes même si je ne crois pas au progrès, et je constate qu’il
y’en a pas dans les médias, et la raison assez simple : le système sous
ses apparences progressistes est fondamentalement réactionnaire, il admet la
critique réactionnaire (zemmour , Finkielkraut etc. ) mais ne tolère pas la
critique progressiste qui est trop dangereuse car susceptible de révéler sa
vraie nature.
Mais de toute façon , sa nature totalitaire et réactionnaire , il est entrain de la révélé tout seul comme un grand.