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njama 26 octobre 2017 18:42

à 4’09 dans la Vidéo de LCP le rapporteur général du PLFSS Olivier Véran cite le cas de l’hépatite B et dit "nous sommes le seul pays d’€urope occidentale dans lequel nous avons 2500 morts par an des conséquences directes de l’hépatite B, 2500 morts !"

On se demande bien d’où il sort ce chiffre alarmiste (dont Google ne trouve trace), visiblement employé pour faire peur. Et si le chiffre est vrai, on ne peut que se questionner sur l’utilité du vaccin contre Hb puisque il est largement employé depuis la campagne Douste-Blazy dans les années 90 et intégré actuellement dans l’INFANRIX

Hépatite B (HBV) Référence : Qui aime bien, vaccine peu ! - Édition 2009
Ce que l’on ne vous dit généralement pas

Les statistiques publiées pour lancer la campagne en France ont été inventées de toutes pièces. Il n’existait pas, en fait, de statistiques, car il n’y avait pas d’obligation de déclarer cette maladie - considérée jusque-là comme un problème mineur. Les recoupements effectués avec d’autres enquêtes démontrent que les chiffres publiés avaient été fortement exagérés.
En réalité, pour la France, il est vraisemblable que le nombre de cirrhoses dues au virus de l’hépatite B devait être de l’ordre de vingt-cinq par an, contre près de neuf mille dues à l’alcoolisme. La fréquence de la maladie est très faible et, en dehors des groupes exposés, le risque de contamination dans la population française est de l’ordre d’un cas sur cinquante millions !

Le vaccin a la capacité de provoquer des maladies auto-immunes chez des personnes prédisposées : maladie neurologiques invalidantes comme la sclérose en plaques, maladies de la thyroïde, des articulations, des reins, de la peau, des muscles, du système cardio-vasculaire. Il peut déclencher un diabète juvénile ou une leucémie. A la suite de l’introduction massive du vaccin en France, quatre mille personnes, se disant victimes d’une de ces maladies, se sont constituées en association (REVAHB)

La campagne française de vaccination dans les écoles en 1995 a été initiée par les laboratoires pharmaceutiques SMK qui, les premiers, ont mis au point un vaccin destiné aux enfants. Plusieurs enquêtes journalistiques accablantes ont été publiées sur les abus de la campagne, fondée sur le cousinage, la corruption, mais aussi sur la naïveté de personnes bien intentionnées.
Un document interne de Pasteur-Mérieux, autre fabricant de ce vaccin, affirmait que : "Sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur... Il faut dramatiser... Faire peur avec la maladie..."

http://www.infovaccins.ch/index.php/vaccins/vaccin-de-l-adolescent/hepatite-b-hbv

Le vaccin contre l’hépatite B, Réponse de Sylvie Simon à l’article de Pierre Kaldy paru dans Le Figaro du 12 février 2008
(extraits)
Pour justifier cette campagne, le Pr. J.F. Girard, alors directeur général de la Santé, n’a pas hésité à affirmer que l’épidémie avait tendance à s’étendre et que cette affection présentait un problème majeur de santé publique ! (cf. Le Généraliste, n° 1643, 1995), alors que l’INSERM et la Surveillance épidémiologique de la Courly montraient que l’on avait douze fois plus de cas d’hépatite B en 1978 qu’en 1992. La diminution de 90 % des cas observés avant la campagne publicitaire en faveur du vaccin correspond au retrait des lots de sang contaminé. Car il faut savoir que de nombreuses hépatites B ont été criminellement transmises par la transfusion sanguine de sang contaminé, dont on s’est bien gardé de parler durant la campagne.

Quant au Pr Jacques Drucker, alors directeur du Réseau national de santé publique, il prétendait, en 1997, qu’il y avait 3 000 décès par an à cause de l’hépatite B. Mais le 24 mars 1998, interviewé sur France 3 dans l’émission Nimbus, il affirma alors qu’il y en avait environ 1 000. Voilà encore un bel exemple de précision « scientifique chez un responsable de la santé publique !

Interrogé à son tour, Antoine Flahaut, de l’INSERM, maître de conférence à Paris VI, affirma pour sa part, sur des bases beaucoup plus sérieuses, qu’il y en avait entre 630 et 1 000 au maximum. Ainsi, M. Douste-Blazy nous a donné au sujet des cas d’hépatites B en France un chiffre cinq fois supérieur à celui fourni par le Réseau de la Santé publique, et le Pr Drucker, directeur de ce même Réseau, a avancé un chiffre de trois à cinq fois supérieur à celui de l’INSERM ! Faut-il incriminer l’ignorance, l’incompétence ou le mensonge organisé ?

http://www.infovaccin.fr/bombe_retardement.html




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