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Nina K

 
Seconde moitié d'une paire de jumelles qui voient loin.
Voir Lila

 

Tableau de bord

  • Premier article le 16/06/2012
  • Modérateur depuis le 30/08/2012
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Derniers commentaires




  • 3 votes
    Nina K Nina K 6 février 2013 16:47
     
     Le titre vient du passage entre 12:00 et 12:37 : « ...c’est la copie d’un taureau mort en 1986. (...). Une de nos équipes a prélevé quelques-unes de ses cellules ; on les a conservées dans un réfrigérateur pendant 15 ans et on en a fait un clone. Grâce à la science nous l’avons en fait ressuscité... »
     


  • 8 votes
    Nina K Nina K 19 décembre 2012 19:51
     
    Avez-vous vu ce marin d’eau douce qui tapine abondamment pour ses souteneurs décomplexés ? 
     


  • 7 votes
    Nina K Nina K 13 novembre 2012 23:08

     

    Il serait temps que le débat devienne sérieux lorsque l’on aborde l’aspect économique et financier du gaz de schiste. Les tombereaux d’injures que déverse le géochimiste Claude Allègre ne font que caricaturer une argumentation absurde : l’exploitation du gaz de schiste relancerait la croissance française.
     
    Le lobby pétrolier et gazier inonde les médias de ce nouveau mythe : si on exploitait le gaz de schiste comme les Américains, la croissance reviendrait. C’est trois fois absurde. Pour une question de chronologie d’abord. Dans le meilleur des cas, pour le lobby, une exploitation pourrait voir le jour vers 2020, ce qui n’aura aucun effet sur l’atonie de l’économie française en 2012 et 2013.
     
    Deuxièmement, la France n’est pas les Etats-Unis. Autrement dit, les conditions physiques d’exploitation, les conditions juridiques font que les contraintes sont très différentes et, par voie de conséquence, le prix du baril ou du British Termal Unit (BTU unité d’énergie anglo-saxonne) serait sans commune mesure, peut être sans aucun intérêt au regard du prix auquel nous payons notre gaz.

    Rappelons que le patron d’Exxon reconnaissait lui-même en juin manger sa chemise au prix auquel est vendu le BTU, soit 2 dollars (1,57 euro), alors que le prix de revient actuel aux Etats-Unis est de l’ordre de 7 dollars. C’est dans des difficultés financières immenses que se débattent aux Etats-Unis de très grandes sociétés exploitantes. Qu’en sera-t-il demain lorsque l’obligation de récupérer le méthane va s’imposer ?
     
    Enfin, dans le meilleur des cas, l’exploitation du gaz de schiste pèserait pour 4 à 5 milliards d’euros, soit moins de 10 % de notre facture énergétique ou du déficit commercial. C’est important, mais pas de nature à changer la donne.
     



  • 8 votes
    Nina K Nina K 13 novembre 2012 23:05


  • 2 votes
    Nina K Nina K 13 novembre 2012 22:13
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