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Les commentaires de Redford



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    Redford 12 mai 2014 22:18

    Il y a les mensonges, les gros mensonges, et les statistiques (et j’ajouterai "les statistiques sorties par des gros"). Ce chiffre ne veut rien dire si on ne dit pas à quoi on le rapporte. Par rapport à la population en age de travailler ? Sinon, si vous êtes un bon pays sur le plan démographique, le gros va vous expliquer que vous faites mal, alors qu’en fait vous faites bien. 


    On ne sait pas ce que vaut le chiffre du monsieur, mais si on veut savoir ce qu’il en est, voilà le genre d’article qui me semble réellement exploitable :

    http://christophevieren.over-blog.com/article-ou-travaille-t-on-le-moins-dans-l-union-europeenne-113463450.html

    Où l’on voit qu’en moyenne, toute catégorie confondues, les français sont parmi ceux qui bossent le plus - devant les anglais et les allemands. On voit aussi d’ou vient la possibilité de fabriquer l’illusion d’une réalité inversé : si on ne prend que les salariés à temps plein, la France est effectivement en queue de peloton. Pourquoi ? En Allemagne ils ont favorisé la flexibilité et ils sont des millions à bosser moins de deux jours par semaines. Ils ne sont pas "chaumeurs". Et ensuite, on compare le taux allemand et français de chomage, la durée du travail à plein temps pour les français et les allemands, les patates et les carottes. Et encore, ce n’est rien, tous les gens qui vous annoncent que l’état Français coute une blinde compare allégrement état + retraite vs état sans retraite par répartition. C’est tentant de se moquer du petit entrepreneur enervé et assez biaisé pour s’auto convaincre d’inepties, mais ces chiffres indiquent pourquoi : il bosse beaucoup, le bougre, du coup il n’a pas trop le temps de faire une vraie analyse et est souvent bien trop aigri pour ça. 


    Et puis bon, on est français, hein. C’est notre ADN de râler :)


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    Redford 21 février 2014 04:24

    euh, le sketch de Bedos sur les fans de Dieudo était abominable, y compris techniquement. Moi j’ai trouvé qu’au contraire il faisait nettement mieux, le neveu. Pas mieux que Bedos a son meilleur mais c’était pas le sujet.



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    Redford 21 février 2014 04:03

    Tiens allez c’est la semaine de bonté. C’est drole ça, oh oui... Oh....



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    Redford 21 février 2014 03:59

    Peuh, De Caunes était à chier, oui. C’était de loin le moins drole de la bande. Mais... il était sympathique, alors ça allait. Karl Zero, qui n’était pas super drole, l’était plus que De Caunes, mais beaucoup moins sympathique. Les nuls étaient droles, ça oui. José Garcia était drole. Plus tard, les Robins Des Bois, Edouard Baer étaient parfois brillants. Mais franchement, reregardez les sketchs de De Caunes, c’est pas fameux. Enlevez les rires du gars qui présentait et les siens (technique bien exposée par Dieudonné) et c’est le four à 90% des vannes.


    Guillon dans l’exercice est bien meilleur, et Pierre Emmanuel Barré est encore bien meilleur que Guillon. De Caunes il a de la classe, il est sympathique, mais en humour c’est rien du tout. Il n’a inspiré personne. 


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    Redford 9 janvier 2014 05:36

    Je crois que vous avez du mal à me lire. Je suis au courant que les critiques actuels considère que dans son contexte c’était un livre philosémite, qu’on peut donc encore lire comme tel à condition de se familiariser avec celui ci. Ca ne veut pas dire que les mêmes propos sortis par quelqu’un aujourd’hui, et non du temps de Léon Bois, seraient compris de la même façon. 


    Je pense que le malentendu est que vous faites une critique littéraire/historique. Fondamentalement, c’est vous qui avez raison, qui êtes rigoureux. Soral ou le Crif critiquent ce livre selon les critères actuels. En fait, leur propos est de dire que l’antisémitisme était une norme très prononcée en Europe depuis des siècles (pour des raisons différentes). Pour vous, c’est très important d’avoir un propos qui rend justice à Léon Blois, mais il faut bien dire que dans notre époque actuel, c’est l’angle de Soral et du Crif qui importe nettement plus. La plupart des gens ne savaient pas à quel point l’antisémitisme était ancré jusque dans les élites culturelles. Pour 99% des gens, c’est l’info qui attire leur attention, pas une critique littéraire fine de Léon Blois, dans le contexte.


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    Redford 8 janvier 2014 17:13

    Vous m’avez mal compris : il n’y a aucune interrogation. J’ai le contexte de ce qui se disait courrament chez les plus humanistes de l’époque si j’avais un doute. En oute je sais assez bien ce qu’est l’usage de l’énormité. Et il y en a dans ce que j’ai lu, mais ce passage, certainement pas. Encore une fois : pour son époque, c’est un livre philosémite, pour la notre, antisémite. Quand à l’énormité qui amène à y voir de l’ironie, elle existe dans le contexte de notre époque, mais pratiquement pas dans celle où l’essai est écrit. 



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    Redford 8 janvier 2014 03:01

    Je pense que chacun peu juger en lisant le contexte que j’ai donné et non l’extrait tronqué que vous fournissez qui lit ce qui est écrit et qui a une imagination débordante...



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    Redford 7 janvier 2014 19:03

    Vous êtes catholique, peut être ? Nous disons bien la même chose : relisez vous en imaginant que vous n’accordez aucune valeur au charabia religieux, ne reste que l’horrible apparence. Et dire que les juifs, certes, seraient repoussant d’apparence, il n’y a pas besoin d’aller plus loin pour dire qu’on est au niveau des caricatures nazies ou d’ailleurs de certaines sur E&R qui ne valent pas mieux. Surtout que par apparence on parle aussi des clichés comportementaux. Enfin quoi, Léon Blois qui dit que c’était une bonne chose qu’on maintienne les juifs dans une sous citoyenneté au Moyen Age, "difficile de faire plus philosémite", vraiment ? C’est grave, quand même, un tel aveuglement. Je ne juge pas Blois selon son époque mais son époque, je la juge. Elle était vraiment très antisémite, ce qui met au demeurant l’ancien président du CRIF et Soral d’accord comme ce dernier le notait justement. Le racisme en général a de toute évidence été la norme très ancrée dans les derniers siècles, voire de tout temps. C’est l’anti racisme qui est une idée nouvelle. Et c’est plutôt sympathique, si on considère l’idée pure et non ce qu’en a fait le PS, non ?


    Mais Léon Blois, c’est bien ce qu’en dit Soral : un philosémite de cette époque reste un antisémite carabiné selon la notre. Ne vous fatiguez pas à argumenté avec moi : publiez en votre nom des propos comme ceux sur les juifs au moyen age et on en reparle quand vous sortirez du tribunal.


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    Redford 7 janvier 2014 17:41

    J’entends bien mais dans ce cas l’interprétation n’est pas tellement loin de Soral. L’idée est de bien de dire que les juifs sont formidables parce qu’ils sont absolument horribles mais que, comme Ferrero Roche d’Or, il y a un trésor caché à l’intérieur (de nature spirituelle). Il suffit de le lire d’un point de vue athée et le type, sous couvert de défendre les juifs, les enfonce encore plus : pour un athée, il n’y a pas de chose telle qu’un trésor spirituel. Reste l’horrible, et cette fois ci servi parce ce que le pays à produit comme avocat des juifs, autant dire que ça fait mal. Je suis désolé mais selon nos critères actuels, non ceux de l’époque, c’est bien un livre abominablement antisémite. Evidemment, juger le livre selon notre époque n’a aucun intérêt. Soral est le premier à rappeller cette règle mais en cherchant lui même à dire qu’il est moins antisémite que tout ces écrivains des siècles passés, il nous demande précisément de le juger lui de notre temps avec des critères périmés.


    De toutes façons Soral est un chieur, je suis sûr qu’à l’époque de cette Europe d’un antisémitisme décomplexé il aurait été philosémite acharné.


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    Redford 7 janvier 2014 03:04

    Je lis un peu dans le texte grace à un des liens ci dessus et je vois difficilement ou pécher l’affirmation selon laquelle la part antisémite des propos de Léon Bloy serait à mettre sur le compte de la caricature. Voici un extrait suffisament long pour bien situer le contexte :


    "Je dois être peu soupçonnable d’amour tendre pour les descendants actuels de cette race fameuse. Voici, pour commencer, ce que j’écrivais, il y a six ans, dans un livre de colère que l’hostilité générale s’efforça d’étouffer par tous les moyens imaginables.

    « Le Moyen Âge, disais-je en parlant des Juifs, avait le bon sens de les cantonner dans des chenils réservés et de leur imposer une défroque spéciale qui permît à chacun de les éviter. Quand on avait absolument affaire à ces puants, on s’en cachait comme d’une infamie et on se purifiait ensuite comme on pouvait. La honte et le péril de leur contact était l’antidote chrétien de leur pestilence, puisque Dieu tenait à la perpétuité d’une telle vermine.

    « Aujourd’hui que le christianisme a l’air de râler sous le talon de ses propres croyants et que l’Église a perdu tout crédit, on s’indigne bêtement de voir en eux les maîtres du monde, et les contradicteurs enragés de la Tradition apostolique sont les premiers à s’en étonner. On prohibe le désinfectant et on se plaint d’avoir des punaises. Telle est l’idiotie caractéristique des temps modernes. »[3]

    Je ne vois pas le moyen de changer un quart de ligne à cette page gracieuse. Plus que jamais il est clair pour moi que la société chrétienne est empuantie d’une bien dégoûtante engeance et c’est terrible de savoir qu’elle estperpétuelle par la volonté de Dieu.

    Au double point de vue moral et physique, le Youtre moderne paraît être le confluent de toutes les hideurs du monde."


    Alors n’ayant pas lu (ni projet de lire) Drumont, je ne saurais dire si c’est plus ou moins antisémité, mais l’ironie est exclue. 



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    Redford 18 décembre 2013 09:51

    Tout ceci serait fort pertinent si le chiffre de l’inflation n’était pas une vaste enfumade. Cet article qui date montre bien pourquoi :
    http://www.leparisien.fr/une/et-si-les-chiffres-de-l-inflation-etaient-faux-04-06-2004-2005035329.php

    Oh surprise, à l’époque ce n’est pas l’augmentation des taxes due à la crise, et ça joue sur un poil plus que 0.3%. Et encore tout ça est faible à coté de la hausse de l’immobilier. 

    Se plaindre de l’état sur la hausse des prix ça me rappelle ces "pigeons" qui se plaignent de verser des impots à l’état alors qu’ils sont tondus et retondus par le capital. Soumission à l’autorité sans même s’en rendre compte (je suis entrepreneur, je précise).


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    Redford 16 décembre 2013 17:49

    En outre même sur l’angle strictement "économiste", ça n’a aucun sens, PJ a maintenant une chaire d’économie à la VUB. 



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    Redford 16 décembre 2013 17:48

    Etonnant qu’il manque le blogeur le plus lu (et le seul de la liste qui avait vraiment prévu la crise des subprimes), Paul Jorion. 


    Mais il est vrai que Paul Jorion n’est pas économiste et explique que la science économique a cessé d’en être une après Marx (reconnaissant néanmoins à Keynes des apports importants). Corporatiste, Pierre-Yves Rougeyron ? J’entends bien qu’il citait peut être les "strictes" économistes (Berruyer, très populaire aussi, n’est pas dedans) mais dans ce cas là pourquoi citer les analystes ? 


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    Redford 9 décembre 2013 13:07

    C’est dingue comme personne ne semble comprendre qu’il plaisante, ma foi assez joliment. Mais la journaliste ne comprends pas elle même, elle ruine la blague. Triste époque.



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    Redford 5 novembre 2013 17:43

    Conférence réellement remarquable. Surtout quand on voit qui pose les questions à la fin. En plus de Christian Darlot qui a quelques articles à son actif sur des sites gaullistes et dit ici des choses très justes, vous reconnaitrez aussi immédiatement à l’oreille si vous les avez déjà entendu Jean Bricmont suivie d’Annie Lacroix-Riz.

    On pense ce qu’on veut de l’UPR mais c’est un endroit ou ça discute plutôt bien. 



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    Redford 24 octobre 2013 15:21

    Etonnant comme personne ne relève que le même Oskar Freysinger qui reproche à Soral le prix de gros sur les juifs commence l’enregistrement en faisant un prix de gros sur les suisses zurichois (et encore, on sent qu’il se mort la langue). On voit bien que ce qui le choque n’est donc pas tant le procédé que la cible et que son propre rejet de celle ci doit tout à l’émotionnel. 

    Soit aucun "prix de gros" n’est toléré, soit on les admet dans le feu d’une conversation tant que des précisions sont régulièrement données pour pondérer (ce que les gens, Soral et Freysinger inclus, font), soit on en n’admet aucun.

    J’ajoute que si l’agitateur Robin est pas mal, et si le politicien Freysinger malgré ses cotés au fond quand même un peu raciste, a des aspects sympathiques, il est clair que sur l’analyse de la marche du monde "ils n’ont pas le niveau". Freysinger est assez intelligent pour ne marcher que là où il a pied mais Robin, dès qu’il se pique d’être acteur du débat (manifestement sa motivation pour interviewer ceux qui le sont de fait), c’est assez catastrophique quand il se pique d’analyser. Chacun son talent particulier !



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    Redford 13 juillet 2013 18:17

    Défendre une personne d’une attaque ad hominem en procédant par un ad hominem ne va convaincre que ceux qui le sont déjà. L’attaque sur Todd c’est sur l’énormité de l’ânerie qu’il a sorti et le fait que son discours serait conditionné par son statut de salarié de l’état, autrement dit sur ses actes et sa situation plutôt que sur son physique ou son age. C’est évidemment encore moins convaincant.

    Au passage, Soral ne l’a pas non plus volé, il attaque très souvent au physique. 



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    Redford 23 mars 2013 15:10

    Rappel de la chaine de responsabilité : le renflouement planifié c’est l’état chypriote qui renfloue les banques chypriotes qui sont dans le trou essentiellement à cause de leur soutien à l’économie grecque. Autrement dit, c’est l’illustration du panier de crabe incestueux états bruxelles banques, de leurs décisions collégiales et du petit jeu de "à qui la faute" derrière, sachant qu’une fois celle ci actée ce que les décideurs incriminés payent de leurs erreurs est peu ou rien en comparaison de ce que paieront ceux qu’ils représentent : citoyens chypriotes, européens, déposant ou actionnaires des banques chypriotes. 

    L’idée que les pauvres déposants n’auraient aucune responsabilité dans l’affaire se discute. Les citoyens chypriotes "normaux", on ne peut le leur reprocher, c’est normal d’avoir leurs économies dans une banque de leur rue. Les étrangers, en revanche, c’est une toute autre histoire. La règle est claire, les dépôts ne sont garantis que "jusqu’à 100 000€" et si elle est violée, ce ne sera pas pour les déposants russes (souvent mafieux, ce qui explique en partie la réaction modérée dans un premier temps du pouvoir russe pour qui l’affaire semblait initialement bonne). Donc ils ont joué ils ont perdu et c’était à eux, en tant que client, de chercher une banque qui ne ferait pas de placement aussi risqués que ceux là. 

    Et dans tous les cas, il y a la situation de terrain : soit cette taxe est levée, les banques sont renflouées et les comptes dessus sont minorés 7 à 10%, soit elles ne le sont pas, les banques font faillites et les comptes dessus (surtout les gros) sont minorés d’au moins 70% (et nous ici nous mangeons un tsunami bonus). Je vois beaucoup de gens chercher un bouc émissaire facile mais si on regarde le problème, la question est qui doit mettre l’argent ? 

    - les actionnaires des banques ? ce serait mal comprendre la nature de l’actionnariat : ils n’ont ni les liquidités, et quand à les contraindre, impossible

    - les chypriotes ? Ils ont toléré une forme d’organisation de leur pays qu’ils payent aujourd’hui. C’était probablement dur à éviter mais au moins la leçon peut elle être salutaire comme en islande ou en argentine. Ceci au prix clairement d’une énorme injustice.

    - l’Europe ? (nous ?). Un peu comme les chypriotes nous sommes responsables en laissant faire mais ce n’est pourtant pas faute d’avoir voté contre. Ce serait le prix à payer pour en rester à un rôle aussi passif que le notre face au hold up

    - les déposants ? De tous ce sont les plus à même d’avoir leur destin en main : quand on dépose des grosses sommes dans la banque d’un petit pays, on est quand même sensé en évaluer la solvabilité et on ne peut pas dire que la situation actuelle était dure à prévoir. En outre, le plan les sert au premier chef en protégeant leurs dépots des conséquences d’une incurie qu’ils n’ont pas voulu mesurer alors que c’était leur responsabilité de client.

    Je n’ai pas de préférence mais je trouve que ceux pour lesquels les options actuellement discutées sont nécessairement monstrueuses et injustes n’ont peut etre pas assez réfléchi. Il y a une responsabilité bien trop mélangée pour qu’une solution simple et juste existe, à mon avis.



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    Redford 28 février 2013 12:34

    Allez, je tente un effort méritoire pour éviter les simplismes. La liberté de parole est meilleure aux USA qu’en Iran, où elle est limitée sur un certain nombre de sujets. Le cadre légal n’est pas le même. Ceci dit, l’Iran est très loin d’avoir...1% de sa population en prison comme les USA, à travailler à pris cassés pour divers entreprises. Les USA affirment être une démocratie mais le traitement récent d’Occupy Wall Street ne devrait laisser de doute à personne sur le fait que ce n’est pas le peuple au pouvoir. Les élections iraniennes ne sont probablement pas manipulées comme la propagande occidentale aime à le faire croire et sont manifestement réellement disputées, mais ça ne veut pas dire que toutes options sont sur la table. Dans ce pays très religieux il est intéressant de voir que l’ayatollah, également commandant des armées, sort bien d’un processus électif indirect mais dont la base reste populaire (enfin, si on est musulman, tout de même...). 

    Personnellement, si je cherchais un modèle de régime démocratique, je ne regarderais aucun de ces deux pays. Je précise que ce n’est pas qu’un fantasme de français le cul sur sa chaise : ce sont deux jeunes américains qui en 2003 m’ont avoué coup sur coup et sans se connaitre que leur pays n’était pas une démocratie. Leurs propres mots. 



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    Redford 13 février 2013 16:47

    En abétifiant ce problème d’inégalité sur un slogan simpliste, le PS a vraiment bien coulé la réforme nécessaire. Le cas Depardieu vs le cas Bettencourt est éclairant : quanc celle-ci, immensément plus riche, paye moins de 15% tout cumulé, Depardieu affirma en payer 80%. Il compte large (c’est son caractère), mais décrit une réalité simple dans lequel le gros de l’impot est prélevé sur le salaire et la TVA et très peu sur le capital. Les années Sarkozy auront d’ailleurs bien profité aux 0.5% les plus riches, soit les ultra possédants. Le reste des 10% les plus riches à lui perdu de l’argent, quand aux autres c’est encore plus marqué.