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Rounga

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  • Premier article le 25/01/2014
  • Modérateur depuis le 12/02/2014
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    Rounga Rounga 8 juin 2015 08:31

    @ffi
    Que toute l’énergie d’une onde se concentre en un point, rend plus probable que ce point parvienne à sa limite d’élasticité, cela ne contredit pas ce que j’affirme.

    L’énoncé ne contredit pas ce que vous affirmez, mais dans les faits ça ne se passe pas ainsi, puisque l’onde parcourt tout le matériau, sans se concentrer en un point, et sans que toute son énergie se concentre en un point. D’ailleurs, qu’une onde se concentre en un point, ça n’a pas beaucoup de sens, puisqu’une onde est définie par une amplitude, une fréquence, une vitesse de propagation. Que signifierait donc qu’une amplitude, une fréquence et une vitesse de propagation soient concentrées en un point ?



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    Rounga Rounga 5 juin 2015 10:45

    @ffi

    Désolé pour l’attente, mais j’ai été assez occupé.

    1) Je citais l’expérience de mémoire, donc je ne me suis pas référé à un lien précis. Cependant, toute publication scientifique qui rend compte d’une expérience décrit de la manière la plus précise possible le protocole mis en place, ceci afin de rendre les conclusions vérifiables pour tout un chacun. Il existe donc quelque part un article qui contient ce que vous demandez. Cependant, il n’est pas dit que cet article soit trouvable sur le net. Si vous êtes abonné à une base de données pour chercheurs, peut-être pouvez-vous y accéder, mais en l’état je ne possède pas par devers moi un tel document.

    2) En ce qui concerne les impacts, vous jouez sur l’homonymie du terme, qui peut désigner soit la trace consécutive à un choc (par exemple l’impact d’une météorite sur une planète), soit la conséquence (sous-entendue désastreuse) d’un événement. Or c’est dans ce deuxième sens que vous évoquez l’impact d’un tremblement de terre, alors que ce dont il est question dans l’expérience est le premier sens.

    Le désastre causé par un tremblement de terre ou l’écroulement du pont ne résultent pas du fait que l’onde soit concentrée en un point, mais du fait que les vibrations qui parcourent les matériaux y augmentent les contraintes internes jusqu’à ce qu’elles excèdent leurs limites d’élasticité. Ça casse en premier aux endroits où la contrainte est la plus élevée. 



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    Rounga Rounga 3 juin 2015 13:10

    En fait il semble que je me sois trompé, et que les impacts en eux-mêmes soient bel et bien une preuve de la nature corpusculaire des photons. C’est en effet le signe qu’il y a eu un choc à cet endroit, et on ne pourrait pas obtenir cela avec une onde (à moins qu’on propose une théorie qui permette de montrer comment c’est possible).



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    Rounga Rounga 3 juin 2015 12:54

    @ffi
    Quoi qu’il en soit, si on tient vraiment à ne considérer la lumière que sous la forme d’une onde, ces expériences nous montrent que cette onde, parfois, occupe à titre exclusif une portion d’espace. On peut donc postuler une nouvelle propriété des ondes, mais qui est en contradiction avec sa définition, ou alors on peut postuler que la particule se présente, selon le mode d’observation, soit comme une onde, soit comme une particule. Or, la première option, celle que vous préconisez, conduit à un paradoxe insoluble, tandis que la seconde permet de le surmonter en posant la densité de probabilité de présence.



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    Rounga Rounga 3 juin 2015 10:23

    @ffi

    Ce « dirac », ?h ?(? - ?0), est la transformée de Fourier d’une fonction temporelle du style de « l(t)= ?h/2 cos(2 ? ?0 t) ». Tel est un photon pur, donné en fonction du temps.


    Or, cette fonction du temps est une ondulation continuelle. Si vous émettez par à coups, en pensant émettre photon par photon, vous faites erreur. Vous émettrez un train d’onde, qui sera un mélange de plusieurs fréquences... donc de plusieurs photons !

    Ok pour la représentation temporelle du photon.

    En revanche, le signal l(t)= ?h/2 cos(2 ? ?0 t) n’a qu’une seule fréquence ?0, donc il n’y a bien qu’un seul photon.

    Pour la suite, je veux bien que vous interprétiez l’expérience en terme de réponse d’un système à une impulsion et que vous mainteniez l’interprétation du photon en tant qu’onde, mais dans ce cas il faut être en mesure d’expliquer ce qui est observé lorsque le comportement de cette onde semble être foutrement corpusculaire. Si je comprends bien, vous associez l’impact du photon à une tavelure, mais il faut expliquer pourquoi c’est un impact. La tavelure d’un laser ne laisse pas d’impact une fois qu’on a coupé le laser. Il faudrait de plus accorder ce modèle avec les autres expériences montrant le caractère corpusculaire du photon (diffusion Compton par exemple). Si vous avez des pistes, pourquoi pas, mais à mon avis ce sont des contorsions pour éviter de se rendre à l’explication la plus simple et la plus évidente, à savoir que dans un cas c’est un comportement ondulatoire qu’on observe, et dans l’autre un comportement corpusculaire.

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