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Rounga

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  • Premier article le 25/01/2014
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Derniers commentaires




  • 2 votes
    Rounga Rounga 30 mai 2015 08:51

    Remercions quand même cette escroquerie grâce à laquelle nous pouvons avoir des ordinateurs, ce qui permet à quelques génies de s’exprimer librement ici. 



  • 1 vote
    Rounga Rounga 30 mai 2015 00:51

    @ffi
    Cela fait 70 ans qu’elle existe, mais qu’a-t-elle permis de comprendre de plus que l’on ne savait déjà ?

    Quand même, celle-là, c’est la plus énorme. Et toutes les applications de la mécanique quantique ? Les prévisions réalisées ? Les accélérateurs de particules ? On savait déjà faire tout ça sans la mécanique quantique ?



  • 1 vote
    Rounga Rounga 30 mai 2015 00:48

    @ffi

    je dis que la lumière est une onde d’électrisation et de magnétisation dans toute matière, que l’ensemble des électrons peut être conçu comme un fluide, que ce fluide remplit tout l’espace et qu’il est lui-même le siège de fluctuations lumineuses, d’où son aspect ondulatoire dans certaines situations.

    Sauf que, premièrement ça ne veut pas dire grand chose, deuxièmement ce n’est prouvé que par des analogies au petit bonheur (on trouve une ou deux propriétés communes aux fluides et aux électrons=>les électrons sont des fluides, absence complète de rigueur, laquelle exigerait de vérifier que l’analogie avec les fluides est vérifiée en tout point (viscosité, propriétés statiques, cinétiques et dynamiques des fluides, etc)), troisièmement rien ne nous dit que cette ébauche de théorie nous permette de mieux décrire le réel que la mécanique quantique.

    Ensuite, ces gesticulations imprécises (je maintiens) cachent mal que :

    -vous ne prouvez toujours pas que le quantum est une transformée de Fourier

    -vous ne répondez pas sur le fait que l’expérience avec détecteurs montre bien une distribution des impacts attribuables à des corpuscules, et non une figure de diffraction

    -vous n’avez pas non plus répondu sur le fait que la présence de détecteurs devrait, selon vos dires, annuler les interférences lorsqu’on projette la lumière de manière continue et non quantum par quantum

    En définitive, toutes vos tentatives pour invalider l’expérience de Young et nier qu’elle met bien en évidence deux caractères différents de la même matière ont été vaines. Quant à moi, je me contente de remarquer ce que l’expérience montre, à savoir ces deux caractères différents.

    On passe ensuite au gros morceau :

    Dire des choses les plus précises possibles, c’est maximiser le risque d’erreur : Heureusement, en science, l’expérimentation est réalisée de manière contrôlée, donc une erreur est sans gravité, au contraire même, elle fait avancer la réflexion. 

    Mais ce n’est pas une règle pour la vie pratique : dans la vie pratique, il faut minimiser les erreurs, car elles sont irréversibles et leurs effets graves : les réflexions gagnent à être moins précises, plus floues, pour embrasser plus de situations d’un coup. C’est pourquoi le paradoxe est roi au royaume de la religion.

    J’ai vraiment du mal à saisir la cohérence du propos. Qu’est-ce que c’est cette histoire de "minimiser le risque d’erreur" ? Une réflexion peu précise, floue, tendrait selon vous à minimiser ce risque. Il me semble que vous confondez le général avec l’imprécision.

    C’est pourquoi, je vous dis, vous avez la tête à l’envers. Le paradoxe n’est pas désirable dans les prémisses d’une théorie.

    Je n’ai pas dit que le paradoxe était désirable.

    Comment la réfuteriez-vous, sinon ?

    En proposant une expérience qui donne des résultats non prévus par cette théorie.

     Il suffirait d’intégrer tous les paradoxes que l’on découvre au fur et à mesure dans la théorie et celle-ci ne serait jamais réfutable ! L’ennui, c’est que la théorie, si elle aurait en effet raison sur tout, serait tellement confuse qu’on ne pourrait rien en tirer de précis. J’ai, pour ma part, déjà un terme pour contenir tous les paradoxes. Il tient en un mot et 4 lettres : Dieu. Pourquoi la lumière ? Parce que Dieu. Pourquoi l’électron ? Parce que Dieu. Pourquoi le monde ? Parce que Dieu. Pourquoi l’homme ? Parce que Dieu...

    Je ne vois décidément pas où vous voulez en venir.



  • vote
    Rounga Rounga 29 mai 2015 22:59

    @ffi
    je peux vous en dire plus

    Par pitié, n’en dites pas plus, mais tâchez plutôt d’être précis et rigoureux au lieu de juxtaposer ainsi des notions tel un étudiant qui, ne sachant répondre à une question, débite son cours en espérant que l’examinateur y fera son marché et trouvera la réponse qu’il attendait. En noyant vote propos sous un flot de référence et de formules, vous n’avez toujours pas prouvé que le quantum est la transformée de Fourier d’un signal lumineux (et vous ne pouvez le prouver, puisque c’est faux : le quantum est une énergie, c’est-à-dire une grandeur physique réelle et pas une fonction).

    Par ailleurs, si, selon vous, perturber l’onde lumineuse en essayant de la détecter revient à l’annihiler, cela voudrait dire qu’en plaçant un détecteur sur une seule des fentes et lancer la manip à lumière réelle (et non quantum par quantum) donnerait des motifs de diffraction et non d’interférence. Est-ce le cas ?

    Quand un raisonnement aboutit à une contradiction dans les faits, est-ce la réalité qui est paradoxale, ou bien et-ce le raisonnement qui est faux ? J’opte pour la seconde alternative, car je tiens qu’en optant pour la première alternative, plus aucun raisonnement n’est réfutable, donc toute science est morte

    Je suis intervenu hier pour tirer au clair cette notion de paradoxe. Le paradoxe n’est tel que si l’on se trompe de point de vue. Si on s’élève à un point de vue supérieur, il disparaît, et semble normal.

    Cela dit, je vous ferai remarquer que votre première phrase est un contre-sens, puisqu’ici ce n’est pas le raisonnement qui aboutit à une contradiction dans les faits, mais les faits eux-mêmes qui se présentent de telle manière que nous ayons à en rendre compte de manière déroutante.

    J’attire également l’attention sur le fait que la science, de nos jours ne vise plus la vérité, mais cherche un modèle descriptif le plus adéquat possible avec l’observation. C’est pour cela que la vérité d’une théorie n’existe qu’en sursis, jusqu’à ce qu’une autre théorie propose un cadre qui permette de la réfuter. La mécanique quantique marche, nous pouvons l’utiliser pour prédire des résultats, cela ne veut pas dire qu’elle dit la vérité ultime sur les choses. Mais ce n’est pas non plus une raison pour fermer les yeux sur l’étrangeté du monde microscopique qu’elle dévoile et sa portée épistémologique.



  • vote
    Rounga Rounga 29 mai 2015 15:49

    @ffi
    Pourquoi donc ne pas modéliser un flot d’électron comme un fluide, à l’image l’eau ?


    Suggestion de réponse : parce qu’un fluide a pour propriété d’épouser la forme de son contenu, ce qui n’a pas l’air d’être le cas avec les électrons ?


    l’eau aussi est une molécule, capable de couper du métal dans certaines situations... Mais l’eau est aussi le siège d’ondes, et ces ondes peuvent influencer ses mouvements. Pour cela n’est-il pas paradoxal selon vous ?


    Je ne vois pas où se trouve le paradoxe. Que signifie précisément "être le siège d’ondes" ? En quoi cela est-il contradictoire avec le fait d’être constitué de molécules ?

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